Week-end
Vendredi soir
Retour à la maison avec encore des problèmes dans le RER. Une semaine maudite qui donne envie de tout plaquer ou plutôt d’avoir le pouvoir de se téléporter.
Soirée avec Julie et Guillaume. Le ventre de ma cousine s’arrondit, ni trop vite, ni pas assez. Ils sont encore dans la phase floue où les choses ne sont pas tout à fait réelles mais pourraient le devenir d’une seconde à l’autre. Julie m’a même dit : « j’ai hâte et en même temps, j’ai peur ! »
Elle nous a posé beaucoup de questions et a bien observé Vincent qui bouge partout, monte sur tout, affirme son caractère. J’ai essayé de ne pas faire celui qui a une super expérience et qui sait tout sur tout. J’ai parlé de ces 11 mois que nous venons de passer et de la connaissance que nous avons acquise finalement qui peut aujourd’hui nous faire relativiser sur les premiers mois.
Nous avons mangé des fajitas et un gâteau au chocolat en écoutant de la musique.
Samedi
Le matin, j’ai déposé Sandrine et Vincent chez le pédiatre. De mon côté, je suis allé à mon rendez-vous chez le pédicure pour me faire soigner mon ongle incarné. Je vous passe les détails mais ce n’est pas la première fois que ça m’arrive et je n’ai toujours pas compris la leçon. Avant d’entrer, j’ai hésité, me remémorant les dernières fois, la douleur, les doigts plantés dans le fauteuil mais j’ai pris mon courage à deux mains et je suis entré me faire charcuter.
Le pédicure avait l’air heureux de me revoir. Pas moi finalement et encore moins après.
J’ai retrouvé ma petite famille près de Cabrini et nous avons fait un petit tour aux Arcades.
Déjeuner chez les parents de Sandrine puis nous sommes allés chez mon oncle et ma tante à la Ferté. Nous devions rendre visite à ma tante, handicapée du pied, et ma mère en convalescence là-bas, handicapée de la main.
Sur la route, gros coup de barre de tout le monde, même moi. Les deux autres ont dormi et moi j’ai lutté de toutes mes forces. J’ai dû réveiller Sandrine pour la forcer à me parler de tout et de rien. Pour tenir le coup.
Après-midi cool. Vincent a dormi dès notre arrivée. Puis il a pris son goûter et a vadrouillé autour de la table basse. J’ai essayé de le prendre en photo mais il bouge vraiment beaucoup.
Retour à la maison sans trop de fatigue.
Soirée cool.J’ai pris le temps d’essayer un jour que Thomas m’a prêté : Day of crisis. Très bon, prenant, pas trop dur…
Dimanche
Le matin, je suis allé à l’éléphant bleu passer un coup d’aspirateur dans la voiture, encore bien remplie de résidus du week-end dans la Somme.
Le reste de la journée, pyjama ou jogging pour tout le monde avec un temps de merde dehors.
Marion et Maxime sont venues prendre le goûter à la maison. J’ai montré le jeu de tennis à Marion pendant que nos enfants bougeaient et que Sandrine s’endormait par terre, victime d’une migraine atroce qui l’a clouée au lit à 21h30.
J’ai continué le jeu de Thomas sans me coucher trop tard.
Retour à la maison avec encore des problèmes dans le RER. Une semaine maudite qui donne envie de tout plaquer ou plutôt d’avoir le pouvoir de se téléporter.
Soirée avec Julie et Guillaume. Le ventre de ma cousine s’arrondit, ni trop vite, ni pas assez. Ils sont encore dans la phase floue où les choses ne sont pas tout à fait réelles mais pourraient le devenir d’une seconde à l’autre. Julie m’a même dit : « j’ai hâte et en même temps, j’ai peur ! »
Elle nous a posé beaucoup de questions et a bien observé Vincent qui bouge partout, monte sur tout, affirme son caractère. J’ai essayé de ne pas faire celui qui a une super expérience et qui sait tout sur tout. J’ai parlé de ces 11 mois que nous venons de passer et de la connaissance que nous avons acquise finalement qui peut aujourd’hui nous faire relativiser sur les premiers mois.
Nous avons mangé des fajitas et un gâteau au chocolat en écoutant de la musique.
Samedi
Le matin, j’ai déposé Sandrine et Vincent chez le pédiatre. De mon côté, je suis allé à mon rendez-vous chez le pédicure pour me faire soigner mon ongle incarné. Je vous passe les détails mais ce n’est pas la première fois que ça m’arrive et je n’ai toujours pas compris la leçon. Avant d’entrer, j’ai hésité, me remémorant les dernières fois, la douleur, les doigts plantés dans le fauteuil mais j’ai pris mon courage à deux mains et je suis entré me faire charcuter.
Le pédicure avait l’air heureux de me revoir. Pas moi finalement et encore moins après.
J’ai retrouvé ma petite famille près de Cabrini et nous avons fait un petit tour aux Arcades.
Déjeuner chez les parents de Sandrine puis nous sommes allés chez mon oncle et ma tante à la Ferté. Nous devions rendre visite à ma tante, handicapée du pied, et ma mère en convalescence là-bas, handicapée de la main.
Sur la route, gros coup de barre de tout le monde, même moi. Les deux autres ont dormi et moi j’ai lutté de toutes mes forces. J’ai dû réveiller Sandrine pour la forcer à me parler de tout et de rien. Pour tenir le coup.
Après-midi cool. Vincent a dormi dès notre arrivée. Puis il a pris son goûter et a vadrouillé autour de la table basse. J’ai essayé de le prendre en photo mais il bouge vraiment beaucoup.
Retour à la maison sans trop de fatigue.
Soirée cool.J’ai pris le temps d’essayer un jour que Thomas m’a prêté : Day of crisis. Très bon, prenant, pas trop dur…
Dimanche
Le matin, je suis allé à l’éléphant bleu passer un coup d’aspirateur dans la voiture, encore bien remplie de résidus du week-end dans la Somme.
Le reste de la journée, pyjama ou jogging pour tout le monde avec un temps de merde dehors.
Marion et Maxime sont venues prendre le goûter à la maison. J’ai montré le jeu de tennis à Marion pendant que nos enfants bougeaient et que Sandrine s’endormait par terre, victime d’une migraine atroce qui l’a clouée au lit à 21h30.
J’ai continué le jeu de Thomas sans me coucher trop tard.
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