Les choses simples

21.10.09

XXI volume 3


Je ne vais pas le redire mais cette revue est vraiment géniale et ouvre l'esprit.
Il s'agit ici du numéro 3, paru à l'été 2008.
Quelques pistes traitées dans ce numéro.
Un reportage passionnant sur les créationnistes.

L'histoire d'une imposture littéraire et cinématographique grave.


Pour info, le n°8 vient de paraître.


20.10.09

Week-end

Vendredi (suite)

J’ai fait une bonne sieste sur mon canapé. Sandrine m’a réveillé au téléphone et m’a demandé si Vincent dormait. J’ai répondu oui puis j’ai bien tendu l’oreille et je l’ai entendu qui jouait dans son lit.

Nous avons retrouvé Sandrine au Simply Market pour faire quelques courses puis je suis rentré avec Vincent pour lui donner le bain pendant que Sandrine avait son rendez-vous chez l’esthéticienne.

Lorsque Sandrine est rentrée, nous sommes repartis aussitôt. Nous devions être à 19h30 chez Audrey et Alex et bien sûr, nous étions dans notre voiture à 19h30.

Nous avions dit à Vincent de ne pas prendre de jouets, que Tom et Maxence en avaient bien suffisamment pour lui en prêter, et qu’ils allaient jouer tous ensemble, etc. A notre arrivée, surprise, Tom et Maxence dormaient déjà. Alex a tout de même emmené Vincent dans leur chambre pour qu’il puisse choisir deux trois jouets.

Nous l’avons ensuite couché dans la chambre de Nathan qui dort pour l’instant dans un couffin près du lit de ses parents.

Nous avons bien mangé et bien discuté. C’était une soirée très sympa et Nathan a été plutôt un bébé cool.

Samedi

Deux visites le matin. Nous avons fait encore un peu le ménage mais moins que la semaine dernière.
Le première couple, arrivé une demi-heure en avance, a eu l’air de vraiment apprécier l’intérieur mais était moins chaud pour l’ensemble de la résidence. Ils étaient vraiment gentils.
Le second, aucune réaction.

Après manger et juste après avoir couché Vincent, Sandrine est allée faire les magasins avec sa mère. Je suis resté à la maison et j’ai reçu Monsieur M. qui avait visité l’appartement la semaine dernière et qui était prêt à nous faire une offre : 163 000 €. Honnête mais pas encore suffisante. Je dois d’ailleurs le rappeler pour jouer sur le fait que quelqu’un nous a fait une autre offre à 170 000 € et on verra bien…

Vincent n’a pas beaucoup dormi. Au retour de Sandrine, nous avons décidé de faire un petit tour dans le quartier avec le vélo de Vincent. Nous n’avons pas réussi à bloquer le guidon et Vincent ne maîtrise pas encore bien les directions, du coup, nous avons passé beaucoup de temps à essayer de diriger ce vélo plutôt qu’à vraiment en profiter.

Sandrine m’a exposé l’idée d’acheter un terrain et de faire construire. Pourquoi pas ? mais ça fait super flipper !

Cindy, Nicolas et Emma devaient manger avec nous le soir. Cindy a appelé dans l’après-midi pour annuler. J’ai immédiatement appelé les Pinto que nous n’avions pas vus depuis au moins 10 jours (ce qui est beaucoup étant donné que nous nous voyons au moins une fois par semaine) et ils ont accepté notre invitation de remplacement de dernière minute.
Micaël a tenu le coup jusqu’à la fin du repas. Après il s’est effondré dans le canapé puis a finalement terminé dans notre lit, avec Alexia. Pas évident pour Laetitia de gérer trois enfants…
Stéphane est venu nous rejoindre en deuxième partie de soirée. Il a fini nos restes et a pu profiter des muffins au chocolat de Sandrine. Elodie était à une soirée restaurant avec ses copines.

Dimanche

Deux visites.
Le premier couple nous a surpris en plein petit-déjeuner mais nous avons tout rangé en catastrophe et hop ni vu ni connu. Ils étaient aussi très gentils et ont dit à Sandrine qu’ils adoraient la déco.

Le deuxième couple était moins expansif. Alors que nous étions dehors, prêts à nous dire au-revoir, de la musique portugaise a soudain fait irruption d’une fenêtre de notre voisin du dessus. Les gens ont regardé de ce côté et j’ai souri puis je suis passé à un autre sujet.

Nous avons mangé chez les Vantalon pour découvrir cette belle nouvelle, le ventre rond de Marion, qui attend donc son deuxième enfant, prévu pour avril 2010.
Les enfants n’ont pas beaucoup dormi mais ils ont été plutôt sages pendant qu’ils jouaient. Le repas était délicieux et c’était bien sympa du passer du temps avec eux, et de regarder nos enfants monter tout seul à l’échelle et descendre au toboggan…

Nous ne sommes pas rentrés trop tard et avons donné à Vincent son bain plus tôt que d’habitude car il semblait bien fatigué. Nous lui avons lu l’histoire de Winnie et l’arbre à Miel.

Soirée séries américaines pour nous.

Lundi

Une journée étrange avec beaucoup de gens partout, dans les transports, dans les magasins, comme si la population avait doublé pendant le week-end.

Le soir, badminton.
Je me suis retrouvé en double avec une jeune fille que je ne connaissais pas et qui jouaient moyennement. Nous avons perdu et avons dû laisser notre place. Assis sur le côté, elle me demande si je suis nouveau, je réponds que oui, que je viens d’arriver, que je faisais du hand avant, que je ne suis qu’un débutant. Elle me répond que je joue plutôt bien pour un débutant. Après un petit silence, j’enchaîne en lui demandant si elle aussi elle est débutante. Elle me sourit et m’annonce qu’elle fait du bad depuis 6 ans mais que c’est la première fois qu’elle s’inscrit au club de Neuilly… Oups… J’essaie une pirouette en lui disant qu’en effet, j’avais remarqué que ses gestes n’étaient pas ceux d’une débutante…

J’ai joué moins longtemps que d’habitude et sur la fin, j’ai trouvé un adversaire pour un simple. C’est un mec qui ne paie pas de mine, avec un bandana sur le front et une belle bedaine mais qui joue assez bien. Il me lamine dans le premier set, me faisant des coups totalement inattendus pour moi et je me prends des contre-pieds mémorables. Dans le second set, je me concentre et parviens à gagner, mais enfin surtout parce qu’il fait beaucoup de fautes directes. Et dans le troisième, je mène 17-16 quand les lumières du gymnase s’éteignent. Ces dernières minutes m’ont bien épuisé mais j’ai adoré. Il faut que je trouve un moyen de faire plus de simple.

Mardi

Opération du genou de Stéphane. Le matin pour une sortie le soir. Plus cool que le ligament croisé.

16.10.09

Une semaine

Lundi

Sandrine a eu mal à la tête toute la journée et le soir ce n'était pas mieux. Elle n'était pas très en forme. Je me suis occupé de Vincent et je suis parti au badmiton pour 20h30.
J'étais en double avec une fille contre deux mecs et nous avons gagné.

A mon retour, Sandrine dormait.

Mardi

En fin de journée, j'avais une réunion avec notre PDG et j'ai bien failli m'endormir à plusieurs reprises.
Sandrine allait un peu mieux mais se sentait bien fatiguée. Du coup, elle a préféré annuler la soirée avec les copains. Elle m'a dit que je pouvais y aller si je voulais...
Nous avons commandé du japonais et nous avons regardé la fin de la saison 2 des Sopranos.

Mercredi

Le midi, squash avec mon collègue. J'ai gagné mais c'est dur, vraiment très dur. Tant mieux en même temps.
Le soir, badminton. J'ai joué toute la soirée avec deux filles, en alternance, et contre des garçons. Nous avons perdu à chaque match mais c'était toujours très serré.

J'ai joué en ligne à Call of Duty avec Stéphane et je me suis encore couché tard.

Jeudi

A 7h30, nous recevons un appel d'Abbassia, la nounou de Vincent, qui nous dit qu'elle est malade. Sandrine décide de rester pour garder Vincent.

Beaucoup de travail et une nouvelle réunion dans l'après-midi mais cette fois avec ma responsable.

J'ai retrouvé Sandrine, sa mère et Vincent aux Arcades. nous avons passé un temps fou à C&A, à cause d'une file d'attente interminable et de 93 centimes que je ne pouvais pas payer par carte.

Le soir, nous avons regardé un petit florilège de séries américaines...

Vendredi

Abbassia nous avait laissé un message la veille pour nous prévenir qu'elle ne pourrait toujours pas garder Vincent. J'avais prévenu au boulot, au cas où, et même déjà posé ma journée...

Sandrine est donc allée travailler et nous sommes restés entre mecs.

Vincent joue désormais tout seul, avec ses motos, ses bonhommes, ses livres, etc. du coup, c'est bien plus facile qu'avant.
Nous sommes passés aux Arcades changé des vêtements achetés par Sandrine samedi dernier. Nous sommes passés ensuite chez ma mère, actuellement en Guadeloupe, pour arroser ses plantes.
Puis, nous avons rendu visite à ma cousine Julie et sa fille Clémence, car leur nounou n'était pas disponible aujourd'hui. Nous ne sommes restés qu'une petite demi-heure mais c'était très sympa. Je suis parti juste au moment où Guillaume sortait de l'ascenseur.

Vincent a mangé presque tout seul puis sieste.

Pour la première fois, j'ai utilisé la technique pour regarder ses mails du boulot à distance. Je m'étais refusé de le faire pour ne pas me sentir piégé en vacances mais là, je ne suis pas vraiment en vacances... J'ai pu gérer deux trois trucs rapidement et débloquer des affaires en cours.

14.10.09

André Malraux, une vie


Enfin !!!
J'ai dû commencer ce livre en 2002, après avoir lu, du même auteur, Albert Camus, une vie alors que je préparais ma désormais légendaire maîtrise inachevée...
Au fil du temps, ce pavé est devenu mon livre de transition, celui que j'attrapais le matin parce que je n'avais pas réussi à choisir quel nouveau livre je souhaitais lire. J'en lisais quelques pages puis je me lassais et me laisser emporter par un autre livre...
Il me restait environ 250 pages et je l'ai pris, comme d'habitude, me disant qu'après tout, c'était déjà pas mal d'avancer, même doucement. Et puis, oh surpris, je suis allé jusqu'au bout (il fallait bien le finir un jour).
A mon niveau, la vie de Malraux est bien moins excitante que celle de Camus, même si le premier a vécu presque 30 ans de plus que le second. Mais une fin tragique dans un accident de voiture est toujours plus intense que de mourir dans son lit à 76 ans.
Pourtant, la vie de Malraux a été une véritable aventure, réelle et rêvée, vécue et racontée ; l'auteur de La condition humaine ne cessant de réécrire son passé et ses différents exploits, de marchand d'art, de résistant, de ministre, d'écrivain, etc.
Plusieurs vies dans une seule...
Un grand homme qui a traversé le 20e siècle.

12.10.09

Oui Que Hand

Vendredi

Un mec d’une agence de Neuilly-Plaisance est passé visiter l’appartement. Il m’avait contacté par l’annonce publié dans le PAP. Nous avons parlé du marché de l’immobilier, il a fait son commercial mais nous n’avons pas signé de mandat. Par contre, il se propose de revenir vers nous si jamais il avait des clients dont le profil correspondait à notre appartement…

Soirée détendue à la maison devant Koh Lanta.

Samedi

Le matin, nous avons fait les magasins à Bay 2. Nous devions acheter un téléphone pour la maison et trouver un cadeau pour les 30 ans de Rémi (je n’ai rien trouvé d’autre qu’une BD, ce qui était le contraire de l’originalité pour un mec qui a déjà publié 4 BD…)
http://www.soleilprod.com/album%7C1721%7CEXPLORERS_-_Oui-Ja-vol.1
http://www.dargaud.com/front/albums/album.aspx?id=3873
http://www.dargaud.com/front/albums/album.aspx?id=3873
http://www.dargaud.com/front/albums/album.aspx?id=3873

Nous en avons profité pour faire quelques courses à Carrefour et j’ai eu la grande joie d’être dans une file d’attente pendant une bonne vingtaine de minutes, ce qui était horrible sauf quand elle débute au milieu des livres…
J’ai rejoint Sandrine à H&M. Là, j’ai assisté à une scène un peu drôle.
Une jeune maman qui était avec ses deux enfants, une fille et un garçon, semblait un peu remontée et parlait au téléphone d’une voix assez forte et complètement racailleuse : « Mais, je vais m’en occuper, sa mère ! C’est bon ! » Je trouve qu’elle ne parle pas très bien mais bon… chacun son truc…

Je laisse Sandrine faire sa propre file d’attente à H&M et je repars avec Vincent dans sa poussette. Nous suivons, par hasard, cette même jeune femme. Elle sort du magasin, essayant de calmer ses enfants qui vraisemblablement auraient aimé qu’elle leur achète un truc. « Hey, mais ça suffit sa mère ! Je n’achèterai rien sa mère ! » Je hausse les sourcils et remarque deux femmes, petites bourgeoises, qui passent. L’une dit à l’autre : « Qu’est-ce qu’elle peut être vulgaire ! Elle n’arrête pas de dire sa mère ! »
Et soudain, alors que nous sommes presque sortis, elle attrape son fils et lui dit : « Tu commences à m’énerver Samir ! » et là, tout devient plus clair et plus drôle aussi…

Nous avons fait un détour par chez les parents de Sandrine pour attraper au vol ma belle-mère. En effet, elle avait dit à Sandrine qu’ils venaient de visiter une maison près de chez eux, dans une impasse et que c’était un vrai bijou et qu’il fallait absolument la voir. Sur le chemin, nous avons débattu de ce que nous envisagions de faire si jamais la maison était si géniale…

De l’extérieur, elle ne paie pas de mine et la maison d’à côté donne l’impression de manger l’espace de l’autre. A l’intérieur, c’es très propre, refait par un portugais (carrelage et bois partout, murs blancs, rien à dire) mais je trouve ça petit, étouffant et peu pratique). La propriétaire, une ancienne camarade de classe de Cidalia, nous laisse visiter seuls. Moi, je suis resté avec Vincent devant Winnie à la télévision puis à l’étage dans la chambre de la jeune fille à jouer avec le scooter de Barbie…
En sortant, j’ai essayé de repréciser à ma belle-mère ce que nous attendions exactement.

Vincent a mangé puis est allé faire sa sieste.
J’ai réussi à joindre Free et obtenir enfin le changement de notre boitier HD. Après deux mois et des appels innombrables. Alléluia !

J’ai tenté de faire l’adulte en forme mais finalement, moi aussi, j’avais besoin de ma sieste. Un peu plus tard, c’est Nicolas et Vincent qui m’ont réveillé. Je me suis vite remis sur pied et nous avons pu tous partir, direction Emerainville pour l’anniversaire surprise de Rémi (30 ans). Sa mère avait préparé une journée « Portes ouvertes ». Chacun avait le choix et pouvait décider de venir soit au petit-déjeuner, soit au déjeuner, soit au goûter, soit au dîner. Nous avons opté pour le goûter.
Chez les parents de Rémi, nous avons retrouvé Cléry et Adonis (ou un prénom dans le genre) ainsi que d’autres amis de Rémi qui étaient là lors de son enterrement de vie de garçon et son mariage, je pense notamment à Nicolas Mitric (http://mitric-nicolas.blogspot.com/) ou Alex un mec qui bossait à la sécu de la FNAC il y a déjà longtemps…

Vincent a pu jouer avec le fils de la demi-sœur de Rémi ou avec Maya, la fille de Géraldine et Rémi. Sans trop savoir pourquoi, j’avais complètement oublié mon appareil photo (étrange…). Nous avons offert notre cadeau. Nicolas qui m’avait demandé si Rémi avait un lecteur Blu-Ray souhaitant lui prendre un film et à qui j’avais répondu que je ne savais pas trop et qu’il ne fallait peut-être pas prendre le risque a découvert tout comme moi que son cadeau principal était justement un lecteur Blu-Ray avec une dizaine de Blu-Ray en plus…

Nous avons parlé création artistique avec Cléry et Rémi. Cléry a déjà sorti un album CD et un autre est presque prêt si j’ai bien compris. Rémi en est donc à sa quatrième BD et n’est pas prêt de s’arrêter. Et Nicolas et moi, malgré nos envies post-adolescentes et les quelques maigres nouvelles sorties avec difficultés de nos cerveaux, notre production est toujours aussi maigre. Cléry a souligné le fait qu’il n’y avait aucune urgence (facile pour quelqu’un qui parvient tout de même à écrire trois pages par semaine, ce qui nous paraissait à nous deux déjà bien important…)
Nicolas se plaignait de ne pas avoir d’idées, moi d’en avoir trop de n’en rien faire. J’ai essayé de leur parler d’un projet photo mais tout en parlant je me disais qu’il y avait 90% de chance que ce projet en reste un éternellement.
Nous ne sommes malheureusement pas restés très longtemps et nous sommes partis alors que les invités du soir arrivaient. Rémi nous a raccompagnés à notre voiture, ça faisait plaisir de le voir quand même…

Nous avons ramené Cléry et déposé Nico à sa voiture près de chez nous avant de rentrer enfin à la maison.

Pendant le bain de Vincent, Stéphane et Elodie sont arrivés. Nous avons mangé tous ensemble puis les filles sont sorties boire un coup au Bureau de Chelles. Pendant ce temps-là, nous avons pu regarder le match de foot, jouer à PES 2006 sur la Playstation (et perdre en ce qui me concerne) ainsi qu’au tennis sur la WII (et gagner deux matchs sur trois en ce qui me concerne).

Dimanche

Dès le réveil, Sandrine s’est lancée dans le ménage. Nous avions trois visites prévues dans la journée et il fallait ranger et nettoyer un peu. Je me suis occupé de Vincent et j’ai fini par passer l’aspirateur. C’était un peu la course.
Sandrine m’a déposé au gymnase puis est allée retrouver Stéphane et Elodie à la brocante de Noisy-le-Grand. Stéphane a acheté trois ou quatre « nonommes » pour Vincent.

J’ai fait un double et j’ai perdu puis un simple contre le secrétaire du club, plus âge que moi mais plein d’expérience et j’ai perdu en faisant beaucoup de fautes directes.
Le capitaine d’une équipe est venu me voir pour ma prévenir qu’à partir de novembre, il y aurait des compétitions interclubs au niveau départemental et que j’étais attendu pour intégrer l’équipe.

Je suis rentré un peu avant midi. J’ai pris ma douche et Sandrine et Vincent sont rentrés quelques minutes plus tard.
Les premiers visiteurs étaient là à 12h30. Ils ont retiré leurs chaussures. A peu près 45 ans. Elle discrète, lui parlant fort et en bafouillant un peu. Ils ont l’air d’apprécier l’appart mais ils cherchent quelque chose de plus grand… Le mec m’a demandé jusqu’à combien nous étions prêts à baisser pour qu’il sache un peu… J’ai répondu que j’attendrais d’abord son offre et qu’on verrait ensuite.

Les deuxièmes étaient là vers 14h30. Un jeune couple avec une petite fille. Ils venaient de visiter juste avant deux autres apparts dans des quartiers moins sympas et le notre semblait plus intéressant.

Les troisièmes sont arrivés vers 17h. Un couple de 35 ans sans enfants qui ont eu l’air de vraiment bien aimer notre appartement et qui ont parlé de prix, de négociation, etc.

Mais aucune offre.

En fin de journée, nous avons fait un passage éclair chez ma mère pour arroser ses plantes puis à la brocante pour regarder les gens plier bagages après une longue journée.
En rentrant, nous sommes passés chez mes beaux-parents pour leur faire un petit résumé de la journée visite et récupérer, tant qu’à faire, notre repas du soir.

Soirée calme à la maison avec du repassage (waou !!!) devant les Sopranos (ça, c’est une fucking bonne série !)

9.10.09

Appel au calme





Une nouvelle sous-collection dans la colleciton Classiques et contemporains de Magnard.
Très bonne idée : proposer des BD aux enseignants et aux élèves pour une étude en classe, avec un appareil pédagogique à la fin, des questions, des débats...
Mieux vaut ça que rien. Et c'est peut-être enfin reconnaître que la BD est plus qu'un art mineur...
Je n'ai pas accroché avec cette histoire d'agression en banlieue et de la réaction du quartier suite à cela mais c'est personnel.
Dommage que la version pour l'école soit en noir et blanc.

8.10.09

Une semaine sur les salons

Jeudi, vendredi et samedi, j'étais FIG (Festival International de Géographie) à Saint-Dié-des-Vosges.
Rien à signaler. Des livres dans des cartons qu'il faut sortir, installer sur des tables, décorer le stand. Et puis pendant l'ouverture, faire le libraire, conseiller, vendre, être aimable.
J'adore. Vraiment en fait, je me sens vraiment à l'aise sur les salons.
J'ai encore une fois trouvé l'endroit très joli et aimerais bien y revenir avec ma femme et mon fils.
Le dimanche, je suis allé au squash le matin. L'après-midi, Stéphane et Elodie sont passés. Et en début de soirée, ma mère.
Lundi soir, squash. Mardi soir, soirée entre amis avec un chinois qui met tellement de temps à arriver qu'à la fin nous n'avions plus vraiment faim.
Mercredi soir, squash. J'ai déposé ma belle-mère chez elle et à peine était-elle sortie qu'un véritable rideau de pluie s'est soudain abbatu. J'ai mis du temps à rejoindre le gymnase, roulant très lentement.
Jeudi. J'ai pris le train à 11h40 Gare d'Austerlitz. Deux heures plus tard, j'étais à Blois. Philippe D. est venu me chercher et nous avons avons ensuite passé trois heures à vider des cartons, déposer des livres sur des tables... Nous n'avons pas chômé.
Il m'a ensuite ramené à la gare où il a récupéré Laurence. Je l'ai vue descendre de son train au moment où j'allais rejoindre le mien sur l'autre quai.
J'étais à la maison vers 19h45. J'ai pu donner le bain à Vincent.
Nous avons appelé Armelle pour son anniversaire mais il était déjà trop tard, elle dormait.
Cidalia a passé la soirée avec nous.
Aujourd'hui, notre annonce sur le PAP est enfin parue. J'ai reçu de nombreux textos d'organismes pour faire des expertises, pour estimer mon bien, etc. J'ai eu des appels d'agence qui ne comprenaient pas pourquoi je ne désirais pas le mettre également en vente chez eux. Et en même temps, j'ai reçu trois mails pour avoir plus de renseignements ainsi que deux appels pour convenir d'une date de visite dimanche prochain... On va voir...

7.10.09

Geek le mag S01E03



Magazine acheté à la gare de Nancy, samedi dernier, quelques minutes avant d'attraper le TGV qui me ramenait vers Paris.
Je ne me considère pas comme un geek et après lecture de ce troisième numéro, je peux l'affirmer, j'ai quelques signes mais je ne suis pas atteint.
Et je suis encore moins un nolife.
Bref, il y a des choses intéressantes mais beaucoup de termes spécialisés.
J'ai appris des informations utiles, qu'Ankama, la boîte située à Roubaix dans laquelle mon ancien collègue et néanmoins ami Olivier M. se trouve aujourd'hui après avoir quitté les Editions Guyguy..., qu'Ankama donc détenait des parts dans la chaine TV Nolife justement...
J'ai appris qu'Alexandre Astier préparait le dernier volume de Kaamelot et peut-être un film plus tard.
J'ai appris qu'un geek était forcèment quelqu'un qui adorait Star Wars et qui connaissait tout par coeur.
Bref, des choses sur les séries américaines, sur les designers de jeux vidéo, sur les mangas, sur le cinéma, sur la télévision...
Je jetterai un coup d'oeil sur le prochain par curiosité mais je ne suis pas trop dans le cible (peut-être heureusement finalement, je ne sais pas...)

6.10.09

Le tour de la France par deux enfants


Un livre publié en 1907 qui raconte l'histoire de deux enfants, 14 et 8 ans, qui viennent de perdre leur père et qui décide de quitter leur Alsace natale, alors allemande (le temps de l'histoire est celui qui vient après la guerre de 1870), pour rejoindre leur oncle, à Marseille.
Il passe la frontière de nuit et rencontre des hommes et des femmes tous plein de bonté. Ils sont eux-mêmes des modèles de politesse et de bonne éducation simple et honnête.
Ca dégouline de bons sentiments, de moralité et c'est très "travail, famille, patrie".
La France par-ci, la France par-là, moi j'aime la France... Très évident au début du siècle alors que la première guerre approche et que tout le peuple français veut récupérer l'Alsace-Lorraine. Mais de nos jours, être patriotique, ce n'est plus trop à la mode : "La France, tu l'aimes ou tu la quittes" ce n'est pas un truc qu'on dit franchement, comme ça, dans la rue...
Ce livre m'a passionné pour sa force historique et surtout pour son côté scolaire. En effet, les enfants traversent la plupart des régions de France et nous avons à chaque fois un petit cours sur les qualités de chaque région, ainsi que sur le genre de travail effectué par les ouvriers.
Le narrateur nous parle d'ailleurs de métiers aujourd'hui presque complètement perdu.
Il ajoute aussi des éléments historiques en parlant des grands hommes de chaque coin traversé, les inventeurs, les chevaliers, les écrivains, etc.
Une belle radiographie de la France de 1907.

3.10.09

Photos des Vosges