Les choses simples

29.11.08

Dormir

Jeudi
Le midi, je me suis promené dans Gibert Joseph et j'ai acheté quelques cadeaux de Noël. J'ai également craqué pour deux bouquins en poche.
Pour la quatrième fois de la semaine, nous avons retrouvé les parents de Sandrine à la maison avec Vincent.
J'ai eu un petit temps d'hésitation avant de me décider à aller à l'entraînement. Notre entraîneur nous avait prévenu de son absence et nous devions nous gérer seuls.
Avant d'y aller, je suis passé par l'épicerie antillaise, Chez Mimi, qui récupère nos colis, et notamment pour nous ce soir, le cadeau de Maxime.
Je suis arrivé assez en retard au gymnase. Ils n'étaient que 6, jouant au foot de manière nonchalante.
Je me suis changé en me disant que je devrais rentrer chez moi, que nous devrions tous faire ça parce que notre présence ici ne servait à rien du tout.
Nous avons finalement fait un foot sur le terrain, à 4 contre 3, juste pour se dépenser.
Après, nous avons tout de même essayé de faire du hand ou quelque chose qui ressemblait à ça, avec des tirs, des situations mais il n'y avait pas d'entrain, pas de motivation...
Nous étions 16 en équipe 1 au début de l'année. Mais ce n'est pas surprenant. Dans toutes les équipes cette situation se présente. Habituellement, c'est quand même plutôt en mars ou avril.
Vendredi
Soirée cool à la maison. Nous avons regardé le début (et la fin samedi soir) de Saw 5 (toujours disponible sur la freebox au même endroit que le spectacle de Gad). Toujours tordu.
Nous avons essayé de nous coucher avant minuit.
Samedi
Vincent nous a sollicités de bonne heure. J'étais crevé bien entendu. Et pendant que je marchais pour aller chercher le pain, les mains au fond de mes poches, mon bonnet sur mes oreilles, je me disais que j'aurais bien apprécié une bonne grasse matinée à l'ancienne... Midi voire 13h...
Seul conseil que je peux donner aux gens qui n'ont pas d'enfant : dormez !!!!!!
Nous sommes passés prendre ma mère. Sans bandage, la main droite libre, bleue, avec deux petites cicatrices, pas tout à fait opérationnelle mais libre...
Matinée à Bay 2 pour acheter quelques cadeaux et en fait pour relooker Vincent (qui bien sûr en avait vraiment besoin, lui qui n'a rien à se mettre...)
Déjeuner chez ma mère. Elle a donné à manger à Vincent pendant que nous essayions de mettre en place un semblant d'apéritif.
Repas sympa malgré le gâteau "régime" qui n'avait pas de goût et était tellement léger qu'on avait l'impression de mâcher du rien... sensation très étrange. C'est ça qui est fantastique avec ma mère, elle aime nous faire découvrir de nouvelles choses.
Après le repas, nous sommes rentrés pour coucher Vincent. Sandrine m'a proposé de passer à Casa avant afin qu'elle regarde si quelques cadeaux pouvaient se faire là-bas. Je l'ai déposée et j'ai trouvé une place assez rapidement. Vincent dormait. J'ai attendu dans la voiture au moins 45 minutes. Sandrine est revenue les bras chargés de sacs, le sourire aux lèvres et un petit mot d'excuse.
A notre retour nous avons essayé de coucher Vincent mais sans succès. Il était fatigué mais il parlait dans son lit et répétait comme il n'arrête pas de le faire ces derniers temps un truc qui ressemble à maman : "mahman", "mehman", "meh meh". Nous ne savons pas si c'est vraiment pour appeler sa mère mais en tout il le répète souvent.
Comme en plus, j'ai l'impression qu'il me snobe un peu, je me sens un peu jaloux de Sandrine mais ça va passer... (Et puis si j'allais moins au hand, je le verrais plus, etc...)
Nous sommes donc allés le voir dans sa chambre et nous avons immédiatement compris pourquoi il ne dormait pas tellement l'odeur nous a cloué au sol. C'était une horreur. Nous avons déclenché le plan d'urgence et tout mis en oeuvre pour sauver la chambre, les murs, les doudous ainsi que les fesses de notre fils... J'y ai perdu toute sensation olfactive et Sandrine deux ou trois haut-le-coeur...
Les parents de Sandrine sont arrivés vers 18h. Nous avions rendez-vous avec Cidalia pour une discussion en webcam sur MSN. Elle a appelé une première fois vers 18h20 pour dire qu'elle n'arrivait pas à se connecter et qu'elle allait dans un autre cybercafé.
Là, dix minutes plus tard, nous avons réussi quelque chose qui ressemblait à une conversation vidéo mais soit elle ne nous entendait pas, soit les vidéos se bloquaient et nous passions plus de temps à commenter les problèmes techniques qu'à se raconter nos vies. Nous avons quand même pu lui montrer les exploits de Vincent depuis son départ. Elle revient pour les vacances, le 20 décembre, je crois... La mère de Sandrine l'attend avec impatience.
Après le départ de mes beaux-parents, nous nous sommes occupés de Vincent, fatigué, qui toussait encore beaucoup et qui venait de se prendre le pied de la table de la salle à manger sur le front lui offrant un beau petit bleu pour finir la journée.
39,6 °C de température, les yeux à moitié fermés avant le biberon, c'est un Vincent épuisé que nous avons couché.
J'ai appelé mon frère Nicolas pour lui souhaiter son anniversaire. Il m'a parlé de samedi prochain ; il pense réunir autour de lui toute la partie paternelle. C'est bien, ça faisait longtemps.
Soirée détente devant quelques séries.

27.11.08

Mercredi

Mercredi

Le midi, Adrien est venu déjeuner avec moi. Il est en congé pendant deux semaines et il a accepté mon invitation.
Je ne savais pas trop où aller ; nous mangeons rarement à l’extérieur avec mes collègues mais je me suis souvenu d’un petit restaurant sympa en face du Marché Saint Germain.

Petit, souvent complet mais très bon. Il y avait de la place pour nous, une petite table dans le passage. La déco est originale, des bouteilles à l’envers sur des mini ampoules colorées, des miroirs ronds, la carte écrite à la main sur des grandes ardoises. Pour patienter, des radis et du saucisson.

Je me suis fait plaisir en prenant entrée, plat et dessert avec un verre de vin mais c’était tellement bon…

Nous avons discuté de boulot, d’enfants, de vacances, d’envie de tout plaquer sur un coup de tête pour tenter une autre vie ailleurs, de la possibilité de démissionner un jour de son rôle de père (ou de mère), de l’éventualité de s’acheter une maison ou un appart de campagne… C’était très intéressant, prenant et nous n’avons pas vu l’heure tourner.
De retour chez Belin, nous avons croisé Faustine, une collègue, avec qui Adrien a quelques contacts…

Le soir, j’ai retrouvé Sandrine dans le RER puis nous sommes rentrés. Les parents de Sandrine sont partis assez vite et nous sommes restés avec Vincent. Cidalia a téléphoné de Tanger. Ca nous a fait plaisir de lui parler, d’entendre que tout allait bien pour elle. Cette expérience va la changer complètement, j’en suis sûr mais il faudra voir à la fin de l’année scolaire, de quelle manière.

Après le bain, Laetitia et Alexia sont arrivées, puis Stéphane et Elodie. Stéphane a totalement lavé sa dette. C’était beau, j’ai failli pleurer en prenant son chèque (en bois ?) entre mes mains. Ils sont à deux doigts de partir en vacances loin mais ils n’ont pas encore trouvé la bonne date au bon prix.
Micaël nous a rejoints. Nous avons regardé le foot et discuter de tout et de rien.
J’ai essayé de me coucher en même temps que Sandrine, beaucoup plus tôt que d’habitude et c’est plutôt pas mal.

L'incroyable Hulk







Plutôt un bon film d'action avec de bons acteurs.
Un scénario qui tient quand même debout.
Je ne me suis pas ennuyé bien au contraire. Alors que le précédent, moyen moyen...

25.11.08

Les soirées passent vite

Lundi

Bien sûr, pour débuter la semaine, des problèmes dans le RER. Cette fois, envie commune de partir vivre à Montpellier... Pourquoi pas ?
Beaucoup de travail et un peu moins de rigolade que d'habitude, Thomas et Dalila étaient en RTT. Du coup, j'ai bien avancer.
Le soir, je suis resté plus longtemps au bureau, je suis même parti le dernier. Sandrine m'a rejoint et j'ai pu lui montrer fièrement l'endroit où je passe toutes mes journées depuis plus d'un an.
Soirée resto pour nous. Sur Paris, en amoureux. Nous n'avions pas fait cela depuis le 27 avril et la soirée pour nos 10 ans.
Cidalia nous avait offert un coffret Smartbox l'année dernière à Noël en nous disant qu'on aurait sûrement besoin dans l'année de souffler un peu et de sortir pour se retrouver. Nous avons attendu le dernier moment pour cela mais voilà...
En attendant d'aller dans le resto, nous avons traîné dans la librairie Gibert Joseph, au rayon enfant. Très bel endroit, les livres sont très bien rangés et l'offre est très importante.
Donc, un resto, rue Racine, le Bouillon des colonies. Entre Odéon et Saint-Michel, tout près de Gibert Joseph.
Il faut réserver deux semaines à l'avance, par mail, pour qu'ils prennent en compte notre Smartbox. Après, il faut leur donner le petit carton rempli et là, enfin, on peut s'installer et commander notre repas.
La déco est très sympa, avec des masques africains un peu partout, tout dans des tons marrons, beige... Une ambiance cool et détendue. Nous étions près de la fenêtre et nous avons bien ri, essayant de ne pas trop parler de Vincent, de ne pas trop montrer les photos de lui que nous avons chacun sur nos portables.
Etrangement, c'était plus dur pour nous de le laisser lundi soir, à 11 mois pile qu'en avril. Mais à l'époque, nous l'avions laissé après le bain et le biberon, pratiquement couché dans son lit. Là, c'était différent, nous ne l'avons pas vu de la soirée.
Du coup, à la fin du repas, nous n'avons pas trop fait un plan Paris by night, et puis il devait faire -15 °C.
Dans le RER, Sandrine a appelé son père pour lui dire qu'on rentrait et que nous allions essayer d'attraper un bus mais qu'à cette heure-ci, il n'y en avait plus et que bon, bah, on allait sûrement devoir faire le chemin à pied. Une vraie technique de petite souris. Après avoir raccroché, elle me dit qu'elle n'a pas osé lui demander directement. Il a rappelé deux secondes après pour nous proposer de venir nous chercher à la gare. Sandrine a répondu un truc du genre, "non, ce n'est pas la peine" mais n'a pas été difficile à convaincre.
Il nous attendait au RER et c'est vrai que c'était plus cool dans rentrer dans la 307 avec le chauffage qu'à pied dans le froid de Sibérie.
Nous n'avons pas pu nous empêcher d'aller voir Vincent. La porte de sa chambre était ouverte (la mère de Sandrine préférait...). Nous avons passé nos têtes et là, nous sommes tombés sur un Vincent encore endormi qui ouvrait les yeux sur nous. Il s'est assis, nous a regardé, a fait un petit sourire puis Sandrine l'a recouché et il s'est endormi très vite. Il donnait vraiment l'impression de nous avoir attendu et ayant la confirmation en direct que nous étions bien rentrés, il avait pu se rendormir. Bien sûr, ça nous a fait fondre.
Les parents de Sandrine sont restés encore un peu.
Sandrine s'est couchée et j'ai joué à Disaster Day of crisis. Comme un con, jusqu'à une heure bien tardive.
Mardi
Installation de notre stand sur le Salon du livre jeunesse de Montreuil. J'étais avec Laurence, la responsable des ventes et Philippe, mon directeur commercial. Bien encadré quoi.
Nous avons mis du temps à penser la géographie du stand puis à penser l'emplacement des collections. Je voyais l'heure tourner et je sentais que j'allais être trop juste pour venir chercher Vincent. J'ai appelé Sandrine vers 17h35 pour la prévenir. Elle a contacté ses parents et j'ai pu rester pour coller des affiches, des annonces de dédicaces, plier des cartons, bouger des piles à gauche, à droite, faire et défaire...
Nous avons pu partir à 18h30. Je me suis jeté dans un métro puis dans un RER. J'ai attendu Sandrine à la gare et nous sommes rentrés ensemble. Mes beaux-parents vont garder Vincent presque tous les soirs cette semaine. Juste ce que je ne voulais pas au départ mais bon, c'est vrai que là, c'est quand même super pratique...
Nous avons pu les relever de leurs fonctions assez rapidement pour prendre le relais. Bain, médicaments, biberons.
Entraînement de hand avec des exercices assez ennuyeux mais l'ambiance était bonne.
Nous avons match dimanche à La Grande Paroisse à 15h. Autrement dit, mon dimanche est complètement foutu. C'est à 70 km d'ici. Mon entraineur m'a dit que je devrais emmener ma femme. J'ai répondu : "Si j'arrive à convaincre ma femme de venir avec mon fils, un dimanche après-midi, à La Grande Paroisse, pour voir un match de hand, c'est que vraiment je suis très fort ou que je lui ai promis un cadeau extraordinaire pour Noël !"
Deuxième partie de soirée devant Pascal, le grand frère, toujours aussi fort... Emission qui ne donne pas envie d'avoir des adolescents !

24.11.08

Week-end

Vendredi soir

Retour à la maison avec encore des problèmes dans le RER. Une semaine maudite qui donne envie de tout plaquer ou plutôt d’avoir le pouvoir de se téléporter.

Soirée avec Julie et Guillaume. Le ventre de ma cousine s’arrondit, ni trop vite, ni pas assez. Ils sont encore dans la phase floue où les choses ne sont pas tout à fait réelles mais pourraient le devenir d’une seconde à l’autre. Julie m’a même dit : « j’ai hâte et en même temps, j’ai peur ! »
Elle nous a posé beaucoup de questions et a bien observé Vincent qui bouge partout, monte sur tout, affirme son caractère. J’ai essayé de ne pas faire celui qui a une super expérience et qui sait tout sur tout. J’ai parlé de ces 11 mois que nous venons de passer et de la connaissance que nous avons acquise finalement qui peut aujourd’hui nous faire relativiser sur les premiers mois.

Nous avons mangé des fajitas et un gâteau au chocolat en écoutant de la musique.

Samedi

Le matin, j’ai déposé Sandrine et Vincent chez le pédiatre. De mon côté, je suis allé à mon rendez-vous chez le pédicure pour me faire soigner mon ongle incarné. Je vous passe les détails mais ce n’est pas la première fois que ça m’arrive et je n’ai toujours pas compris la leçon. Avant d’entrer, j’ai hésité, me remémorant les dernières fois, la douleur, les doigts plantés dans le fauteuil mais j’ai pris mon courage à deux mains et je suis entré me faire charcuter.
Le pédicure avait l’air heureux de me revoir. Pas moi finalement et encore moins après.

J’ai retrouvé ma petite famille près de Cabrini et nous avons fait un petit tour aux Arcades.

Déjeuner chez les parents de Sandrine puis nous sommes allés chez mon oncle et ma tante à la Ferté. Nous devions rendre visite à ma tante, handicapée du pied, et ma mère en convalescence là-bas, handicapée de la main.
Sur la route, gros coup de barre de tout le monde, même moi. Les deux autres ont dormi et moi j’ai lutté de toutes mes forces. J’ai dû réveiller Sandrine pour la forcer à me parler de tout et de rien. Pour tenir le coup.

Après-midi cool. Vincent a dormi dès notre arrivée. Puis il a pris son goûter et a vadrouillé autour de la table basse. J’ai essayé de le prendre en photo mais il bouge vraiment beaucoup.

Retour à la maison sans trop de fatigue.

Soirée cool.J’ai pris le temps d’essayer un jour que Thomas m’a prêté : Day of crisis. Très bon, prenant, pas trop dur…

Dimanche


Le matin, je suis allé à l’éléphant bleu passer un coup d’aspirateur dans la voiture, encore bien remplie de résidus du week-end dans la Somme.
Le reste de la journée, pyjama ou jogging pour tout le monde avec un temps de merde dehors.

Marion et Maxime sont venues prendre le goûter à la maison. J’ai montré le jeu de tennis à Marion pendant que nos enfants bougeaient et que Sandrine s’endormait par terre, victime d’une migraine atroce qui l’a clouée au lit à 21h30.

J’ai continué le jeu de Thomas sans me coucher trop tard.

The love guru





Je n'avais pas vraiment entendu parler de ce film pourtant avec Mike Myers... Il doit y avoir une histoire étrange à ce sujet...

Le personnage de Pitka, le gourou de l'amour, est vraiment génial mais bien sûr l'humour est débile et le scènario quasiment inexistant mais bon, tant pis...

Jessica Alba, ouais, ok, bon, super sourire...

Justin Timberlake en canadien ultra membré est très drôle.

A voir une fois et à oublier.

Rambo 4











Bon, bah, voilà, j'ai vu Rambo 4.
Ce n'est pas un super film, c'est le moins qu'on puisse dire mais bon, il tue des mecs alors que il ne voulait plus tuer personne mais le pauvre, il n'y peut rien, il a ça dans le sang.
Heureusement, il y a les seconds roles qui ne servent à rien mais qui ont, pour la copine de Dexter, la chance d'être assez jolie, et pour le Ryan Chapelle de 24, la chance de jouer dans autre chose après sa sortie tellement géniale dans la série de Jack B.

21.11.08

Sex academy










Grosse merde vue hier soir par hasard sur M6.
Parodie de plusieurs films d’adolescents : sur le sexe (American Pie, Sex intentions), une fille moche qui devient super belle (Elle est trop bien), d’un film culte (American beauty), etc…

Des scènes grotesques, débiles, des dialogues horribles mais si on passe au dessus du côté affligeant, en fait ça reste super nul mais on se marre justement à cause de ça…

Comme les photos le signalent, on peut trouver dans ce film, la sœur de Meredith Grey dans Grey's anatomy, Lexie (héroïne moche qui en fait, juste après lui avoir ôté ses lunettes, devient très jolie) ; une méchante dans 24 heures Chrono, également héroïne du Dahlia noir qui joue ici une folle du cul, prête à se taper son frère ou une pauvre grand-mère perdue dans une fête d’ados juste pour assouvir ses fantasmes ; et le fameux Ted Mosby d’How I met your mother ? (Eh oui !) qui joue un second voire troisième rôle inutile…

Note spéciale pour un personnage du film. Le clapeur. Le mec qui lors d’une scène un peu tragique, cruciale, forte en émotion, débute les applaudissements de la foule en tapant dans ses mains, d’abord tout seul puis ensuite suivi par tout le monde… Et là, bah, il commence, il frappe dans ses mains et personne ne le suit du coup il a l’air con. Ca, ça m’a fait beaucoup rire.

C'est reparti !

Jeudi soir

Réunion une bonne partie de l’après-midi pour le prochain séminaire. Encore beaucoup de projets mais combien paraîtront vraiment ?

A mon retour Dalila avait déjà quitté les lieux pour son week-end dans sa famille.
Sandrine m’a appelé vers 17h15 pour prévenir qu’il y avait eu un « accident grave de voyageur » et que le trafic était entièrement coupé jusqu’à Nation. Elle m’a prévenu qu’elle rentrerait sûrement en voiture avec une collègue qui habite Chelles.
Un peu après 18h, je suis parti, ne sachant pas ce que j’allais trouver à Châtelet. Il y avait évidemment du monde sur le quai. J’ai pu monter dans un train qui allait à Neuilly, serré comme une sardine. Tout le monde se poussait. Certains soufflaient, soupiraient, avec parfois des haleines pas très fraiches. J’ai gardé mon calme, respiré à fond et poursuivi ma lecture. Un peu plus tard, j’ai réussi à me glisser dans les allées où l’air était plus agréable.
Je regardais les gens, le RER, les gares que nous traversions et j’avais très envie de rentrer à la maison et d’annoncer à Sandrine qu’on allait enfin tout plaquer pour se barrer faire un tour du monde. Ou peut-être juste déménager à la campagne, quitter la région parisienne. Ou peut-être juste acheter une maison avec un jardin. Ou peut-être juste partir en week-end. Ou peut-être juste nous coucher de bonne heure pour être en pleine forme pour la journée de demain…
Parfois, je me sens le courage de tout laisser tomber pour vivre sans contraintes, loin de cette grisaille… et puis dans la même seconde la réalité me rattrape et me fait froid dans le dos.

J’ai retrouvé la mère de Sandrine à la maison. Vincent avait l’air en pleine forme. Comme souvent avec Ana, je n’ai pas trop pu m’imposer. Elle a donné le bain à Vincent et attendu le retour de sa fille un peu avant 20 heures. Elle lui a donné le biberon et je l’ai ramenée chez elle.
Encore une fois, je n’ai fait que croiser Sandrine. J’aurais pu ne pas aller au hand aussi. C’est vrai.

On devait avoir un match amical contre Bry-sur-Marne et finalement, ils se sont défilés. Du coup, entraînement avec nos maillots et shorts de matchs. La jeune femme qui s’occupe du bureau est venue me voir pour me rappeler que je devais payer encore la moitié de la licence. Je me disais bien qu’il manquait quelque chose. Je me sens bien au Perreux. Comme ils sont moins forts, je suis plus à l’aise, plus en confiance alors je tente des choses que je ne tentais jamais à Ozoir (ou que je n’ai pas réussies au début et que je n’ai plus jamais refaites). Surtout en attaque. Je m’impressionne parfois en m’apercevant que je suis capable de faire tel ou tel truc. Rien d’exceptionnel non plus. Je ne vais pas intégrer l’équipe de France mais bon…

A mon retour, j’ai enfin pu passer quelques minutes avec Sandrine. Après l’avoir bordée, je me suis attelé à mettre à jour le blog. J’ai écrit en direct et quand j’ai voulu publier le message, la page internet ne s’ouvrait plus. J’avais quand mal écrit pas mal de paragraphes et je ne me voyais pas tout reprendre. Je me maudissais de n’avoir pas copié quelque part le post. Finalement, j’ai pu retrouver un brouillon que Blogspot enregistre automatiquement.

Ce matin, encore des problèmes dans le RER. Encore de la promiscuité gênante. Je regardais un film sur mon Archos pour passer le temps, un film assez violent qui donnait envie de se foutre un bandeau autour du front et d’attraper un arc, des flèches, un gros couteau, pour se promener dans la jungle.

Ce midi, discussion à propos des enfants avec deux collègues. L’une a ses enfants qui quittent progressivement la maison (syndrome du nid vide) ; l’autre a deux adolescents qui se chamaillent et ont moins besoin d’elle, du coup elle commence à s’ennuyer ; et moi au début, avec Vincent. Très intéressant. « Alors, comme ça, c’est difficile d’élever des enfants ? » ai-je fini par dire.

20.11.08

Bah, il était où Romain ?

Je viens de me rendre compte que je n'ai rien ajouté de nouveau sur le blog depuis le 05 novembre, enfin rien à part quelques livres, films ou autres... Comme si, contrairement à d'habitude, il ne s'était tout à coup rien passé dans ma vie... ou pire comme si je n'avais plus du tout eu accès à Internet...


Deux raisons à ce silence :


1° J'ai du boulot. Avant, je prenais un peu de temps dans ma journée pour mettre à jour les posts mais là, je n'ai pas eu le temps de le faire. Et de retour à la maison, le soir, j'ai préféré dormir plutôt que de me coucher tard pour écrire sur le blog.

2° Facebook. Finalement, j'y passe le peu de temps que je passais ailleurs. Je n'y raconte pas ma vie comme sur le blog mais disons qu'avec les photos, les statuts, les amis toujours connectés, en fait j'ai l'impression que nous savons tous à peu près en temps réel ce que nous sommes en train de faire, allons faire, etc.


Pourtant, il s'est passé des choses depuis le 05 novembre.


Notre week-end dans la somme, à Quesnoy-le-Montant, avec Laetitia, Micaël et Alexia ; Virginie, François et Armelle, Stéphane, Elodie ; et nous trois. Quatre voitures, quatre chambres dans une grande maison au milieu d'un grand jardin à l'herbe recouverte de feuilles mortes, aux couleurs de l'automne, avec trois moutons dans un enclos juste à côté... Un village calme. Et la nuit, derrière les fenêtres, le noir complet comme nous ne sommes pas habitués à le voir, nous petits citadins...


Quatre jours tous ensemble. Quatre couples, trois enfants, une playstation, du poker, le monopoly, le Time's Up, le scrabble. Des bons petits plats (raclette, tartiflette, crêpes, etc.). Du repos. Quelques sorties, notamment au Bois de Cise où je tenais vraiment à tous les emmener.


Dans l'ensemble, tout s'est plutôt bien passé. Evidemment à huit, les rythmes sont un peu différents mais si, dans les prochains mois, une nouvelle occasion se présente, je crois que nous sommes tous prêts à repartir.


Vincent souffrait vraisemblablement de ses dents car il a été bizarre pendant une partie du week-end. Il se plaignait souvent, poussait des cris stridents assez énervant. Nous avons dû égallement mettre en place notre autorité, ce qui n'est pas simple, pour la première fois, surtout qu'il est plutôt cool d'habitude.

Il est tombé sur la table basse.
La chaise sur laquelle nous l'avions installé avec un adaptateur est tombé, me causant une frayeur assez difficile à faire passer.

Il s'est dessiné, sous la surveillance de Micaël, alors que nous étions partis Sandrine et moi, chercher les croissants à Abbeville, sur la joue avec un stylo. Ils ont tous nettoyé Vincent et ont attendu un peu avant de nous en parler à notre retour.


Moi aussi, je me suis vautré. Pendant le monopoly, je me suis soudain levé de table pour courir dans la cuisine récupérer mon alliance que j'avais retirée pour faire la vaisselle et je suis retourné m'assoir en courant, mais j'avais mes chaussettes aux pieds et bien sûr j'ai glissé. J'ai eu peur, les autres aussi mais ils riaient pas mal. J'ai immédiatement relevé ma tête puis, pour rire, je l'ai laissée retomber sur le sol, mimant un évanouissement, mais juste une micro seconde. Là, ils ont à nouveau eu peur, Sandrine surtout qui s'est levée de sa chaise. Je me suis redressé aussitôt et elle n'a pas vraiment apprécié ma blague. Bref.


Lundi soir, vers 1h du matin, alors que nous étions en pleine partie de poker, et que Sandrine et Virginie s'apprêtaient à se lancer dans une seconde partie de Scrabble, une coupure de courant. Je rappelle la scène : grande maison au milieu de nulle part, les propriétaires que nous n'avions toujours pas vus à côté dans une autre maison, la nuit noire dehors, aucune connaissance de cachettes des bougies ou lampes torches... Stéphane s'est levé et s'est dirigé à la lumière de son zippo vers le compteur mais ça ne venait pas de là. Les filles ont commencé à avoir un peu peur, surtout Sandrine, que j'ai essayé de rassurer comme j'ai pu (même si au fond de moi, je n'étais pas très fier). Nous n'avions pas d'autres solutions que d'aller nous coucher mais personne voulait se lancer. Du coup Stéphane a allumer un feu dans la cheminée et nous nous sommes tous blottis sur les canapés, à regarder les flammes, le bois crépiter, les couleurs rouge, orange, jaune s'entremêler... Stéphane et Elodie ont mis à jour leur profil Facebook grâce au portable de Stéphane qui permettait d'aller sur le net, au cas où cette coupure provenait d'un ou plusieurs Sérial Killers (Un quoi ?)

Franchement, si les propriétaires s'étaient présentés à notre porte pour nous aider, avec la tempête qui faisait rage dehors et cette histoire, plus tous les films d'horreur que nous avons pu voir, je crois que, par reflexe, on les buttait puis on cachait leurs corps puis on quittait les lieux et on ne reparlait plus jamais de cette histoire... qui bien sûr nous rattaperait dans "Souviens-toi l'automne dernier à Quesnoy !"

Les Hédin sont allés se coucher en premier. Puis Sandrine et Elodie, qui pour le coup se sont endormies dans le même lit.
Stéphane et moi sommes restés dans le canapé, à regarder un épisode Dexter sur la PSP de Stéphane (Série de circonstance...) jusqu'à ce que le feu finisse par s'éteindre quasiment en même temps que le retour de la lumière, vers 3h45.
Il a réveillé Elodie qui a rejoint son lit au radar et nous avons pu dormir normalement, rassurés.


Suite à ce week-end, j'ai traîné toute la semaine une fatigue atroce.


Vendredi dernier, j'ai invîté mes collègues : Thomas et Dalila. Elle avait préparé des bricks et fait un gâteau au chocolat. Stéphane était là aussi.

Au départ, ce devait être une soirée PES pusi finalement... Elodie et Anne, la copine de Thomas, nous ont retrouvé. Les filles étaient dans la cuisine et nous dans le salon. Thomas a pratiquement gagné tous ses matchs et moi tout perdu. Etrange une soirée où Stéphane ne gagne pas. Intéressant aussi.

J'ai ramené Dalila chez elle à Argenteuil. A l'aller pas de problème. Par contre, au retour, grosse fatigue. Mes yeux se fermaient, je me sentais lessivé. J'ai roulé doucement sur l'autoroute, du coup le trajet m'a paru long, mais long... J'ai poussé un vrai profond soupir de soulagement en garant la voiture.

Samedi dernier, ma mère, Claude et mon père sont passés à la maison. Mon père n'avait pas vu Vincent depuis le baptême. Il l'a trouvé changé. Il était lui aussi un peu étrange, pas dans son assiette, tracassé par des choses mystérieuses. Je ne sais pas ce qu'il y a exactement mais j'ai l'impression que nous avons du mal à communiquer ces derniers temps.
Dimanche, anniversaire d'Alexia. Beaucoup d'enfants. Les mecs parlaient voiture, maison, dehors ou à l'étage. Du coup, moi je suis resté avec Vincent pour le surveiller et finalement faire le baby sitter pour les autres enfants présents. Protéger aussi Vincent du deuxième garçon présent sur place, une petite tornade...
Semaine difficile pour Sandrine et moi, avec des problèmes dans le RER tous les jours et des soirées, avec le hand par dessus où nous ne faisons que nous croiser. Nous allons tout faire pour dégager du temps pour nous pendant le week-end.
Mardi, ma mère a eu une opération pour la soigner de son syndrôme du canal carpien. Elle est depuis en convalescence chez Francine, ma tante, qui elle s'était fait opérer du pied il y a quelques semaines. Les deux font la paire.
Vincent est en grande forme. Il se lève tout le temps, passe d'un meuble à un autre mais ne se lâche pas trop encore. Il ne s'épuise pas très vite et tente des cascades. Il faut vraiment être derrière lui tout en évitant de l'empêcher de faire ses propres expériences.
Deux nouvelles dents poussent (en haut).
Dans l'ensemble, c'est plutôt un petit ange.

Quantum of solace



Voilà, je l'ai vu. Je ne me sens ni mieux ni moins bien. Je ne suis pas impressionné par Daniel Craig et encore moins par Mathieu Amalric.

Il y a quelques scènes d'action sympathiques dont James Bond ressort toujours en pleine forme, le costume à peine sali, la classe anglaise quoi...

Il voyage beaucoup : Londres, Port au prince, Bolivie, Autriche, Moscou, Sienne... Avec ou sans passeport, avec ou sans avion...

Quelques femmes par-ci par-là et hop le nouveau JB007...

Bof.

18.11.08

La vie des autres





Très beau film allemand (eh oui, c’est possible).
Sensible, intelligent, poignant, bien joué.

Un film qui ne donne pas envie de vivre du côté est de l’Allemagne dans les années 80.

14.11.08

Papa est en haut




Nous avons pu voir ce spectacle grâce à notre freebox et au service TV Perso. Le spectacle était là, disponible, gratuit, bonne qualité, bon son... incroyable... Du coup, j'ai pu découvrir qu'il y avait d'autres choses très intéressantes.

Nous n'avons pas arrêté de rire.
Très fort, très drôle et très sensible à la fois.
Des sujets qui nous touchent : les enfants, les parents, le quotidien...

La vie en sourdine






Je profite de ce post pour remercier Nico de m’avoir prêté cet ouvrage. J’avais prévu de le lire mais c’est toujours plus sympa de se prêter des bouquins (oui, ça y est, je prête mes livres).

Je suis un peu déçu par la qualité du dernier roman de David Lodge. Ca paraît à la fois autobiographique et à la fois fictionnel, mais la différence n’est pas très claire. Il n’y a pas vraiment d’histoire ni de fil conducteur. Tout tourne quand même autour de la surdité du narrateur et des problèmes que cela entraîne dans sa vie privée. Nous sommes toujours dans le milieu universitaire mais ce n’est plus qu’en toile de fond.

En lisant, je me disais qu’il manquait quelque chose, que le livre n’était pas abouti.

En fait, j’aurais adoré lire le journal intime de David Lodge. Ou un roman plus soutenu, plus rempli. Mais pas un mix des deux…

Attention, ça reste tout de même de la bonne littérature et un livre intéressant mais disons que, par rapport aux précédents, il y a goût de moins bien…

Photos de notre week-end entre amis dans la Somme !

Pour ceux qui ne sont toujours pas sur Facebook, voici le lien vers les photos :


http://picasaweb.google.com/leschosessimplesenphotos/WeekEndGTe#

7.11.08


Découvrez Radiohead!

5.11.08

Début de semaine

Lundi

Le soir, j’ai récupéré Vincent chez la nourrice. Je lui ai demandée si elle avait passé un bon week-end. Elle a répondu : « Bah, oui, à part que le ciel nous ait tombé sur la tête ». J’ai haussé les sourcils et elle m’a montré l’état de son plafond, à l’étage, complètement troué à cause d’une grosse fuite d’eau… Heureusement, c’était vendredi soir, sans les enfants, et de toute façon, à un endroit où les enfants ne restent jamais mais quand même, ça fait flipper !

A la maison, Vincent a encore une fois fait le casse-cou. Il avait l’air très fatigué et tenait un peu moins bien sur ses appuis. Il avait tendance à se casser la figure un peu trop souvent mais se relevait tout de suite.

Nous avons couché Vincent et nous avons mangé à toute vitesse. Au lit, à 21h40, je ne savais pas que ça pouvait être possible, je ne pensais pas pouvoir m’endormir mais si sans problème.

Mardi


En rentrant à la maison, j’ai essayé de coucher Vincent qui semblait crevé mais il n’a pas eu l’air d’être d’accord. Je suis allé le reprendre dans son lit, où il se tenait debout en dansant. Je crois que c’est un petit filou ce garçon…

Comme la veille, avec un épisode de Dexter en plus et au lit à 22h30.

Mercredi


Squash le midi. Mon collègue a fini dans un mauvais état. Il voyait des étoiles et a mis du temps à récupérer. Ca n’avait pas vraiment de rapport avec ma puissance ou je ne sais quoi. C’est surtout qu’il fait beaucoup de sport en dehors et que le squash par-dessus, c’était un peu dur.

Ah, oui, sinon, je ne sais pas si vous êtes au courant mais Obama est le nouveau président des Etats-Unis.

3.11.08

La semaine

Je ne sais plus trop ce que nous avons fait cette semaine alors je vais tout sortir comme ça me vient.

Lundi, mardi et mercredi, j’ai eu pas mal de boulot, à cause du séminaire. Du coup, je ne suis pas allé à la salle de sport avant jeudi pour un squash. Mon collègue s’améliore vraiment et moi j’ai l’impression de stagner. Dur, dur.

Mardi soir, entraînement à 19h30 (horaire des vacances) jusqu’à 21h30. Et pas d’entraînement jeudi soir. Il y a avait un match à Créteil mais il fallait y être à 19h30.

Mercredi et jeudi, ce sont les parents de Sandrine qui sont passés chercher Vincent.

Mercredi, soirée du mercredi à la maison avec les Pinto (sans Micaël qui travaille comme un ouf), Stéphane et Elodie et Adrien. Soirée pizza très sympa. Adrien avait ramené un gâteau au chocolat qui faisait vraiment plaisir…

Vendredi, je ne travaillais pas mais j’ai quand même laissé Vincent chez la nourrice de 9h jusqu’à 16h30. J’ai pu faire les courses, ranger un peu la maison, me raser, me tondre. Nicolas est venu manger à la maison le midi puis nous avons joué à la WII, au tennis et à Mario et Soni aux jeux olympiques. Il est parti de la maison avec quelques courbatures, convaincu de ne jamais plus penser à acheter une WII, trop épuisante cette console. Il m’a dit : « avant on pouvait jouer aux jeux de sport sur les consoles sans être sportifs, maintenant, il faut aussi être sportifs pour jouer dans son canapé ! » (Je cite de mémoire).

J’ai récupéré Vincent chez la nourrice. Elle m’a dit qu’il était tombé sur sa dent du haut et qu’il avait un peu saigné. J’ai retrouvé Sandrine aux Arcades pour faire un tour chez Jules pour moi et rentrer.

Dans la soirée, avec Sandrine, nous avons regardé un petit film qui fait peur (mais qui en fait ne faisait pas peur), histoire de faire Halloween.

Samedi

Le midi, raclette avec une collègue de Sandrine et sa copine. Très sympa. Nous avons essayé de les initier à la WII.
Vincent est à nouveau tombé sur sa lèvre et a encore saigné. J’étais pourtant tout prêt de lui mais il a glissé plus vite que prévu. En tout cas, ça ne le traumatise pas car il repart de plus belle, il s’accroche aux meubles, à nous. Il bouge, cherche un truc à faire tout le temps.
Le soir, Séverine, Jérémie et Calie sont venus manger les restes du midi. Deux raclettes dans la même journée, ça fait mal mais c’est super bon.

Dimanche

Repas chez les parents de Sandrine puis un court passage chez les Vantalon. Vincent n’est pas tombé.

Soirée cool à la maison devant quelques séries.

La petite fille de Monsieur Linh





Comme toujours chez Philippe Claudel, la qualité d'écriture est indéniable et la sensibilité toujours présente.

Court texte sur le déracinement, la confrontation des cultures, la vieillesse.

Même si on devine vite la fin, ça rend l'histoire encore plus pathétique et puissante.

The party ; Phénomènes


Un film drôle, décalé. Un bon moment de cinéma. Un classique à voir.


La bande annonce était prometteuse, le sujet génial mais finalement, l'ensemble retombe.
Le début du film est prenant mais plus on apprend le pourquoi du comment plus on se demande "qu'est-ce que c'est que tout ça ?"
De plus, un ou deux acteurs sont assez mauvais.
En résumé : mieux vaut ne regarder que la bande annonce.