Les choses simples

21.12.10

Le nom des gens



Film frais et drôle, qui dit pourtant des choses très sérieuses, sur la politique, l'intégration des étrangers, l'histoire familiale de chacun.
Beaucoup de sensibilité aussi, notamment dans le personnage du père joué par Zinedine Soualem.
A voir !

20.12.10

Les fils de l'homme


Dans un monde où plus aucun enfant n'a été mis au monde depuis 20 ans, et où du coup, tout espoir a disparu... apparaît soudain un miracle, qu'il faut protéger de la folie des hommes...
Que serait notre monde sans enfants ?

17.12.10

X-men Origins : Wolverine


Pourquoi pas ? Si on aime les combats entre mutants... les doigts crochus, les griffes pointues et les cris de vengeance !

16.12.10

Vincent


Misfits



Merci à Olivier M. et Adrien R. de m'avoir conseillé indirectement cette série anglaise déjantée.
Politiquement incorrecte avec une bande son géniale et quelques scènes déjà cultes.
Pour l'instant, une saison 1 de 6 épisodes et une saison 2 avec 4 épisodes déjà diffusés.

Sept vies


Très beau. Vraiment bien filmé. L'intrigue est bien mené et Will Smith est juste un grand acteur.
Un film qui ne laisse pas sans réaction.

Clones


Dans un monde où plus personne ne sort de chez lui mais laisse son clone faire le quotidien, un assassinat d'un nouveau genre voit le jour. Une machine permet de tuer un clone et en même temps la personne qui est derrière...
Bruce Willis enquête en chaire et en os après que son clone se soit fait tabassé dans la zone des refréctaires aux machines.
Pas très vivant mais intéressant sur la manière dont le monde pourrait tourner. 
Qui n'aurait pas envie de laisser son clone prendre le RER, bosser toute la journée, aller faire les magasins un dimanche avant Noël ?

Machete




J'adore !
Il faut le prendre au second degré et ne pas avoir peur de voir du sang gicler, des têtes coupées sauter dans les airs et des massacres à tour de bras...
Des acteurs connus, un message politique derrière... un film qui ne se prend pas au sérieux...

Night and day


Un film d'action / amour dont on connaît déjà l'issue. Mais ça bouge bien et quelques scènes font sourire. Donc pourquoi pas ?

Lucky Luke


C'est mauvais !

Coursier


Je m'attendais à un film pourri et finalement il n'était que moyen. Du coup, surprise... je ne me suis pas ennuyé (mais j'étais malade aussi et j'ai attendu le médecin 2h30 dans sa salle d'attente alors peut-être que mon niveau de tolérance était élevé...).

Asterios Polyp


Bd assez passionnante autant dans le fond que sur la forme. Basculant sans cesse entre passé et présent, nous vivons la vie d'Asterios Polyp, ses heures de gloire ou sa chute...
Très bien faite.

9.12.10

Le plus mauvais groupe du monde T. 3 et 4


Toujours aussi farfelues, les histoires parlent du dérisoire, de l'inutile mais disent des choses sur la vraie vie.
A signaler, l'auteur est portugais.

Nietzsche


Très bien. Donne une vue d'ensemble de qui a pu être ce philosophe incontournable.
La BD est une adaptation du livre ci-dessous. Je préfère lire la BD.

Le retour

Dimanche

J’ai passé l’après-midi sur notre stand du Salon du livre de Montreuil. D’autres personnes de la maison étaient là, dont une avec laquelle je ne m’entends pas très bien, mais tout s’est bien passé. J’ai pu remarquer que je n’étais pas un très bon commercial car, contrairement à certains de mes collègues, je ne racole pas les clients qui s’approchent de nos livres. Je les laisse les ouvrir, les feuilleter et je me tiens prêt à leur rendre service mais je ne leur saute pas dessus. C’est quelque chose que je ne supporte pas en tant que client.

J’ai dû partir avant la fermeture car j’étais attendu à la Braderie des Beaux-Arts, où nous avions un stand également. Deux étudiantes l’ont tenu pendant le week-end. Moi, je n’ai fait qu’installer les bouquins vendredi et les ranger en cartons dimanche soir. Heureusement, les ventes ont été bonnes, du coup, je n’avais presque plus rien à faire dimanche soir. La cour de la Braderie est au cœur de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts, rue Bonaparte, sous une verrière, en plein courant d’air. Tout le monde est en manteau, bonnet, écharpe, etc. mais comme il y a beaucoup d’amateurs, le temps passe vite.

Je suis rentré à la maison assez tôt pour voir Vincent.

Lundi

Je suis passé au bureau le matin puis le midi, retour au Salon du livre de Montreuil. C’était la journée professionnelle. Il y avait pas mal de monde et finalement des gens plus intéressés que le grand public du week-end ou les élèves des premiers jours qui ne viennent nous voir que pour avoir des marque-pages ou des affiches.

A 18 heures, nous avons débuté le remballage, et ouvert une bouteille de Vouvray. Puis une autre un peu plus tard, lorsque tout fut rangé dans les cartons, le stand vidé des décorations, des nappes. Comme je n’avais pas mangé le midi, que j’étais fatigué et que j’avais soif, j’ai bu un peu trop vite et lorsqu’il a fallu quitter le salon et prendre les transports, je n’étais pas complètement à l’aise. Je suis rentré sans encombres et juste à temps pour lire l’histoire à Vincent.

Mardi

Soirée du mardi chez Stéphane et Elodie. Laetitia est venue nous chercher avec sa nouvelle voiture. A peine arrivé, je suis reparti avec Stéphane pour aller acheter des pizzas et du McDo. Les filles ont pu profiter un peu de Léane pendant ce temps-là. Micaël est arrivé un peu plus tard. Il était resté avec les mecs qui installaient les escaliers dans leur maison (ce qui signifiait la fin de l’escalier en bois construit par le père de Laetitia, qui faisait peur au début mais qui a finalement supporté de nombreux allers-retours). Nous avions apporté notre ordinateur portable pour montrer à tout le monde les maisons trouvées par Sandrine pour les vacances de l’été prochain. Nous en avions déjà réservé une mais un couple qui était prévu dans la troupe initiale (Virginie et François pour ne pas les citer) nous fait faux bond (mais pour une heureuse raison alors nous sommes tous très contents). Du coup, nous avons dû annuler cette réservation qui devenait trop chère pour trois couples au lieu de quatre et en trouver une autre. Notre choix semble se porter sur une maison à Pernes-les-Fontaines. A suivre.

Laetitia nous a ramené mais j’ai malencontreusement oublié notre ordinateur dans sa voiture.

Mercredi

Dans mon nouveau bureau provisoire, j’ai une grande fenêtre qui donne vers une cour intérieure. Toute la journée, j’ai donc pu regarder la neige tomber et me demander à quel point c’était grave. Ce n’est qu’arrivé à la gare de Noisy-Champs que j’ai pu vraiment me rendre compte de tout ce qui était tombé dans la journée. A la maison, j’ai trouvé Sandrine en train de déblayer notre petite allée et nos escaliers pour atteindre la grille et les portes d’entrée. Notre voisin avait déjà déblayé une partie du trottoir. J’ai poursuivi, retirant la neige qui était dans l’espace de ma maison et autour de notre voiture (toujours dehors puisque toujours incapable de passer le haut de la descente de garage).

J’ai pris quelques photos du jardin.

Je suis ensuite allé chez les parents de Laetitia pour récupérer notre ordinateur. L’expédition était un peu périlleuse mais j’ai fait attention et je n’ai eu aucun problème (même pas une demi-heure pour faire l’aller-retour).

J’avais une compétition à Gagny mais elle a été annulée et de toute façon, je ne prévoyais pas de prendre ma voiture. Les parents de Sandrine devaient nous ramener Vincent mais ils ont judicieusement préféré le garder encore une nuit plutôt que de prendre la voiture et de risquer un accident. Donc, une seconde soirée en amoureux inattendue. Nous en avons profité pour faire du repassage et les emballer les cadeaux de Noël… Cool !

Jeudi

Nous avons appelé l’école de Vincent pour les prévenir qu’il était resté coincé chez ses beaux-parents.

Nous sommes sorti, j’ai mis la clé dans la serrure de la grille extérieure, j’ai tourné le verrou et tiré sur la porte mais impossible de la faire bouger. Le gel l’avait figée. J’ai forcé un peu mais rien à faire. Sandrine est allée chercher la bouilloire et nous avons arrosé la grille pour pouvoir nous échapper de chez nous.

Nous sommes allés à pied jusqu’à la gare. Pendant que nous marchions doucement, faisant bien attention, je me disais qu’il fallait surtout ne pas tomber et que tiens, je n’avais vu personne faire une petite cascade encore. Un peu plus loin, nous croisons une dame qui manque de glisser mais se rattrape. Nous ne faisons un sourire de « bien joué » et juste derrière, une autre dame s’engage et fait un vol plané atterrissant méchamment sur le sol gelé. Elle reste à plat ventre, la tête par terre. Je m’approche d’elle, lui demande si elle va bien, si elle m’entend, essaie de savoir où elle a mal. Elle plisse les yeux de souffrance mais ne répond pas. Une autre dame, celle qui avait failli tomber, tente de la relever. Je l’aide mais la blessée ne réagit pas trop. Sandrine pendant ce temps-là a récupéré son portable tombé par terre en plusieurs morceaux pendant la chute. Nous parvenons tout de même à la faire se lever. Là, sa perruque tombe. En dessous, elle avait des cheveux tressés sur le crâne. Un monsieur ramasse sa perruque et tente maladroitement de la reposer sur sa tête mais elle est de travers. La dame essaie de rependre ses esprits. Un attroupement se fait autour d’elle. Tout le monde lui pose des questions. Elle finit par s’asseoir et nous voyons une bosse se former rapidement sur sa tempe gauche. Elle cligne des yeux. Je le regarde et lui demande si elle sait où elle est, si elle connaît son prénom. Elle répond oui à chaque fois mais ne me dit pas où elle et comment elle s’appelle. L’autre dame lui propose de l’accompagner là où elle devait se rendre et de voir avec elle pour appeler les pompiers ou non. Nous allions partir quand j’entends derrière moi un « Romain ?». Je me retourne et reconnais Linda B. une fille qui était avec moi en primaire. Je l’avais déjà vue plusieurs fois mais n’avais pas spécialement souhaité lui parler, c’est mon côté associable. Elle me demande comment je vais et surtout ce que je deviens. Comment résumer 20 ans en deux phrases ? « J’habite Noisy, je bosse sur Paris et j’ai un enfant ». Là, elle me répond qu’elle en a 4. Je fais une figure admirative et nous nous quittons avec un sourire courtois. Voilà pourquoi je n’avais jamais été à sa rencontre. A quoi bon ?

Dans le RER, une dame a passé tout le trajet à tousser, et à un moment pratiquement à vomir. Elle a sorti de son sac de l’Hélicidine et en a bu à la bouteille comme si c’était de l’eau ou du coca. Je voyais les gens autour d’elle un peu embarrassés. De mon côté, j’imaginais la réaction du wagon en cas de vomi horrible. Je pensais à la scène du film Stand by me, avec le vomi collectif lors du concours de mangeur de tartes.

Près de la maison, nous nous sommes fait dépasser par un jeune homme que j’ai ensuite retrouvé dans le métro à Châtelet. Il montrait à une copine des photos, sur son Iphone, de coiffures de femmes faites dans un salon de coiffure.

Une collègue, arrivée il y a deux mois, est en réalité la fille d’une femme que je croisais tous les jours dans les bureaux d’Albin Michel.

8.12.10

Hitch


Bonne surprise. Simple et efficace. Je suis le bon public de ce genre de film.

7.12.10

Shutter island


Après la BD, le film. Je vais tenter de lire le livre pour faire un comparatif des trois manières de traiter la même histoire... (enfin, c'est une idée...)

Pas mal même si du coup, je connaissais déjà la fin. J'ai trouvé des choses intéressantes (certains détails m'ont rappelé Inception mais je ne saurais dire lesquels exactement) mais je n'ai pas aimé les scènes extérieures dont j'ai trouvées les couleurs assez fades...

Paul





J'ai enfin achevé la série des "Paul".
Rien à dire, toujours aussi excellent, fin, sensible, avec cette petite touche canadienne, dans les expressions, les coutumes, l'humour.
J'ai eu un petit faible pour Paul a un travail d'été.

Dead Set




Série anglaise dont je n'avais pas du tout entendu parler.
5 épisodes : un d'une heure et les autres de 24 minutes.
Lors d'une soirée d'élimation d'un Big Brother, un virus rend une personne mort-vivante et affamée des autres êtres humains... Du coup, ça se propage assez vite et chacun mord son voisin.
Quelques personnes parviennent à survivre, notamment les candidats qui sont toujours enfermés dans la maison.
C'est assez gore mais très prenant.

Le vilain


Pas terrible mais je crois que ça vaut le coup juste pour Catherine Frot.