Les choses simples

25.1.08

Retourner bosser un vendredi

Mercredi soir
Soirée chez les Pinto. Nous sommes partis après le repas du petit et revenus juste avant le suivant. Entre les deux, il a bien dormi dans sa nacelle, à côté de nous qui parlions fort, faisions du bruit. De retour à la maison, je n'ai pas caché ma fierté devant ce petit garçon merveilleux.
Jeudi soir
Du coup, le lendemain, je suis arrivé confiant chez Marion et Sylvain. Il dormait dans sa nacelle, ça partait bien et puis finalement, il a pleuré une bonne partie de la soirée. Il avait l'air d'avoir mal au ventre, ou un truc dans le genre. C'était donc moins simple que la veille et oui, en effet, nous n'avons pas un robot qui est chaque soir le même : il a un mois et nous offre tout...
Vendredi
Vincent a ouvert les yeux une bonne demi-heure avant mon réveil. J'ai accompagné Sandrine puis j'en ai profité pour me doucher et me préparer. Sandrine est allée se recoucher, j'ai fait un petit calin à mon fils et je suis allé manger.
Je suis donc parti plus tôt au boulot. J'y étais à 8h.
J'avais beaucoup de boulot. Ma collègue avait fait ce qu'elle pouvait mais elle ne pouvait quand même tout faire. J'ai donc passé la journée à déblayer les cent mille mails qui m'attendaient, ainsi que les merdes en cours...
Plusieurs personnes sont passés dans mon bureau me demander des nouvelles de mon fils, m'ont demandé si ce n'était pas trop dur d'être là, s'il faisait déjà ses nuits, etc.
Vers 16h30, j'ai ressenti un bon gros coup de barre. J'avais un mal fou à rester éveiller. Heureusement, ma collègue D. a décidé d'ouvrir sa bouteille de Champomy, un de ses cadeaux d'anniversaire, pour ses 30 ans, qu'elle avait gardé pour fêter la naissance de mon fils.
Je suis parti un peu avant 18h. Dans le RER, j'ai resisté longtemps avant de m'assoir sur une place disponible puis finalement, à Vincennes, j'ai cédé. Et j'ai dormi jusqu'à Neuilly, mon livre ouvert sur la même page.
Arrivé à la maison, j'a découvert une Sandrine resplandissante, une maison propre et bien rangée, un enfant endormi et le repas en train de cuire... Je me suis demandé si ma femme venait vraiment de la même planète que moi. A sa place, j'aurais eu le temps de faire le ménage dans une chambre, de mettre la table et de m'effondrer dans le canapé avant Vincent dans mes bras.
Notre fils a cependant décidé de ne pas dormir plus longtemps que quelques minutes. Nous avons passé la soirée à essayer de le calmer, de l'endormir, de le détendre, de l'aider. Sandrine s'est couchée très vite, avant 22h. Je suis resté un peu dans la chambre avec Vincent, le temps de vraiment l'endormir, dans mes bras, encore dans mes bras... mais j'assume.
Après cela, je suis resté dans le salon, au calme, à errer sur le net...

3 Comments:

Blogger Nicolas said...

Euh.... tu as mis un gros mot dans ton blog....

26 janvier, 2008  
Anonymous Anonyme said...

hein...
pffff
c'est mieux chez les pintos ?
c'est mieux chez laetitia..
c'est ça ...
ingrat que tu es
pffff...

27 janvier, 2008  
Anonymous Anonyme said...

Je vois que Vincentr est déjà un gros malin: il fait du boudin pour être sur d'avoir des mamours et des calins et que papa va l'endormir dans ses bras! Et ben c'est du propre! SI petit et déjà manipulateur!!!

Bravo à ta femme qui comme tu le dis si bien est extraordinaire

Clo

28 janvier, 2008  

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