Dimanche en famille

Dans la nuit de samedi à dimanche, j'ai bêtement attendu que Vincent se réveille. Il avait mangé vers 21 heures. Il y avait une chance qu'il se mettre à pleurer vers minuit. Puis à une heure du matin, je me suis dit que là, c'était bon, il n'y en avait plus pour longtemps. Et à 2 heures, les yeux lourds, j'ai fini par me dire qu'il avait peut-être décidé de faire sa première nuit et que j'étais en train de mordre sur mon faible capital sommeil. Je me suis préparé et je me suis finalement couché vers 2h20.

Quand Vincent a décidé de se réveiller vers 3h, je me suis levé pour accompagner Sandrine mais je n'étais pas d'une grande aide. J'étais assis à côté d'elle et j'avais du mal à parler. J'ai raconté à Sandrine pourquoi j'étais si crevé. Elle m'a fortement conseillé de ne plus recommencer et d'être sage à l'avenir, c'est-à-dire, me coucher en même temps que mon fils mais me mettre au lit, un samedi soir, avant 22h...

Vincent a à nouveau ouvert les yeux aux alentours de 8h et après son repas et assurés qu'il dormait enfin, nous en avons profité pour dormir aussi mais seulement une petite heure.

Nous avons mangé chez les parents de Sandrine. Ana, désormais guérie, a rattrapé son retard es derniers jours et a passé l'après-midi avec Vincent dans ses bras.

Après mangé, j'ai failli m'endormir sur le canapé mais j'ai tenu le coup.

Nous étions de retour à la maison en fin d'après-midi, juste à temps pour lui donner le bain et accueillir Stéphane pour le match France-Islande. Stéphane a profité d'être enfin seul en présence de Vincent pour le garder également dans ses bras.

Ma mère et son ami sont venus prendre l'apéro et profiter aussi de Vincent.

Après leur départ, Vincent a eu du mal à s'endormir. Il était fatigué mais s'énervait. Et plus il était fatigué, plus il s'énervait. Et plus il était énervé, plus il se fatiguait. Il s'est quand même endormi, assomé par sa difficile journée de bébé.

Avec Stéphane, nous avons fait une petite partie de Poker. Ca faisait longtemps.... Il est parti vers 23h.

Il y a des choses intéressantes à la télé, du sport surtout mais je ne vais pas me faire avoir, je vais me coucher et prendre toutes les heures de sommeil possibles.

Encore quatre jours à la maison avec ma petite famille et je reprends le boulot. Je ne suis pas très pressé. Je suis bien ici. Nous sommes bien tous ensemble. Mais bon, il faut bien y retourner.