Les choses simples

31.3.11

Le phare



Pendant la guerre d'Espagne, un jeune homme trouve refuge dans un phare auprès d'un homme qui lui redonne goût à la vie en lui conseillant de suivre ses rêves même les plus fous. Très beau.

Le voyage d'hiver (livre lu)


Ecoute qui dure 1h54. Pendant que je jouais à la WII, j'ai écouté un livre d'Amélie Nothomb. Pourquoi pas ?

Le blog de Frantico


Quelques mois d’un blog qui a fait le buzz en 2005.

Le désespoir sexuel d’un looser (encore), gras et chauve, qui se bat contre sa bonne/mauvaise conscience pour ne pas « niquer » tout ce qui bouge. Il se masturbe lui aussi plusieurs fois par jour tout en voulant devenir un grand dessinateur de BD publié par les meilleurs.

Certaines scènes sont vraiment hilarantes, genre un peu Viedemerde.com, mais d’autres sont vulgaires sans raison apparente.

Epuisé et Le pauvre type


L’histoire de Joe Matt, dessinateur de BD, pingre, pornophage, branleur, qui passe son temps à penser aux femmes, à vouloir les sauter, à monter un film qui ne serait composé que de scènes pornos avec seulement les femmes à l’image. C’est un peu l’image du looser qui reste enfermé chez lui pour se masturber au moins six fois par jour… Il traîne avec ses potes qui essaient de le comprendre mais sans succès…



Le même genre d'histoire (en réalité, le tome 1 et l'autre est la suite). Sa copine le quitte, il essaie de s'en remettre. Il se masturbe, drague sans réussite. Et raconte tout dans son blog. Pathétique mais du coup assez drôle...

Wilson et Le rayon de la mort


C’est l’histoire d’un mec seul qu’on découvre à 43 ans et qui perd son père. Il a un chien et semble détester le monde, un vieux con. Son ex-femme l’a quitté il y a plusieurs années. Il se retrouve dans des situations étranges où il est le seul à parler, le seul à se plaindre et être méchant. Il finit par mourir seul. Une histoire un peu glauque avec des dessins différents pour représenter le même personnage, de courtes scènes, mais un ensemble qui ne laisse pas indifférent.



Un adolescent se découvre un super pouvoir transmis par son père disparu, il devient hyper fort lorsqu’il fume. Il découvre aussi un pistolet laser qui lui permet de faire disparaître des choses et surtout des gens. Ce pouvoir qui le fait exister pendant cette période qui peut être hautement traumatisante devient très vite un handicap surtout avec son meilleur ami, toujours à ses côtés, qui ne cesse de le harceler pour toujours faire plus avec son pouvoir… Jusqu’à l’irréparable… Vraiment bien, voire génial !

24.3.11

Je mourrai pas gibier


Violent, sauvage, profond. Un bijou.

Ex abrupto

Un ouvrage composé seulement de crayonnés, sans bulles ni dialogues, d'une poésie brute et parfois opaque.

Le sens de la vis 2



Comment dessiner un rond parfait ? Comment trouver l'inspiration en soi, auprès des autres, dans la nature ou en se bourrant la gueule ?
Philosophique, créatif et débile... J'adore !

11.3.11

La reconstruction



Un roman qui se déroule autour de la place Saint-Sulpice et du jardin du Luxembourg, très parlant pour moi que je travaille juste à côté mais qui se situe surtout dans le passé, en Allemagne, en République Tchèque, pendant la seconde guerre mondiale, et en 1968.

Il s’agit de la reconstruction d’un pays, l’Allemagne, d’un homme, d’un passé, d’une identité.

Très bien écrit et passionnant.

Où on va, papa ?


L’auteur, par petites touches, sur des pages très aérées, racontent sa vie avec ses deux enfants handicapés. Des anecdotes, des sensations, des impressions… On comprend ce qu’il essaie de faire passer par l’ironie, l’humour ou la vérité puissante, mais je trouve qu’on ne rentre jamais vraiment dans le sujet… On ne fait que l’effleurer et même si le thème est grave, j’aurais aimé m’y confronter un peu plus.

Passagers clandestins

Un ancien roman de Timothy Findley édité chez Actes Sud.

Il réécrit l’histoire de l’arche de Noé. C’est assez lourd et très long mais d’une grande richesse biblique. Cependant, pas du tout le meilleur Findley.

Quitter le monde

Beau roman sur le destin d’une femme qui oscille entre bonheur et tragédie, entre réussite et échec, et qui fini par ne plus vouloir être personne, pour faire le moins de vague, le moins de bruit possible. Juste avancer chaque jour, respirer et s’étonner d’être toujours là malgré toutes ces souffrances.

Chaque partie correspond à une période marquante de la vie de cette femme. Le roman se lit assez vite malgré sa taille. C’est le premier livre de Douglas Kennedy et il m’a donné envie d’en lire au moins un autre pour pouvoir comparer…