Dormir...

Samedi soir

Match contre Villiers sur marne. Nous avons gagné. Deuxième victoire de suite. Incroyable. Je n’ai qu’en deuxième période et seulement en défense mais c’était déjà pas mal vu mon assiduité aux entraînements ces derniers temps.

Dimanche

Nous avons mangé chez les parents de Sandrine. Cidalia était là et en a profité pour s’occuper de Vincent et piquer un peu la place d’Ana. De mon côté, pour éviter tout désagrément, j’ai décidé de passer la journée à déléguer. Je le laisse dans les bras des autres pour le bercer, l’endormir, le rassurer, le changer, l’habiller…
Dans l’après-midi, j’ai installé notre ancien ordinateur à l’étage et branché la connexion Internet. J’ai fait une formation express à Manu. Ce n’était pas évident. Il trouvait la souris difficile à manier et ne comprenait pas ce qu’il pouvait bien chercher sur Internet. Il semblait tout de même intéressé et m’a écouté très attentivement. Quand les filles sont montées, il a été assez fier de leur expliquer ce qu’il avait appris.

En début de soirée, ma mère et son compagnon sont passés boire l’apéritif (ça devient une habitude de venir chez nous boire un petit coup le dimanche soir…)

Lundi

Dur de revenir au boulot. Surtout qu’il y avait beaucoup de choses à faire.
Je suis rentré le plus vite possible pour retrouver ma petite famille. J’ai profité de mon fils et après manger, j’ai passé un peu de temps avec lui pour le calmer, le détendre et l’endormir.
Vers 22h, j’ai réussi à revenir dans le salon.
J’ai passé le reste de la soirée sur MSN où j’ai pu discuter avec M., un ancien ami que nous avions perdu de vue, suite à des histoires et des quiproquos sans fin… Je pensais franchement qu’il allait écourter la conversation mais finalement, nous sommes restés longtemps ensemble, pendant que Sandrine dormait sur le canapé.
Encore une fois, j’ai bêtement attendu que Vincent se réveille, vers 2h30 du matin. Je me suis couché à 3h pour me lever à 6h30. Je ne vais pas longtemps tenir le coup à cette allure là. Il faut que je dorme !!!

Je suis une légende

La première couverture reflète plus le sujet du roman que les autres, même si je trouve que la seconde est géniale, sur le plan symbolique.

Je n'ai pas vu le film mais je ne trouve pas l'affiche en rapport avec ce que je viens de lire et Will Smith n'a rien à voir avec le personnage... Enfin, c'est une adaptation.

Le thème du roman est très intéressant et la solitude du mec, déprimé, alcoolique, oscillant sans cesse entre espoir et désespoir, est vraiment bien rendu.

Au délà d'un livre sur l'épidémie, les vampires, c'est avant tout un ouvrage sur les masses face aux exclus, sur la normalité face aux différences...

En bref, j'ai adoré et je suis désormais bien curieux de voir le film.

Donjon parade T4. Des fleurs et des marmots

Ah, ah, ah, qu'est-ce que c'est drôle !

Et puis des dessins de Larcenet, ça c'est cool !

Un mois et quelques jours !

Retourner bosser un vendredi

Mercredi soir

Soirée chez les Pinto. Nous sommes partis après le repas du petit et revenus juste avant le suivant. Entre les deux, il a bien dormi dans sa nacelle, à côté de nous qui parlions fort, faisions du bruit. De retour à la maison, je n'ai pas caché ma fierté devant ce petit garçon merveilleux.

Jeudi soir

Du coup, le lendemain, je suis arrivé confiant chez Marion et Sylvain. Il dormait dans sa nacelle, ça partait bien et puis finalement, il a pleuré une bonne partie de la soirée. Il avait l'air d'avoir mal au ventre, ou un truc dans le genre. C'était donc moins simple que la veille et oui, en effet, nous n'avons pas un robot qui est chaque soir le même : il a un mois et nous offre tout...

Vendredi

Vincent a ouvert les yeux une bonne demi-heure avant mon réveil. J'ai accompagné Sandrine puis j'en ai profité pour me doucher et me préparer. Sandrine est allée se recoucher, j'ai fait un petit calin à mon fils et je suis allé manger.

Je suis donc parti plus tôt au boulot. J'y étais à 8h.

J'avais beaucoup de boulot. Ma collègue avait fait ce qu'elle pouvait mais elle ne pouvait quand même tout faire. J'ai donc passé la journée à déblayer les cent mille mails qui m'attendaient, ainsi que les merdes en cours...

Plusieurs personnes sont passés dans mon bureau me demander des nouvelles de mon fils, m'ont demandé si ce n'était pas trop dur d'être là, s'il faisait déjà ses nuits, etc.

Vers 16h30, j'ai ressenti un bon gros coup de barre. J'avais un mal fou à rester éveiller. Heureusement, ma collègue D. a décidé d'ouvrir sa bouteille de Champomy, un de ses cadeaux d'anniversaire, pour ses 30 ans, qu'elle avait gardé pour fêter la naissance de mon fils.

Je suis parti un peu avant 18h. Dans le RER, j'ai resisté longtemps avant de m'assoir sur une place disponible puis finalement, à Vincennes, j'ai cédé. Et j'ai dormi jusqu'à Neuilly, mon livre ouvert sur la même page.

Arrivé à la maison, j'a découvert une Sandrine resplandissante, une maison propre et bien rangée, un enfant endormi et le repas en train de cuire... Je me suis demandé si ma femme venait vraiment de la même planète que moi. A sa place, j'aurais eu le temps de faire le ménage dans une chambre, de mettre la table et de m'effondrer dans le canapé avant Vincent dans mes bras.

Notre fils a cependant décidé de ne pas dormir plus longtemps que quelques minutes. Nous avons passé la soirée à essayer de le calmer, de l'endormir, de le détendre, de l'aider. Sandrine s'est couchée très vite, avant 22h. Je suis resté un peu dans la chambre avec Vincent, le temps de vraiment l'endormir, dans mes bras, encore dans mes bras... mais j'assume.

Après cela, je suis resté dans le salon, au calme, à errer sur le net...

L'immeuble d'en face T2

J'avais trouvé le premier volume plutôt intéressant malgré un côté léger et naïf.

Le tome 2 me paraît encore plus léger voire creux. Je n'ai pas accroché, je ne me suis pas identifié aux personnages.

Bref, avis moyen dans l'ensemble.

Pipit Farlouse T1 et T2

Un jeune oiseau découvre ses premières émotions et prépare ses cours de survie ou sa première migration.



















C'est l'histoire de la migration et des aventures de Pipit et de ses amis perdus sur une île presque déserte.

Bonne fête Vincent

Et toujours le poing levé !














Quoi ma gueule ? Pourquoi tu me prends en photo au réveil ?

Rester calme

Ce matin, nous avons rencontré une nouvelle assistante maternelle. Elle nous a accueilli à la porte et ne nous a pas proposé d'entrer. Nous avons donc pris sur nous de le faire et de nous installer autour de la table. Elle s'est assise et a eu beaucoup de mal à prononcer plus de deux mots. J'ai donc lancé la conversation faisant à la fois les questions et les réponses. Je me disais en même temps que je lui parlais qu'il s'agissait surtout d'un entretien d'embauche et que c'était à elle de se vendre... Bref, nous lui avons donné notre amplitude horaire : 8h30 - 18h30 et elle a grimacé. Elle préfère travailler jusqu'à 17h30, après c'est trop tard. Quels parents travaillant sur Paris peut laisser récupérer ses enfants aussi tôt, à part ceux qui bossent de nuit ?

Nous ne sommes donc pas restés très longtemps.

Nous avons ensuite fait un petit tour aux Arcades. Sandrine voulait regarder des fringues pour Vincent mais rapidement, elle s'est sentie un peu lasse. Nous sommes allés quelques minutes à la FNAC, où j'ai vu Caroline, maman d'un petit Nino, à peine revenue de son congé maternité, et Sandrine, maman d'un Tao qui a bientôt deux ans, et enceinte de presque cinq mois. Du coup, la discussion a tourné autour des enfants. Elles nous ont fait partagé leurs expériences de maman. Sandrine était admirative, elle avait attendu que son fils ait au moins six mois pour venir se promener aux Arcades... Il n'y a pourtant rien d'exeptionnel. Même si j'avoue qu'il faut parfois se faire violence pour habiller Vincent et le plonger dans le monde extérieur.

De retour à la maison, nous avons mangé puis Sandrine, un peu souffrante (39°C de fièvre quand même..., et Vincent, ont dormi.

Pendant ce temps-là, j'ai fait deux trois trucs à la maison. Mais Vincent s'est réveillé assez rapidement. Il est resté avec moi une partie de l'après-midi pour laisser dormir sa mère. Cependant, voyant bien que je ne pouvais le calmer, n'ayant pas de lait dans ma poitrine, j'ai bien dû solliciter Sandrine à un moment.

Après le bain, il était plutôt calme puis il s'est mis à s'énerver, peut-être l'angoisse de la nuit qui tombe...

Carole et Olivier, deux acteurs de la pièce, sont passés en vitesse nous rendre une petite visite. Carole a gardé Vincent dans ses bras et nous a fait partagé son expérience, déjà un peu lointaine, son dernier enfant a aujourd'hui 18 ans. Elle nous a dit qu'en effet, l'angoisse de la nuit qui tombe était quelque chose de connue, surtout pour les bébés, les personnes âgées et les fous...

Après leur départ, Vincent a crisé un bon moment. Je me suis enfermé dans sa chambre avec lui pour le calmer, laissant Sandrine tranquille dans le salon. Je l'avais dans les bras et il criait, rouge, puis se détendait, les yeux lourds. Ce n'est pas un moment facile. Il faut prendre sur soi parce que ces cris épuisent tout le monde, le père comme l'enfant. J'ai tenté toutes les méthodes qui ont déjà fonctionnées jusqu'à présent et j'ai finalement réussi à l'endormir. Il ne faudrait pas que cela se passe comme ça tous les soirs, sinon on ne va pas s'en sortir.

Nous avons pu passer deux heures reposantes, affalés devant la télé puis Sandrine s'est couchée, toujours fiévreuse.

Bonne nouvelle : l'assistante maternelle avec qui le courant est bien passée et qui habite à deux rues de chez nous nous a appelé pour nous dire qu'elle gardait la place pour nous.

Nous devons encore en voir une demain puis nous prendrons une décision mais à mon avis, ce sera elle. Je serai bien content de retourner bosser avec ce souci en moins.

Mauvaise nouvelle : le téléphone portable que Sandrine a commandé est arrivé mais ne fonctionne pas, il n'a aucune couverture réseau.

Dimanche en famille

Dans la nuit de samedi à dimanche, j'ai bêtement attendu que Vincent se réveille. Il avait mangé vers 21 heures. Il y avait une chance qu'il se mettre à pleurer vers minuit. Puis à une heure du matin, je me suis dit que là, c'était bon, il n'y en avait plus pour longtemps. Et à 2 heures, les yeux lourds, j'ai fini par me dire qu'il avait peut-être décidé de faire sa première nuit et que j'étais en train de mordre sur mon faible capital sommeil. Je me suis préparé et je me suis finalement couché vers 2h20.

Quand Vincent a décidé de se réveiller vers 3h, je me suis levé pour accompagner Sandrine mais je n'étais pas d'une grande aide. J'étais assis à côté d'elle et j'avais du mal à parler. J'ai raconté à Sandrine pourquoi j'étais si crevé. Elle m'a fortement conseillé de ne plus recommencer et d'être sage à l'avenir, c'est-à-dire, me coucher en même temps que mon fils mais me mettre au lit, un samedi soir, avant 22h...

Vincent a à nouveau ouvert les yeux aux alentours de 8h et après son repas et assurés qu'il dormait enfin, nous en avons profité pour dormir aussi mais seulement une petite heure.

Nous avons mangé chez les parents de Sandrine. Ana, désormais guérie, a rattrapé son retard es derniers jours et a passé l'après-midi avec Vincent dans ses bras.

Après mangé, j'ai failli m'endormir sur le canapé mais j'ai tenu le coup.

Nous étions de retour à la maison en fin d'après-midi, juste à temps pour lui donner le bain et accueillir Stéphane pour le match France-Islande. Stéphane a profité d'être enfin seul en présence de Vincent pour le garder également dans ses bras.

Ma mère et son ami sont venus prendre l'apéro et profiter aussi de Vincent.

Après leur départ, Vincent a eu du mal à s'endormir. Il était fatigué mais s'énervait. Et plus il était fatigué, plus il s'énervait. Et plus il était énervé, plus il se fatiguait. Il s'est quand même endormi, assomé par sa difficile journée de bébé.

Avec Stéphane, nous avons fait une petite partie de Poker. Ca faisait longtemps.... Il est parti vers 23h.

Il y a des choses intéressantes à la télé, du sport surtout mais je ne vais pas me faire avoir, je vais me coucher et prendre toutes les heures de sommeil possibles.

Encore quatre jours à la maison avec ma petite famille et je reprends le boulot. Je ne suis pas très pressé. Je suis bien ici. Nous sommes bien tous ensemble. Mais bon, il faut bien y retourner.

Un samedi garderie

Je ne suis pas parvenu à me lever aux alentours de trois heures du matin. Par contre, vers huit heures, j'étais là et j'ai pris le relais auprès de Sandrine pour qu'elle se repose un peu.

J'ai retiré tous les fils branchés à notre ordinateur et tout mis de côté. J'ai attendu que mon fils se réveille et je l'ai installé avec moi dans son Doomoo. Je me suis dit que si Sandrine dormait encore un peu, j'allais l'habiller et sortir avec lui jusqu'à la bibliothèque en laissant un mot à Sandrine, du genre : "je suis parti avec fils".

Finalement, Sandrine s'est réveillée toute seule et nous avons petit-déjeuné.

Nous avons habillé Vincent et nous nous sommes promenés. Je suis resté à peine dix minutes à la bibliothèque. Sandrine m'attendait avec la poussette. D'autres femmes étaient là avec des bébés. Du coup, elles ont engagé la conversation ; ça y est, elle fait partie du club...

Nous avons ensuite fait un petit tour au marché. Je n'étais pas à l'aise au milieu de cette foule, de ces gens qui parlent fort, qui fument et qui nous bousculent sans se poser de questions. Je voulais partir puis en attendant Sandrine qui était dans la file d'attente de la boulangerie, je me suis dit qu'il ne fallait pas tomber dans la paranoïa et qu'il fallait bien le confronter au monde. Mais je n'étais pas mécontent quand Sandrine a décidé de couper court.

A la maison, nous avons fait un peu de ménage. Vincent était énervé, fatigué, mais ne voulait pas dormir. Nous l'avons laissé pleurer, prenant sur nous, persuadé qu'il s'agissait d'une comédie mais il pleurait beaucoup. Du coup, je n'ai pas pu m'empêcher d'aller le prendre pour le calmer dans mes bras. Il a fini par s'endormir pour se remettre à crier de plus belle. Ce n'est pas simple de jongler entre ce qu'il faudrait faire, ce que notre esprit nous dit et ce que notre coeur nous pousse à faire.

Les collègues et anciennes collègues de Sandrine sont arrivées un peu après 15h. Estelle avec sa fille Loane, Fathia avec sa fille Inès et Sandrine.

Puis Angela avec son fils Sofiane. Et plus tard, Virginie avec son fils Kewan. J'étais donc le seul garçon de plus de 5 ans. Beaucoup de mouvement, beaucoup de bruit. Des enfants partout, de tous les âges. Des miettes de gâteaux aux quatre coins de l'appartement.

Quand Stéphane est passé une petite heure en fin de journée, il m'a demandé si j'avais enfin obtenu mon BAFA.

Après leur départ, nous avons donné le bain à Vincent puis il a recommencé son concert mais là, il avait une bonne raison, c'était l'heure de manger. Nous avons réussi à le coucher sans trop de difficulté.

Sandrine s'est endormie assez rapidement, épuisée par cette journée. J'ai tenu le coup pour regarder le match de hand France-Suède, enregistré un peu plus tôt dans la soirée et naviguer sur notre nouvel ordinateur portable.

Un petit mot

Voilà, notre bébé est là depuis déjà 25 jours.
J'ai eu beaucoup de mal à revenir sur le blog pour écrire quelque chose, peu de temps, trop de choses à dire, trop d'émotion. Alors, j'ai choisi d'y mettre des photos pour vous tenir au courant de l'évolution de Vincent. Qui change de jour en jour.

Depuis le 24 décembre, je n'ai travaillé que 5 jours, ce qui est un luxe formidable car j'ai pu rester avec ma petite famille et soutenir Sandrine dans cette formidable aventure qu'est l'allaitement. Nous essayons de créer des liens avec notre bébé. Ils s'habituent à nous, nous nous habituons à lui. Ce n'est pas simple. Il se réveille à peu près toutes les quatre heures et il est plutôt sage, dans l'ensemble. Nous tentons le plus possible de ne pas céder à ce qui ressemble à de la comédie ni à trop l'habituer à nos bras. Nous nous rendons surtout compte que les principes qui étaient les nôtres avant son arrivée ne peuvent pas tous être mis en place.

Je suis retourné deux fois au hand, pour un match et un entraînement mais j'ai prévenu mon entraîneur que Sandrine et le petit passaient en priorité et que je ne viendrais courir avec mes camarades que si tout allait bien à la maison et avec la bénédiction de Sandrine.

Depuis quelques jours, nous sommes à la recherche d'une assistante maternelle. Nous avons téléphoné à toutes les personnes inscrites sur la liste et nous n'avons pu obtenir que cinq rendez-vous pour le moment.
Nous en avons déjà fait trois.
1° A deux rues de chez nous, une dame très gentille, qui nous tout de suite convenus. Gentille, polie, soignée, adorable avec Vincent, tellement que je n'ai pas attendu très longtemps avant de lui proposer de le prendre dans ses bras.
2° Près de chez les parents de Sandrine. Une femme avec un chien, qui fume et qui a une maison pas très propre. Mal habillée, trop bruyante qui a pris son fils de 4 ans, le nez plein de morve contre elle pendant qu'elle nous parlait et qui n'a pas vu qu'il s'essuyait en même temps sur son pull. Et plus chère que la première.
3° Près de chez nous. Gentille, pro, etc. Mais elle fait un forfait prof, donc elle ne travaille pas le mercredi et prend dix semaines de vacances...

La suite la semaine prochaine mais pour le moment, je reste sur la première visite et puis la proximité, ce n'est pas rien.

Je reprends le boulot vendredi prochain et je ne suis pas très pressé. Je me sens bien avec Sandrine et Vincent. Nous prenons nos marques. Nous recevons des visites. Nous prenons notre temps.

J'ai encore du mal à m'exprimer sur ce que je ressens devant mon fils ou quelle sensation j'éprouve en tant que père. Je sais juste que j'ai immédiatement souhaité m'impliquer, participer parce que cela était normal, parce que c'était ma place.

Et puis, ma femme n'a pas pris une place démesurée par rapport à moi. Je trouve que nous nous partageons bien. Elle m'a surtout avoué une chose évidente, mais qui ne l'est peut-être dans chaque couple : qu'elle n'en sait pas plus que moi. Nous sommes tous les deux égaux devant l'inconnu. Nous devons apprendre en même temps et mettre en pratique notre apprentissage. Après, peut-être qu'en effet, sur certains points, elle assimile les choses plus vite, mais sur d'autres, je crois que c'est plutôt moi.
Le retour à la vie professionnelle va peut-être me faire perdre cette égalité mais nous ferons le nécessaire, tous les trois pour créer d'autres moments.

Une photo de sa tête de ouf

Mr brooks

Voici plusieurs affiches du dernier film que nous avons réussi à voir. Pour ma part, je préfère la seconde, plus mystérieuse et axée seulement sur Kévin Costner, le personnage principal du film.

Sorte de Dr Jekyll et Mr Hyde moderne, cet homme bien sous tous rapports est également un Sérial Killer recherché, ainsi qu'un schizophrène.

Le film n'est pas génial mais le personnage joué par Kévin Costner est complexe et passionnant.

Paranoïak

Un film de suspense où il ne se passe pratiquement rien, mélange entre Fenêtre sur cours et Mon voisin le tueur.

Bon, c'est vrai, de temps en temps, on sursaute... C'est un peu long à se mettre en place et ça se termine trop vite.

Un pop-corn movie moyen +.

Poltergay

Bon, je me doutais bien que ça n'allait pas être le meilleur film du monde, je m'attendais même à un bon gros navet.
Eh bien, pour dire la vérité, j'ai quand même passé un moment sympathique.
Je suis plutôt bon public et c'est le genre de film qui pour ait passer un mardi soir en seconde partie de soirée et que je n'aurais sûrement pas eu envie de regarder mais voilà, "depuis que je suis devenu père" (j'adore cette phrase qui ne veut rien dire), je ne vois plus la vie de la même manière...

Un film facile, qui fait sourire, qu'on peut regarder d'un oeil quand on attend que son fils se réveille parce qu'il a faim, et qu'il est 3h du mat...

Le lien vers toutes les photos

http://picasaweb.google.com/leschosessimplesenphotos/Vincent

20joursversaire !

Sa petite tête de fripon.














Un petit clin d'oeil.















Son oeil gauche.














La petite famille.

Chat et souris (pièce de théâtre)

Pièce de théâtre vue jeudi soir avec le boulot. Soirée que j'avais organisée après le séminaire avec tout le service et les réprésentants. Sympa et drôle.

C'est du théâtre de boulevard avec des portes qui claquent, des situations cocasses, des cris, des quiproquos, etc... 2h15 de spectacle et retour en taxi payé par la boîte...

Très cool.

Ne le dis à personne

J'ai d'abord vu le film avant de m'attaquer au livre. Le film est une adaptation libre du livre donc je ne me suis pas ennuyé et je n'ai pas trop été pollué par les images du film. Il s'agit de la même histoire quasiment identique dans les grandes lignes mais le livre est intêressant.

Deuxsemainesversaire !

The Simpsons movie

C'est bien drôle !!! Bien con ! Donc j'ai adoré !

Des nouvelles du Petit Prince

L'année du dragon T2

Ouais, bof, sans plus. Scénario très moyen sur un jeune homme qui n'arrive pas à s'engager.

Le grand mort

Un nouveau Loisel intéressant qui peut laisser présager d'une évolution passionnante. Mais je me méfie des tomes 1 qui ont l'air bien car souvent, dans les suivants, ça s'essouffle.

Vous avez un message ; Truands

Je croyais avoir déjà vu ce film et finalement, non, pas du tout. Je suis resté devant, accroché par ce couple atypique et par ce qui ressemble à la préhistoire d'Internet...
Une comédie romantique sympa.






Un film noir, violent, vulgaire et un peu chiant, il faut bien le dire. Même Philippe Caubère en méchant m'a énervé. Certains acteurs jouent très mal et l'histoire est déjà vue et revue.

Jour de l'an ! Vincent a une semaine ! Il a perdu son cordon !