Les choses simples

31.5.11

Le parfum



Je n'ai toujours pas lu le livre alors qu'il est sur ma liste des livres à lire un jour... Et du coup, je viens de voir le film que j'ai trouvé plutôt bien fait, et qui m'a donné envie de lire le livre même si sais que tout sera faussé désormais... et que je vais voir les images du film pendant ma lecture...

30.5.11

Millenium


Plutôt réussi même si les détails sont comme toujours plus fournis dans le livre.

8th wonderland


Le film raconte la vie du premier pays virtuel situé uniquement sur Internet. Ces habitants se parlent par tchat vidéo. Il y a une constitution et toutes les motions sont soumises au vote. Lorsqu’ils décident de défendre des sujets chers à leurs yeux : le droit à la contraception en posant des distributeurs de préservatifs au Vatican, la lutte contre la peine de mort en prenant en otage la dinde de Thanksgiving fraichement graciée par le président, le monde réel commence à parler d’eux.

Petit à petit les actions prennent de l’envergure et le monde essaie de lutter contre 8th Wonderland, le nom de ce nouveau pays, mais finalement, il n’existe pas.

C’est pas mal fait avec des références générationnelles fortes (surtout pour la nôtre en fait). Même si le film n’est pas très vivant, il a le mérite de ne pas lasser.

NB :
Lors du mariage de Rémi et Géraldine, en 2006, il me semble me souvenir avoir entendu parler de film. Des personnes présentes lors de certains repas semblaient même être des protagonistes importants du film, le scénariste peut-être. C’est un peu flou mais dès les premières images, alors que j’avais complètement oublié ces discussions de l’époque, tout cela m’est revenu d’un coup. Je mélange peut-être plusieurs choses mais j’ai l’impression étrange que le titre 8th wonderland circulait à Montpellier à cette époque. Il y a d’ailleurs un petit rôle de barman tenu par un mec que j’ai souvent vu dans le sillage de Rémi, soit à la FNAC, soit lors de son mariage, ça ne peut pas être une coïncidence.

27.5.11

Aya de Yopougon T. 6



Toujours aussi drôle.

Verlaine - Une saison en enfer

La vie de Verlaine sans Rimbaud, de retour auprès de sa mère, à la campagne, et le manque atroce du jeune homme qui commence, lui, une vie nouvelle en Afrique...
Intéressant et fourni en citations des deux auteurs.

Resident evil : afterlife


Ah, ah, ah... Comme c'est mauvais... Mal joué, sans scénario, pas très bien filmé non plus... J'aurais peut-être dû voir les épisodes précédents mais je ne crois que cela aurait changé quoi que ce soit...
Bref, rien à garder, même pas la présence de l'acteur principal de Prison Break ou encore celle de l'actrice qui avait un double maléfique au début d'Heroes puis des pouvoirs étranges liés à l'eau dans les saisons suivantes.
Et le pire c'est que j'aurais pu le voir en 3D !

25.5.11

Happy rock


Sympa.

Desert park


Les souvenirs d'une semaine de vacances dans un parc aquatique dévastée par une tempête. Des jeunes desoeuvrés, cherchant à lutter contre l'ennui, se retrouvent et s'aventurent dans ce monde désolé.
Dix ans plus tard, un homme parcourt les routes au volant de sa voiture et se souvient de la fin tragique de ces vacances...

Tron Legacy


Je suis assez content de ne pas l'avoir vu sur grand écran en 3D... même pour le spectacle...
Il ne se passe pas grand-chose, il y a peu de dialogues et les scènes d'action sont assez répétitives (poursuite à moto, combat de disques..., effets de lumières...).
Par contre, la musique, on l'entend. Omniprésente, la bande son de Daft Punk est finalement ce qu'on retient le plus de ce film, comme si on assistait à plusieurs clips du groupe.

24.5.11

Un peu de tout

La semaine dernière, Sandrine, Vincent et moi avons fait une promenade dans le centre de Noisy. Nos pas nous ont menés jusqu’à mon ancienne école maternelle, à savoir Le Clos des Noyers, près du lac des Arcades. Je n’y étais jamais retourné depuis le CP, ce qui fait quand même pas mal de temps ! J’ai trouvé le bâtiment vétuste et délabré. J’ai reconnu la cours de la maternelle mais le reste ressemble plus à des mobil-home abandonnés dans un camping en décembre qu’à une école. Je n’aurais pas du tout poussé Vincent à aller dans cette école, qui a peut-être de bons instituteurs et un meilleur programme que celle dans laquelle il se trouve, mais qui aurait vraiment besoin d’un ravalement en profondeur.

Il ne faudrait pas forcément revenir sur les lieux de son enfance mais plutôt les laisser intacts dans notre mémoire.

Mercredi soir

Pendant les trois heures de badminton, j’ai fait quelques doubles puis j’ai achevé ma soirée par des sets acharnés avec un mec avec qui je joue depuis presque deux ans. A la fin, tous les deux épuisés, il me demande : « Tu bosses à la BAC, toi non ? » Je reste sans voix. « Non, je ne sais pas, tu as une tête à bosser chez les flics ! » Je fronce les sourcils, je le regarde comme je peux entre les gouttes de sueur qui s’écoulent de mon front et je lui demande : « Et c’est un compliment ? » Il hausse les épaules et sourit. Je n’ai toujours pas compris cette tentative de contact social, ni pourquoi j’avais spécialement une tête à bosser chez les flics…

Jeudi

Je suis allé chercher Vincent au centre. Les animatrices avaient affiché des photos des enfants et nous pouvions les prendre s’il s’agissait d’un portrait. Vincent a pris les trois photos de lui et nous sommes rentrés. Il les tenait fermement mais arrivés à la maison, nous avons remarqué qu’il en manquait une. Evidemment, il n’a pas pu me dire quand ni ou il l’avait perdue. Nous avons descendu la rue mais sans succès.

Plus tard, Sandrine nous a rejoints à la maison. Elle avait dans sa main la photo manquante qu’elle avait trouvée par terre, quelques mètres après être descendue du bus. Cela l’avait un peu surprise de tomber sur une photo de son fils dans la rue.

Samedi

Alors que des avis de sécheresse sont décrétés un peu partout, et même juste à côté, en Seine-et-Marne, j’ai utilisé le Kärcher prêté par mon beau-père pour nettoyer une partie de ma terrasse.

Les escaliers extérieurs qui descendent à la cave, le coin autour du barbecue ainsi que les escaliers qui remontent sur la terrasse. Cela m’a pris pas mal de temps et sûrement pas mal de litres. Sandrine m’a aidé un peu. La sensation de rendre propre un endroit si sale était vraiment très agréable. On passe le Kärcher et ce coin qui était vert ou noir depuis plusieurs mois redevient blanc. Quand Sandrine me le piquait, je ne voulais pas que ça dure trop longtemps.

En réalité, nous avons passé la journée à faire le ménage, dedans et dehors, et le résultat nous a fait du bien mais ça m’a surtout donné envie d’avoir une femme de ménage et un jardinier…

Dimanche matin

En préparation des 10 km de Noisy (29 mai), je me suis dit qu’il fallait que je fasse un moins un footing. J’ai trouvé un créneau dimanche matin, pendant que Sandrine et Vincent allaient au marché. Je me suis dit que ça ne valait pas le coup de prendre les clés. J’ai prévenu Sandrine que j’en avais pour une heure.

Je voulais courir en musique. J’ai donc installé mon Iphone dans une pochette que j’ai insérée sur le côté de mon pantalon. L’écouteur de l’oreille gauche a eu tendance à s’échapper trop régulièrement. De plus, il semble y avoir un souci avec la partie où j’insère la prise de mes écouteurs. Dès que je bouge un peu, ça grésille, ça saute, ça s’éteint parfois ou mieux encore, on entend que la musique mais pas le chanteur, ou l’inverse. J’ai mis un peu de temps à trouver la position idéale pour que ça fonctionne correctement et que l’écouteur de l’oreille gauche tombe moins souvent.

Je me suis aussi rendu compte que courir en musique pouvait être traître car, du coup, emporté par le son, je me suis lancé un peu trop vite et mon rythme était moins bon sur la fin de mon tour. J’ai fait à peu près 8 kilomètres en allant un sur le parcours de la course de dimanche prochain pour repérer les difficultés.

A mon retour, Sandrine n’était pas là. J’ai fait un petit tour à pied pour souffler, m’étirer, récupérer et je suis revenu mais toujours pas de Sandrine. Je me suis donc assis sur le trottoir, j’ai flâné sur Facebook et regardé un bout de film sur l’Iphone. Lorsque ma petite famille a pointé le bout de son nez, je n’étais plus fatigué et presque plus en sueur. La prochaine fois, je prendrais les clés.

Mardi matin

Alors que j’allais descendre les escaliers qui me faisaient aller sur le quai, je vois plus bas, une jeune fille de dos, qui, perchée sur ses hauts talons, perd l’équilibre, fait deux pas mal assurés, essaie de se rattraper à quelqu’un et finit par tomber, la tête contre l’arrête d’une marche avant de rouler de tout son long sur les dernières marches et de s’affaler sur le quai. Quelques personnes se pressent à ses côtés, un monsieur la met en position latérale de sécurité. Je passe devant. Je vois du sang. La jeune fille est consciente. Elle se touche la tête et dit la voix chevrotante : « Je saigne ». Une femme appelle les pompiers, une autre va prévenir le responsable de la gare. Je poursuis. J’aimerais en savoir plus, faire mon curieux, imprimer son visage pour la reconnaître mais je me dis qu’elle a déjà pas mal de monde autour d’elle, que je ne serais d’aucune utilité. Lorsque le train quitte la gare, nous passons devant elle et ses accompagnateurs. Je ne la vois toujours pas. Je remarque juste une fille de la RATP qui parle dans un talkie.

Plus tard, lorsque Sandrine m’appelle au bureau, elle me raconte qu’il y a eu un problème à la gare, qu’une jeune fille était allongée par terre, avec les pompiers. Je lui raconte ce que j’ai vu. Elle me dit que lorsque son RER a quitté la gare, un pompier était en train de lui faire un massage cardiaque. Elle me rapporte aussi qu’elle a entendu des gens dire : « Evidemment, avec des talons aussi hauts… ! »

Je ne sais pas ce qu’elle est devenue mais j’aimerais bien le savoir.

Scott Pilgrim T. 2


Deuxième volume intéressant, qui m'apprend des choses dont le film ne parle pas.

Mr Nice


Un biopic sur un dealer de Hasch qui au-delà de la prison et du stress de certaines livraisons semble avoir eu une belle vie, à fumer, se faire plein de blé, à avoir une belle vie de famille...
Le film est pas mal et donne presque envie de devenir un drogué...

23.5.11

Harry Potter et les reliques de la mort Partie 1



Bien fait, sombre, haletant. Vivement la suite et la fin.

New-Harlem et New-York



Une même histoire dans trois réalités différentes qui coexistent, s'entrechoquent et s'anihilent... Une belle réussite mais si j'ai trouvé les ultimes pages assez décévantes.

20.5.11

The green hornet


Je n'étais pas de la génération de la série donc je ne sais pas si l'adaptation est réussie ou non. En tout cas, ce n'est pas un mauvais film même si j'ai trouvé que l'acteur qui vaut vraiment le coup c'est l'asiatique. Cameron Diaz a un rôle assez insignifiant et Seth Rogen n'est pas convaincant.
Il y a quelques scènes bien sympathiques mais je m'attendais à autre chose de la part du réalisateur, Michel Gondry. Tant pis.

Oklahoma Boy T. 2 - Iron & Flesh


Le personnage du tome 1 est devenu un militaire sanguinaire d'une section d'assaut et ne trouve plus Dieu nulle part. Plus désespéré que le premier volume mais plus adulte aussi.

18.5.11

Date limite


Une version remixée à l'américaine de L'emmerdeur.
Un inconnu nous tombe dessus et finalement ne nous lâche plus... Le boulet qu'on aimerait laisser là mais qui reste quand même.
Pas mal... Un film correct d'Iphone dans les transports.

Belleville story T.1 - Avatnt minuit


Un polar aux dessins secs et précis, une ambiance noire et glauque, un scénario qui tient en haleine. Une belle surprise. Il me tarde de lire le tome 2.

Oklahoma boy



Un père ultra religieux élève son fils dans l'amour du christ et la pénitence perpétuelle, le protégeant du monde atroce et des hommes qui ne sont que des pécheurs. Malheureusement, c'est en voulant le rendre meilleur qu'il a fini par en faire un enfant comme on le voit ici. Très intéressant.

Apocalypse nerd



Et si les coréens avaient envoyé un missile nucléaire sur Seattle, comment survivrait un mec sans aucune compétence particulière, ni courage, ni ambition ? C'est le topo de cette BD délirante.

Black hole


Une maladie étrange, la crève, touche les jeunes d'une ville américaine. Ils deviennent des monstres à forme humaine. Des choses très bizarres apparaissent.
Une bd qui met mal à l'aise mais qui dit beaucoup sur la jeunesse, le passage à l'âge adulte, et la période atroce de l'adolescence.

12.5.11

Bludzee



Un livre composé de 365 strips de 6 cases initiallement prévus pour les Iphone et autres applications numériques.
C'est assez délirant mais l'histoire de ce chat qui essaie de survivre est assez drôle.

Expendables



Ah, ah... des gros bras, de la baston, des armes, des dialogues faciles... ça fait du bien parfois !

11.5.11

Scott Pilgrim T. 1 + Scott Pilgrim le film

Un manga canadien sur un jeune homme qui vit une vie simple de jeux vidéos, de rock, etc. Il rencontre une fille et se retrouve très vite au coeur d'une quête étrange : pour pouvoir sortir avec elle, il doit vaincre ses 7 ex maléfiques.
Le premier volume est vraiment prometteur. 




Du coup, j'ai eu l'occasion de voir le film et je me suis bien marré. Les 40 premières minutes sont l'exacte reproduction du premier volume, quasiment plan par plan.
C'est très drôle et très générationel aussi. J'ai adoré. Mais j'aurais préféré le voir en VO.

Le diable amoureux et autres films jamais tournés par Méliès


Plusieurs histoires du début du 20ème siècle que Méliès aurait pu tourner.
Chacune d'entre elles est fantastique, délirante et frôle souvent le merveilleux.

6.5.11

Yael Naim - Umbrella


yael naim - umbrella par moijedis

Y'a d'la poisse

Recueil en format plus petit comprenant les trois volumes ci-dessous.
C'est aburde, débile, gras, grossier, vulgaire, mais qu'est-ce que c'est drôle !
En plus, comme ce sont des albums de 1989-1990, il y a des références à des événements de l'époque qui font sourire...




L'art invisible


Un livre que je voulais lire depuis longtemps. Sa première édition a presque 20 ans désormais et c’est vrai que les exemples sont plutôt des exemples de générations précédentes que de la mienne. Je crois qu’une mise à jour ne serait pas inutile. L’auteur a écrit d’autres ouvrages sur le sujet que j’aimerais pouvoir lire également.


Il s’agit ici d’une BD qui essaie de définir la bande dessinée, non pas sur la manière technique de faire une bande dessinée mais plutôt sur l’état actuel de cet art qu’on trouvait mineur et qui est devenu au fil du temps plus que majeure.

C’est très bien fait, clair, efficace et cela m’a donné la possibilité de comprendre la genèse de choses qu’on accepte aujourd’hui naturellement : l’importance de l’espace entre les cases, la relation entre le texte et l’image, la couleur, le rôle essentiel dans l’œil, mais celui aussi des autres sens, etc.

J’ai trouvé cela passionnant et enrichissant.