Les choses simples

28.6.11

Hush-hush


Des petites chroniques liées à une rupture difficile. Ce n'est pas très bien organisé, ce qui correspond aussi à l'état du personnage, mais l'ensemble laisse un goût agréable.

La vie secrète des jeunes T. 2


Toujours aussi drôle mais également aussi désespérant, parfois, quand on termine une chronique sur la violence gratuite, l'incompréhension des gens, etc.

Freakangels Tome 2


Cela reste à la hauteur de mes attentes. Je vais chercher les tomes suivants.

Le jour du marché


Sombre et dur.

Omni-visibilis



Une belle réussite sur un sujet ultramoderne. Toute la planète voit ce que voit le personnage principal et suit ses aventures. Au fur et à mesure, cela prend des proportions incroyables voire dramatiques.

Le promeneur


Des petites scènes de vie liées à la promenade dans les rues.

Les années douces T. 2


Très beau, doux, tendre.

Selon Charlie


Une ville au bord de l'Atlantique, hors saison. Trois jours, sept personnages, sept vies en mouvement, en quête d'elles-mêmes, qui se croisent, se ratent, se frôlent, se percutent et qui en se quittant, ne seront plus jamais les mêmes. © Allociné

C’est toujours un plaisir pour moi de retrouver Bacri même dans un film où il doit partager l’affiche avec d’autres très bons acteurs. J’aime bien les films où des destins se croisent. Celui-ci est pas mal malgré des non-dits qui finalement auraient pu être expliqués.

Rapt


Homme d'industrie et de pouvoir, Stanislas Graff est enlevé un matin comme les autres devant son immeuble par un commando de truands.
Commence alors un calvaire qui durera plusieurs semaines. Amputé, humilié, nié dans son humanité, il résiste en ne laissant aucune prise à ses ravisseurs. Il accepte tout sans révolte, sans cri, sans plainte, c'est par la dignité qu'il répond à la barbarie.
Coupé du monde, ne recevant que des bribes d'informations par ses geôliers, Graff ne comprend pas que personne ne veuille payer la somme qui le délivrerait.
Au-dehors, son monde se fissure au fur et à mesure de la révélation de sa personnalité. Tout ce qu'il avait réussi à garder d'intimité, son jardin secret, est révélé à sa famille par l'enquête de police ou celle de la presse.
Chacun découvre un homme qui est loin de ressembler à celui qu'il imaginait.
Quand il retrouvera la liberté, ce sera pour s'apercevoir qu'il a tout perdu, l'amour des siens, l'estime de ses collègues, son pouvoir, la confiance en ses proches.
Sa libération se révélera plus difficile à vivre que sa captivité. © Allociné

L’idée est intéressante, assez bien traitée mais c’est lent et très long, avec des dialogues surjoués, notamment la famille du personnage principal.

The killer inside me


Lou a un tas de problèmes. Des problèmes avec les femmes. Des problèmes avec la loi. Trop de meurtres commencent à s'accumuler dans la juridiction de sa petite ville du Texas. Et surtout, Lou est un tueur sadique et psychopathe. Lorsque les soupçons commencent à peser sur lui, il ne lui reste pas beaucoup de temps avant d'être démasqué... © Allociné

Casey Affleck est vraiment inquiétant et joue parfaitement son rôle.
L'histoire est bien tordue et met mal à l'aise. Et peut ne pas plaire du tout. C'est blanc ou noir.

Les fous du roi


Les Fous du roi raconte l'ascension politique d'un idéaliste en Louisiane et révèle la corruption qui conduira à sa chute. Avec pour toile de fond un univers politique qui exacerbe ce qu'il y a de meilleur ou de pire chez l'homme, ce film nous entraîne dans les arcanes de l'âme humaine. De la pureté à la trahison, de la culpabilité à la rédemption, cette fable est plus que jamais d'actualité. © Allociné

Film avec un casting impressionnant dont je n’avais pourtant pas du tout entendu parler. Tous les acteurs sont bons même les seconds rôles, Sean Penn est monstrueux comme souvent… mais il manque tout de même quelque chose à ce film. Je n’arrive pas à savoir quoi exactement. Il m’a laissé une impression particulière, indéfinissable, qui m’empêche de trancher sur la qualité.

Le temps des porte-plumes


Eté 1954.
Pippo, 9 ans, secret et indépendant, est recueilli par Gustave et Cécile, un couple d'agriculteurs qui vit dans l'Allier.
C'est la période des travaux des champs et la perspective d'une nouvelle vie pour le petit garçon.
Marqué, Pippo trébuche dans ce nouveau monde.
Certains personnages autour de lui l'attirent et le séduisent. Les barrières cèdent peu à peu, Pippo se construit. © Allociné

Assez lent mais poétique, avec de belles images. Jean-Paul Rouve est vraiment très bon.

L'entente cordiale


Le Géorgien Viktor Zilenko a dérobé aux Russes la puce "Exterminator". Implantée dans le corps d'un soldat, elle supprime toute sensation de douleur. Mais si au bout de 12 heures le soldat n'est pas revenu de sa mission, la puce explose et le soldat avec !!
La Russie veut racheter ce "bijou" de nanotechnologie militaire par l'intermédiaire des services secrets français.
Viktor ne veut procéder à l'échange qu'avec un ex-diplomate français en qui il a toute confiance : François de La Conche. Le châtelain accepte de reprendre du service pour servir la nation.
Viktor Zilenko doit lui remettre un pistolet seringue contenant la puce contre un code bancaire sécurisé sur lequel se trouvent 25 millions de dollars.
François sera accompagné d'un interprète : Jean-Pierre Moindrau. Séducteur invétéré, ce dernier profite de la mission pour rejoindre sa fiancée indienne à Londres... © Allociné

C'est assez mauvais. J'ai déjà vu Daniel Auteuil dans de meilleurs films... Par contre, Christian Clavier...

Casablanca


A Casablanca, pendant la Seconde Guerre mondiale, le night-club le plus couru de la ville est tenu par Rick Blaine, un Américain en exil. Mais l'établissement sert également de refuge à ceux qui voudraient se procurer les papiers nécessaires pour quitter le pays. Lorsque Rick voit débarquer un soir le dissident politique Victor Laszlo et son épouse Ilsa, quelle n'est pas sa surprise de retrouver dans ces circonstances le grand amour de sa vie... © Allociné

Plutôt bien joué, sans surprise ni effets. Je ne savais pas que le film était aussi "français"...

20.6.11

La nuit du chasseur



Un prêcheur inquiétant poursuit dans l'Amérique rurale deux enfants dont le père vient d'être condamné pour vol et meurtre. Avant son incarcération, le père leur avait confié dix milles dollars, dont ils doivent révéler l'existence à personne. Pourchassés sans pitié par ce pasteur psychopathe et abandonnés à eux-mêmes, les enfants se lancent sur les routes. © Allociné

C'est un peu dâté et souvent surjoué mais c'est pas mal quand même.
Je préfère fortement la première affiche.

Australia


Fin des années 30.

Lady Sarah Ashley, une aristocrate anglaise hautaine et renfermée, arrive au coeur des paysages sauvages du Nord de l'Australie pour y rejoindre son mari qu'elle soupçonne d'adultère, et qui tente - sans succès - de vendre l'immense domaine qu'ils possèdent sur place : Faraway Downs.

Elle ne tarde pas à découvrir que l'exploitation est au bord de la ruine et menacée par son propre contremaître, Neil Fletcher, un homme sans scrupules de mèche avec un puissant éleveur, prêt à tout pour précipiter la chute du domaine et s'en emparer.

Pour sauver Faraway Downs, Sarah n'a pas d'autre choix que de s'allier à un "cow-boy" local un peu rustre connu sous le seul nom de "Drover", et de parcourir avec lui des milliers de kilomètres à travers les terres aussi magnifiques qu'inhospitalières du pays afin de mener jusqu'à Darwin 1500 têtes de bétail.

Peu à peu transformée par la puissance et la beauté des paysages, touchée par la rencontre d'un jeune aborigène orphelin, Sarah découvre des sentiments qu'elle n'avait jamais éprouvés jusqu'alors.

Au terme de leur périple, la seconde guerre mondiale a rattrapé l'Australie, et la ville de Darwin doit désormais faire face aux bombardements japonais.

Pour la première fois de sa vie, Sarah sait pour qui et pour quoi se battre, et est prête à tout pour sauver ce qui compte désormais pour elle. © Allociné

Pas mal. Un peu long et des situations classiques mais bon...

Paranormal activity 2


L'esprit démoniaque du premier Paranormal Activity est de retour, et c'est une nouvelle famille fraîchement installée dans une belle demeure qui va en faire les frais... © Allociné

Le premier nous avait laissé indifférent, nous avions eu l'impression d'avoir perdu notre temps. Là, c'est un peu mieux... et ça pourrait presque faire peur quand on habite une maison et qu'il fait nuit...

Skyline


Après une soirée bien arrosée, un groupe d'amis est réveillé par d'étranges lumières dans le ciel. Ils découvrent avec horreur de gigantesques vaisseaux extraterrestres surplombant les métropoles du monde entier. De puissantes sources lumineuses semblent aspirer les hommes par milliers... La stupeur passée, la fuite et la résistance s'organisent. L'humanité est-elle condamnée à disparaître ? © Allociné

Ce n'est pas bon, pas bon du tout... Je crois même que je me suis endormi...

Piranha - 3D


Alors que la ville de Lake Victoria s'apprête à recevoir des milliers d'étudiants pour le week-end de Pâques, un tremblement de terre secoue la ville et ouvre, sous le lac, une faille d'où des milliers de piranhas s'échappent. Inconscients du danger qui les guette, tous les étudiants font la fête sur le lac tandis que Julie, la shérif, découvre un premier corps dévoré... La journée va être d'autant plus longue pour elle que Jake, son fils, a délaissé la garde de ses jeunes frères et sœurs pour servir de guide à bord du bateau des sexy Wild Wild Girls ! © Allociné

Peut-être qu'en 3D, le film est plus fort. Là, c'est du second degré et un scénario classique. C'est plus drôle que terrifiant, malgré les scènes bien gores.

A serious man


1967. Larry Gopnik, professeur de physique dans une petite université du Midwest, vient d'apprendre que sa femme Judith allait le quitter. Elle est tombée amoureuse d'une de ses connaissances, le pontifiant Sy Ableman. Arthur, le frère de Larry, est incapable de travailler et dort sur le canapé. Danny, son fils, a des problèmes de discipline à l'école hébraïque, et sa fille Sarah vole dans son portefeuille car elle a l'intention de se faire refaire le nez. Pendant ce temps, Larry reçoit à la fac des lettres anonymes visant à empêcher sa titularisation, et un étudiant veut le soudoyer pour obtenir son diplôme. Luttant désespérément pour trouver un équilibre, Larry cherche conseil auprès de trois rabbins. Qui l'aidera à faire face à ses malheurs et à devenir un mensch, un homme bien ? © Allociné

Un bon film, dans lequel il faut prendre le temps de rentrer.

17.6.11

Pas si simple


Une comédie romantique pour quinquagénaires.


Je n’étais pas dans la cible.

A bout portant


Une vraie réussite avec du suspens, peu de temps morts, des rebondissements, de l’action… Seul bémol, une fin un peu trop rapide.

Raiponce


Bon, pour moi, ça chante trop ! Mais si on retire ce côté-là, ce film est vraiment agréable, drôle et bien fait.

L'immortel


Bonne surprise française. Beaucoup de meurtres, de vengeance, de sang versé mais les acteurs sont très bons, même Kad Merad en méchant.

Buried


Filmé un mec enfermé dans un cercueil, avec un briquet et un téléphone, qui tente par tous les moyens de s’en sortir est déjà une réussite. Rendre l’ensemble suffisamment intéressant pour que le spectateur ait envie d’aller jusqu’au bout est presque un exploit. Ajouter à cela du suspens et ça vous donne une bonne surprise. Pas le meilleur film de l’année non plus mais quand même…

The Killing room



Le début est assez bluffant et puis ça traîne un peu et à la fin, on se demande si c’était juste pas mal ou plutôt bof.
Apparemment, il n’était pas sorti en salle.

10.6.11

Un esprit sain dans un corps sain

Samedi 28 mai

Le matin, je me suis lancé dans un footing en suivant le chemin de la course à pied prévue le lendemain. Je suis parti de la maison avec mon téléphone pour écouter de la musique mais cette fois avec mon casque. Malheureusement, il y a toujours un souci avec l’embout de mon téléphone et cette fois, je n’ai pu entendre que la partie musicale des morceaux que j’avais sélectionnés. D’une certaine manière, c’est original de ne pas entendre les chanteurs, ça permet de découvrir les différentes strates du morceau, des détails insignifiants à l’écoute habituelle qui prennent dès lors toute leur importance.

J’ai couru à peu près 9 km sur un rythme soutenu pour moi et à la fin je me sentais bien. Et surtout j’avais bien pensé à prendre mes clés.

Dimanche 29 mai

Je me suis habillé et je suis allé en courant jusqu’au stade Alain Mimoun où avait lieu le départ de la course. J’ai fait la queue pour récupérer mon dossard avec la puce intégrée dedans ainsi qu’un t-shirt rouge de le course. Cette fois, on pouvait avoir le t-shirt avant même de courir.

Mon père et ma sœur sont venus me voir. Ma sœur s’est même échauffée avec moi. Ma mère, Sandrine et Vincent sont arrivées quelques secondes avant le départ. Ma mère était aussi là pour soutenir son ami, Claude, qui avait décidé un peu plus tôt dans la semaine de faire lui aussi cette course.

Avant le départ, j’ai croisé Laetitia N. accompagnée d’un de ses frères. Elle faisait la course pour la troisième fois je crois.

Sur le parcours, je me suis aperçu que j’avais mal observé les routes traversées sur le site Internet et que j’avais suivi une partie du chemin qui n’était pas du tout concerné.

J’ai écouté de la musique sans trop de soucis. J’avais coincé le micro kit main libre de mon écouteur gauche dans une branche de mes lunettes et ça a pas trop mal tenu.

Je n’avais pas de montre et je ne voulais pas regarder sur mon téléphone ni connaître mon temps de passage à la moitié. Je voulais faire une course de reprise, détendue, pour avoir un nouveau temps de référence à une date donnée.

J’avais prévu d’accélérer au 8ème kilomètres mais je n’ai pas pu, ou en tout cas, pas comme je voulais. Je termine la course en 50’58’’ min, ce qui est tout de même mon nouveau record. Ce qui m’a étonné n’ayant pas fait vraiment d’entraînement de course à pied alors que Stéphane m’avait prédit la veille que j’allais sûrement faire un temps de ce genre car le badminton m’avait rendu plus affuté que la handball à l’époque.

Un matin de la semaine suivante, je me suis réveillé à 6h et je suis allé faire un petit footing, à peu près 6km.

Puis, lors du dernier week-end chez Olivier et Sandy, Olivier et moi avons couru deux fois, sur des parcours sympathiques, l’un aux bords d’une rivière (8km), l’autre qui nous a fait aller de chez lui à un château situé à presque 10 km de là où nous attendaient les filles avec les enfants dans un parc.

Ce matin, je me suis à nouveau réveillé à 6h pour faire le même parcours que la dernière fois et je suis allé un peu plus vite.

C’est étrange, cette envie de courir. Je ne suis pas sûr que cela dure. Ou si peut-être jusqu’à ce qu’il se mette à faire froid, à pleuvoir, etc.

Seul bémol à ce tableau sportif, j’ai une petite douleur à la main droite (ou au poignet, je n’arrive pas à bien définir) qui s’est fortement réveillée lundi dernier. J’arrive à tenir ma raquette mais ça me gêne sur certains mouvements. Je suis retourné à l’entraînement mercredi soir, j’avais encore mal mais j’ai pu jouer les trois heures sans inquiétude.

Aujourd’hui, je sens que ça va mieux mais je crois qu’après le tournoi du club de dimanche prochain, je vais m’arrêter un peu pour éviter une blessure débile et plus grave.

Echo T. 3


Je trouve que ça n'avance pas très vite mais bon c'est toujours bien...

Comme les 5 doigts de la main


On dirait La Vérité si je mens mais du côté des mauvais garçons.

C’est l’histoire d’une fratrie, traumatisée par la mort du père, et très proche de la mère.
Un des 5 frères est un peu la brebis galeuse et se retrouve, après quelques temps en prison, dans une situation dramatique, poursuivie par un gitan que rien ne retient et qui veut tuer tout le monde. Entre Marseille et Paris, entre passé et présent, entre grande gueule et secrets de famille, le film essaie de faire du thriller américain mais n’y arrive pas vraiment.
Les acteurs ne sont pas mauvais (même Bruel) mais il y a trop de moments irréalistes, il y a trop de fric, de poker, et je n’ai pas du tout cru au passage des petits bourgeois parisiens aux combattants de l’armée israélienne les mains pleines de mitraillettes…

L'autre monde


Film assez moyen même si cette fois Louise Bourgoin joue bien mieux.

Le scénario est assez faible et le plus intéressant tient surtout au film d’animation / jeu de réalité virtuelle dans lequel les personnages principaux s’enferment… plus qu’au film lui-même.

L’affiche du film est bien trop racoleuse par rapport au sujet traité et aux images vues.

8.6.11

Blanc comme neige


François Cluzet est un acteur génial. Même dans un film moyen comme celui-ci.

Le personnage principal, Maxime, a tout pour lui, l’argent, la gloire, l’amour et deux frères un peu marginaux. Lorsque son associé est retrouvé mort et que des finlandais viennent lui demander des comptes, il tombe de haut et se rend compte très vite que tout va basculer jusqu’à se retrouver dans une situation impensable, comme si le destin l’avait attrapé pour le jeter dans un tourbillon. Les acteurs sont bons, à part peut-être Louise Bourgoin qui, je trouve, surjoue un peu, mais le scénario est trop faible pour nous tenir en haleine. Et je trouve l’affiche du film un peu mensongère, en tout cas nous promettant quelque chose d’autre que ce que j’ai vu…

Un coeur invaincu





L’histoire racontée par Marianne Pearl de l’enlèvement, de l’enquête et de l’annonce de l’assassinat de son mari, Daniel Pearl, au Pakistan. Tout le monde a entendu parler de cette vidéo transmise aux rédactions mondiales montrant la décapitation du journaliste par ses ravisseurs.

Le film montre surtout Angélina Jolie qui essaie de ne pas craquer, qui rassemble autour d’elle ses amis, les policiers, l’ambassade, des journalistes, afin d’accélérer l’enquête car chaque minute compte depuis le jour de l’enlèvement. Elle est finalement peu présente à l’écran ou pour de courts moments liés à des flashbacks et le personnage principal reste Daniel Pearl.

Ce n’est pas très vivant et ça oscille entre le film et la docu-fiction mais connaissant cette histoire, il est difficile de ne pas se sentir touché.

Invictus



Je suis assez bon public des films sur des victoires sportives, sur l’histoire d’individus qui se transcendent pour un même objectif au sein d’un collectif.

Dans ce film, il y a surtout l’histoire de Nelson Mandela qui se retrouve au pouvoir après plusieurs années de prison et qui pense que l’organisation de la coupe du monde de Rugby en Afrique du Sud (1995) et la victoire éventuelle des Spingboks, aideraient fortement au rassemblement, à la réconciliation, de son peuple (noirs et blancs) qui a passé tant de temps à se mépriser.

Morgan Freeman joue parfaitement le rôle de Mandela et c’est surtout cela qui fait le film. Les scènes de Rugby sont bien faites, même le Haka des All-Blacks est ressemblant. Et la victoire finale de l’équipe d’Afrique du Sud nous laisse sur une ambiance euphorique.

Numéro quatre


Film vu avec Olivier et Sandy le week-end dernier.


De l’action, des pouvoirs que le personnage principal découvre petit à petit, une histoire d’amour avec une belle blonde, des effets spéciaux, tous les ingrédients sont réunis pour un film d’action-fantastique.

Malgré tout, je trouve qu’il manque des choses, des informations (qu’on retrouvera sûrement dans la suite…) et que finalement l’ensemble n’est pas très rempli.

Mais c’était quand même pas mal.

L'élite de Brooklyn


Film vu avec Olivier et Sandy le week-end dernier.


Il dure deux heures et tout se met lentement en place pendant 1h45. C’est difficile de rentrer dans l’histoire, de s’attacher aux différentes personnages qui finissent par se retrouver.

Ce n’est pas mauvais mais c’est trop lent, trop mou.

7h58 ce samedi-là


L’histoire de deux frères qui se retrouvent au même moment face à des problèmes financiers. Le plus grand propose au second de monter un braquage de la bijouterie familiale, un samedi matin, sans danger…

Malheureusement, rien ne se déroule comme prévu et les événements s’enchaînent, glissent entre leurs doigts et tout est dramatique.

C’est un peu lent mais les acteurs sont très bons.

Kick-Ass T.1


Ce premier volume est très prometteur. Il faut que je tombe sur les suivants avant de voir le film.
C’est drôle, violent, bien ancrée dans la vie réelle, un vrai plaisir.

1.6.11

New-York, I love you


Chaque réalisateur raconte une histoire qui se déroule à New-York. C'est souvent très beau.
Simple et beau en réalité. Des rencontres, des instants volés...
Deux réalisations ont retenu mon attention plus que les autres (même si l'ensemble est vraiment très bon) : la scène avec Robin Wright qui fume devant un restaurant et celle des petits vieux qui fêtent leur 63ème anniversaire de mariage...

Whatever works


Un bon Woody Allen avec un personnage cynique, dépressif, qui rencontre une jeune fille délurée, simplette et naïve, dans le New-York habituel... Un régal...