Les choses simples

30.6.09

Les photos de dimanche

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29.6.09

Week-end d'anniversaire

Vendredi

J’ai retrouvé Sandrine et Vincent, aux Arcades, devant la FNAC. Sandrine me propose de monter, ce que je ne peux jamais refuser… Arrivés en haut, Sandrine me dit : « Romain, tu as quinze minutes pour prendre ce que tu veux dans le magasin ! » On aurait dit une vente flash, sauf que je n’avais besoin de rien de précis, que je n’y avais pas réfléchi avant, du coup je ne me suis pas trop lâché…

Nous sommes allés chez le pédiatre pour 19h. Vincent était en pleine forme jusqu’à ce qu’on décide de le poser sur la balance. Il préférait mille fois jouer avec le camion dans la salle d’attente. Dans le cabinet, ce n’était pas beaucoup mieux, surtout que le pédiatre lui a fait deux vaccins, dont un par surprise pendant lequel Vincent bougeait et a tordu l’aiguille. Le pédiatre s’acharnait, Vincent pleurait et Sandrine faisait une tête outrée…
Le pédiatre nous a dit que si un jour Vincent faisait une énorme colère et qu’il se faisait vomir ou s’il tombait dans les pommes, il ne fallait pas paniquer et surtout le gronder bien fort… Nous ne nous sentions pas concernés mais bon…

Samedi


Le matin, nous avons déposé Vincent chez ma mère puis nous sommes allés récupérer le père de Sandrine à la clinique de l’orangerie au Perreux. Il n’était pas très en forme et devait se reposer.
Après l’avoir déposé chez lui, nous sommes remontés jusqu’à Noisy pour reprendre Vincent avant de revenir à Neuilly pour manger.

Pendant sa sieste, nous avons fait les courses, au Carrefour de Chelles 2.

A 17h, j’ai emmené Vincent chez le coiffeur. Sandrine voulait que ça soit plus court que la dernière fois. Moi, je suis toujours contre, j’aimerai le voir avec des cheveux longs mais bon…
Vincent a pleuré pratiquement du début à la fin. La première fois tout s’était bien passé jusqu’au sèche-cheveux. Là, il a dû s’en souvenir avant même de le voir. Je l’ai assis sur moi et j’ai essayé de le rassurer, la coiffeuse aussi mais ce n’était pas évident.

Sandrine, ma mère et ma belle-mère ont bien avancé dans la préparation des plats pour mon anniversaire pendant que je m’occupais de Vincent.

Dimanche

Journée exceptionnelle. Des amis, la famille maternelle et paternelle, à manger et à boire, le soleil, des cadeaux…
Rien à dire.
A part que j’aimerai bien recommencer cette journée en invité, pour en profiter un peu plus…

Le soir, après le rangement, le bain de Vincent, une bonne douche, nous étions épuisés, les jambes lourdes et quelques des coups de soleil…

26.6.09

Semaine plus cool

Rien de spécial à dire sur cette semaine.

Boulot

Aujourd'hui, mon patron a enfin annoncé la bonne nouvelle à tout le monde.
Les gens commençaient à trouver mon comportement étrange, semblaient même m'en vouloir de ne pas être triste ou de ne pas organiser de pot de départ.

Du coup, j'ai eu de nombreuses félicitations par mail ou par téléphone. C'était agréable.

Handball

Dernier entraînement mardi dernier. Content d'en terminer avec cette saison. Et toujours cette même question depuis deux trois ans : que vais-je faire à la rentrée ? encore du hand ou autre chose ?

Vincent a eu 18 mois le 24 et le temps passe trop vite...

Dr House saison 5





Waouuu ! Fort, très fort !
Toujours un peu trop de maladies auto-immunes avec de l'interferon ou des trucs dans le genre.
Toujours un peu trop de Vicodine...
Mais quand même Waouu !!!

Sex and the city



Bon, pas grand-chose à dire.

C'est assez mauvais, plutôt mal joué, avec un scénario qui tire en longueur des scènes qui ne le méritaient pas du tout...

C'est surtout un grand défilé de mode où toutes les grandes marques de haute couture sont citées.

A vite oublier.

22.6.09

Revue XXI



Sixième numéro d'une revue vendue en librairie...
Très bien faite, de qualité, avec des sujets poussés, traités par de vrais journalistes d'investigation, illustrés par de vrais illustrateurs reconnues ou en train de l'être...
Alliant à la fois l'écriture, le journalisme, la photo, le dessin, l'actualité et l'Histoire, je crois avoir trouvé ce que je cherchais...
Mais tout ça à un prix : 15 € pour 200 pages, ça fait chère la revue mais c'est mérité...

Les disparus




FNAC.com
"Avec ce livre sur les origines de sa famille maternelle décimée dans les camps nazis, l’auteur a voulu écrire une sorte de À la recherche du temps perdu. Vingt ans après sa mort, Daniel a découvert dans les affaires de son grand-père vénéré, des lettres que lui avait adressées son frère Shmiel, le suppliant de lui envoyer de l’argent pour fuir la Pologne. En vain. Que s’estil passé? De ce mystère naît la texture émotionnelle de ce récit brillant, Prix Médicis étranger 2007.
Qu’est-il arrivé à Shmiel Jäger, à son épouse Ester et à leurs quatre superbes filles ? Pour leurs parents émigrés en Amérique, ils sont morts au tout début de l’occupation de la Galicie par les Allemands, dénoncés par leur bonne polonaise.

Né en 1960 Daniel Mendelsohn, petit neveu de Shmiel, a toujours douté de cette version officielle, et, dès son enfance, s’est mis en quête de la vérité.
Ce livre est à la fois le résultat d’une vie d’enquête, et le récit de cette enquête elle-même.

Un récit volontairement tortueux : tout est dit quand l’auteur compare la narration classiquement chronologique de la bible à celle de l’Iliade, fourmillante d’histoires dans l’histoire.

Daniel Mendelsohn ne se contente pas de compiler les témoignages pour retracer le destin de ses Disparus. Il livre aussi les circonstances dans lesquels ils ont été recueillis, les histoires des témoins, et la façon dont il a retrouvé leurs traces.
Celles-ci l’ont conduit en Australie, en Israël, au Danemark, et bien sûr à Bolechow, cité galicienne dont est originaire sa famille et où Shmiel, seul, était resté.

Au fil de ses recherches, la véritable histoire des Disparus se fait jour. Frydka, fille de Shmiel, a aimé un jeune catholique qui est mort avec elle ; sa sœur Lorka a elle aussi survécu aux premières Aktionen avant de rejoindre la résistance et d’être rattrapée par la barbarie nazie…

Mais cette enquête n’est pas qu’historique. En s’attachant autant aux faits qu’à la psychologie et à l’entourage de ses Disparus, l’auteur donne à son livre l’allure d’un atelier proustien, où le lecteur voit, à force de détails accumulés peu à peu, le passé ressusciter sous ses yeux
."
J'avais pour ma part beaucoup de choses à dire au sujet de ce livre qui m'a beaucoup touché. Au-délà du récit familial, de la recherche généalogique, de l'histoire d'une enquête personnelle, il y a quelque chose d'universelle qui parle à tous.
Ce livre m'a donné envie de poser des questions à ma famille, de profiter de l'histoire (la petite comme la grande) que contient chacun de nos proches.
Ce livre m'a fait repenser à mon oncle G. qui pendant une réunion de famille nous avait demandé (à Sandrine et moi) de bien écouter ce que racontait un vieux monsieur (un cousin par alliance de ma mère et ma tante je crois) en nous disant de manière solennelle que "c'était de l'Histoire". A l'époque, ça nous avait fait rire. Aujourd'hui, je regrette un peu...
Il m'a surtout donné envie (encore un projet à ajouter sur ma liste des projets que je ne ferais peut-être jamais) d'enquêter à mon tour sur un mystère familial, de découvrir ce qu'on m'a caché derrière des "je t'en parlerais plus tard", "quand tu seras plus grand, on discutera de tout ça", expressions courantes du côté paternel.
J'ai soudain envie de savoir ce qui se cache derrière ce suicide, le 20 juin 1990...

18.6.09

Semaine hard encore mais...

Petite précision et rebondissement

Je n’ai pas parlé de quelque chose au sujet de ma dernière journée de séminaire, vendredi dernier. Je devais garder le secret et je voulais que la situation soit plus claire et plus sure.

Donc, vendredi, pendant le déjeuner, après l’annonce de mon départ par la PDG, j’ai remarqué des discussions. Le DRH avec la PDG ; le directeur commercial avec la directrice des ventes ; un représentant qui m’avait affirmé qu’il ferait le nécessaire pour que je reste. Je n’étais pas sûr qu’ils parlaient de moi mais je l’espérais fortement.

Plus tard, alors que tout le monde était déjà dans la salle, le DRH et le directeur commercial m’ont attrapé avant que je m’assoie et m’ont demandé de venir avec eux. Je quitte la salle et je suis ces deux hommes jusqu’au bar de l’hôtel. Je suis inquiet et j’essaie de ne pas me faire de films…
Nous nous installons. Ils prennent un café. Je leur dis qu’ils m’inquiètent un peu. Ils me rassurent avec des sourires et débutent ce qui ressemble à un entretien.
Ils m’ont alors proposé un poste en CDI, une création de poste, avec des responsabilités un peu étranges, en fait des bouts de plusieurs postes et des morceaux de ce que je fais en plus depuis que je suis arrivé.
Je suis embêté parce que j’ai déjà envoyé ma lettre d’engagement signée aux éditions Guyguy. Ils me répondent que ce n’est pas un problème, que j’ai juste besoin des les appeler et de les prévenir.
Je reste calme alors qu’en moi un petit Romain saute partout et fait du smurf. Je leur dis que je dois réfléchir et que je leur donnerais une réponse lundi.
Ils me préviennent que cela doit rester confidentiel.

Du coup, quand je reviens dans la salle, je fais ma tête de circonstances, genre j’étais avec deux mecs importants pendant une demi-heure mais il n’y a rien eu. Dalila me fait passer une feuille sur laquelle elle a inscrit : « Tu dois me rendre ma tarte au citron ». Nous avions parié que je ne resterais pas chez les éditions Crackers et comme elle avait perdu, elle m’avait acheté une tarte au citron. J’ai répondu que non, que c’était juste un rendez-vous pour me confirmer qu’ils n’avaient rien pu faire pour moi.
Pendant l’après-midi, je n’ai rien laissé transparaître.

Le soir et pendant le week-end, j’étais euphorique.

La boulette

Lundi

Début de la semaine par la découverte d’une grosse boulette. Tous nos livres scolaires (qui rapportent 80 % du chiffre d’affaires) n’étaient pas référencés là où ils devaient l’être, ce qui normalement est mon boulot. C’est un peu plus compliqué que cela. Disons que c’est moi mais que cette année c’était différent et que l’année dernière je n’avais pas eu à m’en occuper…
Bref, j’ai reçu des mails de la PDG avec des parties écrites en majuscules et on m’a rapporté des propos qui ne font pas trop plaisir…

Heureusement, dans cette même journée, j’ai lu et signé un beau contrat pour mon CDI. Je dis heureusement parce que je pense que cette boulette aurait pu me causer du tort dans la décision de créer un poste pour moi.

Les choses se sont arrangées assez vite mais quelque part, ça a un peu gâché la fête.
En même temps, personne n’est au courant. Du coup, les gens me demandent si j’ai l’intention d’organiser un peu de départ. Et alors que je me suis beaucoup investi cette semaine, certaines personnes ont été étonnées sachant que je partais dans une semaine…

Dalila est en vacances cette semaine et finalement, c’est une bonne chose. Je suis comme dirait Thomas très « boulot, boulot » cette semaine. Beaucoup de pression, de stress et l’impression en arrivant le matin d’en avoir autant que la veille et de ne pas savoir par quoi commencer. J’ai eu la tête dans le guidon toute la semaine, inquiet, préoccupé.
Aujourd’hui, ça allait un peu mieux mais ce n’est pas encore ça. Et puis, il y a des gens derrière moi qui attendent que je finisse mon boulot pour mieux travailler… nos représentants par exemple.

Handball

Mardi soir, nous avons fait du basket. Oui, du basket. Je n’aime pas du tout et souvent quand des handballeurs jouent eu hand, ça finit mal… J’avais envie de faire demi-tour et de rentrer…
La partie hand n’a pas été très bonne non plus, du fait des tensions liées au match de basket.
Jeudi soir, match amical contre Neuilly sur Marne. Nous avons mal joué et perdu. L’ambiance n’est pas très bonne en cette fin de saison, l’entraîneur n’est pas du tout charismatique ni crédible et tout le monde se fout de ce qu’il dit ou ne dit pas…
C’était une soirée qui donne envie de s’inscrire au badminton l’année prochaine.

La soirée du mercredi chez Stéphane et Elodie était très sympa. Intéressant de tous se retrouver sur le balcon, assis, détendus…

16.6.09

Les photos

Le barbecue de samedi soir

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Les 30 ans de Sylvain

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13.6.09

Semaine très hard

Week-end dernier
Samedi, mariage de Cédric (le frère de Laetitia). Rien de plus à dire que ne disent déjà les photos.
Dimanche repos. Fête des mères et j'avais les mains vides. Sandrine n'a rien dit mais ma mère a su se faire entendre.
Père et mari absent
J'ai eu beaucoup de travail lundi et mardi pour préparer le séminaire. J'ai dû partir tôt le matin et revenir tard, sans vraiment voir mon fils ni ma femme... C'était éprouvant, physiquement et moralement...
Surtout que mercredi matin, nous avons commencé le séminaire et non-stop jusqu'à vendredi soir. Des informations dans tous les sens, des débats, des livres...
Vendredi, avant la pause déjeuner, la PDG des éditions Crackers a annoncé mon départ prochain à tout le monde. La plupart était déjà au courant. Je les avais prévenus au compte gouttes mais là, c'était l'annonce officielle. Elle a dit que je quittais les éditions Crackers parce que j'avais trouvé autre chose (je les quitte aussi parce qu'eux-mêmes ne m'ont rien trouvé chez eux) mais en effet, je casse mon contrat plus tôt donc c'est bien moi qui part...
Toutes les personnes présentes dans la salle à ce moment-là m'ont applaudi. C'était un moment émouvant et embarrassant.
Et puis le soir, ils sont tous partis comme des voleurs... C'est comme ça.
Pour la première fois, je n'étais pas trop tard à la maison. Vincent et Sandrine m'attendaient à l'arrêt de bus.
Indiana et Virginie sont passées à la maison vers 19h30. Apéro pendant le bain de Vincent. Fred et Laetitia nous ont ensuite rejoints, presque comme avant, quand nous nous retrouvions chez Virginie et Indiana, lorsqu'elles habitaient ensemble, dans un appartement derrière le lycée Evariste Galois à Noisy.
D'ailleurs, c'était vraiment comme si nous n'avions aucun problème à nous retrouver. Tout était facile et drôle. Nous sommes tous toujours les mêmes mais malgré tout, dix ans nous séparent de la fin du lycée et nous avons tous vieilli...
Nous avons fini la soirée en jouant au Time's Up. Trois équipes : Virginie et Sandrine, Fred et Laetitia, Indiana et moi. J'ai indiqué ces équipes dans l'ordre de la victoire finale.

7.6.09

Mariage Cédric et Audrey

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5.6.09

Semaine étrange

Week-end dernier

Tout a été plus ou moins rythmé par l’organisation de mon Dîner presque parfait de dimanche soir. En effet, samedi, nous avons fait les courses pour la maison et pour le dîner.
Du coup, après être rapidement passé chez les parents de Sandrine pour étendre au soleil, dans leur jardin, une première lessive, je suis allé déposer Vincent chez ma mère.
En rentrant à la maison, je devais récupérer Sandrine pour faire les courses mais finalement, nous avons terminé le ménage.

Nous étions chez ma mère pour midi et demi.
Nous avons profité de la sieste de Vincent pour faire les courses.

Dimanche, en début d’après-midi, j’ai commencé à préparer mon repas. Sandrine me tournait autour, voulant me donner des conseils, m’aider, etc. J’ai réussi à lui faire comprendre qu’il s’agissait vraiment d’un dîner que je voulais faire moi-même. Elle a fait une petite sieste et quand Vincent s’est réveillé, ils sont partis pour profiter du jardin des beaux-parents.
Moi, je suis resté tout seul avec mon tablier et ma table, mes plats.

Je crois que je ne me suis pas trop mal débrouillé. J’ai retiré toute la pression et j’ai accueilli mes invités.

Samedi, j’avais dans ma boîte aux lettres un courrier des éditions Guyguy, que je devais renvoyer signé.
Dans la semaine, j’ai essayé de mettre la pression sur mon patron qui m’a dit qu’il allait faire le maximum pour moi.
Dans le même temps, j’ai organisé une matinée de formation aux éditions Guyguy, avec Olivier, jeudi matin.
Mardi soir, mon patron m’a dit qu’il pourrait me donner une réponse définitive jeudi soir. Le timing n’était donc pas très bon puisque je me voyais déjà rendre mon courrier signé sans savoir si les éditions Crackers pouvaient quelque chose pour moi.
Bien sûr, ça m’a fait beaucoup gambergé…

Jeudi


Le matin, après avoir déposé Vincent chez la nourrice avec Sandrine, nous avons pris le bus ensemble pour retrouver Olivier à la gare de Neuilly-Plaisance.
Nous sommes descendus à Nation, laissant Sandrine poursuivre toute seule.
Avec Olivier, nous avons emprunté les couloirs nous menant vers la ligne 9. C’est là qu’une jeune fille m’a interpellé. J’ai tout de suite reconnu avec plaisir Samantha qui s’est elle-même présentée à Olivier comme ma voisine qui m’empêchait d’écouter en classe de philo. Nous avons discuté un peu, surtout qu’elle prenait la même ligne que nous. Elle a eu un bébé il y a trois ans et dirige une boutique de prêt à porter. Elle refuse complètement de se connecter à Copains d’avant ou Facebook, n’ayant aucun besoin de renouer avec des gens « d’avant » justement dont elle se passe très bien. A la fin, nous n’avons eu ni elle ni moi ce reflexe idiot d’échanger nos numéros en nous promettant de nous rappeler très vite, tout en sachant que nous ne le ferions jamais.

Matinée de formation très riche. Olivier avait beaucoup de choses à me montrer et peu de temps. C’était son dernier jour et il y avait quand même une petite émotion. L’équipe a l’air très sympa. Les locaux sont bien, les ordis aussi. J’ai rencontré Guy, le patron des éditions Guyguy, juste pour se serrer la main, comme ça, vite fait.
J’étais aux éditions Crackers pour le déjeuner. J’ai raconté ma matinée ; j’attendais toujours une réponse de mon patron.
Réponse que j’ai eue en début d’après-midi. Il ne pouvait finalement rien faire pour moi et me souhaiter bonne chance pour la suite. Je ne suis pas tombé de haut ; ça n’a pas été une surprise énorme mais je me suis soudain senti totalement vidé. Je ne savais pas quoi dire. J’aurais tellement voulu que cette expérience se poursuive, que rien ne s’arrête mais c’était croire au miracle…

Je me sens triste. Je ne veux pas quitter mes collègues, mon poste, mon quartier, mes habitudes. Et tout ça, c’est pour bientôt car chez Guyguy, ils m’attendent le 1er juillet pour un CDI.

Handball

Matchs amicaux contre Fontenay, au Perreux mardi soir et chez eux jeudi soir.

Mardi, c’était assez horrible. Nous avons tous mal joué et nous perdons d’un but alors que l’équipe adverse n’était vraiment pas forte.
Stéphane était très déçu par les mecs, l’entraîneur, son propre jeu.
Jeudi soir, nous avons mieux joué. Nous avons dominé le match en jouant plus sérieusement. J’étais bien, j’ai marqué quelques buts, je me suis démerdé en défense.
Stéphane, quant à lui, n’était toujours pas à l’aise. Il observe des choses dans l’attitude des joueurs ou de l’entraîneur qui ne correspondent pas à sa philosophie sportive.
Il hésite même finalement à venir, sentant bien que jouer avec moi ne suffit pas pour se sentir bien dans une équipe.
Pour ma part, je pense qu’il a mal commencé et qu’il va devoir peut-être se remettre en question pour s’intégrer et avoir encore envie de venir.

3.6.09

Quelques albums (2)






Histoires adaptées de Rudyard Kipling.
Un peu étranges, avec des illustrations qui ne m'ont pas marqué.


Les tableaux de deux peintres (Picasso et Matisse) mis en relief par des textes poétiques.
Très élitistes et, à mon goût, sans intérêt.

Quelques albums (1)



Album intéressant qui raconte l'arrivée d'un nuage noir au-dessus d'un petit village paisible et de la zizanie que ce nuage installe entre les habitants...

















Histoire simple et très dépouillée d'Anatole qui traîne sa casserole partout, celle-ci l'empêchant de jouer avec les autres, de s'ouvrir...
Une belle métaphore.










Des petits personnages cousus, mis en situation, sur la force des mots prononcés par les parents et compris par les enfants. "Tu n'as pas de coeur !" peut signiier des choses traumatisantes pour un enfant.
















Album très mignon sur les mots qu'on utilise, ceux qui existent et ceux qu'on invente, sur les mots d'amour et les autres mots...