Les choses simples

25.5.09

Un putain de bon week-end

Mercredi soir

Mal de tête

Cette migraine m’a tenu le cerveau jusqu’à mercredi soir. J’ai fini par prendre un Migpriv, un médicament anti-migraine efficace, déjà utilisé par ma mère et Sandrine.
Lorsque Laetitia est arrivée pour finaliser avec Sandrine le diaporama prévu pour le mariage de son frère, ça allait déjà beaucoup mieux. En fin de soirée, ce n’était déjà plus qu’un mauvais souvenir.

J’ai laissé les filles s’amuser à écrire des commentaires. Pendant ce temps-là, j’ai lu, regarder la télé, essayé un jeu sur la WII puis un autre avant de ranger les derniers livres de poche lus qui traînaient sur mes étagères.

Jeudi

Parc

Le matin, profitant du soleil, Vincent, Sandrine et moi, nous sommes allés au square près de la maison. D’autres parents étaient là avec leurs enfants. Difficile pour moi qui peut être très associable de me retrouver à discuter avec un autre papa de la période bénie où il avait encore des cheveux ou avec une maman de l’importance de laisser ses enfants jouer par terre dans les gravillons… Sandrine est plus douée pour ça alors je la laisse devant moi répondre aux questions.
Pendant ce temps-là, Vincent s’en fout et monte sur le toboggan tout seul ou pique un seau ou s’allonge par terre.

Visite de mon grand-père

Il est arrivé vers 15h avec Suzanne sa compagne. Nous avons discuté de tout et de rien, grignoté un gâteau au chocolat fait par Sandrine. A un moment, mon père a téléphoné pour savoir où nous étions. J’ai répondu que j’étais à la maison. « Et ton grand-père ? » ; « Bah, il est là aussi ». Après un soupir, il continue : « Bon, je crois qu’on s’est mal compris ! Moi, je suis à Crouy avec ta sœur, chez ton grand-père ! » Je ne peux alors m’empêcher de rire du comique de la situation. Ce qui ne plaît pas trop à mon père qui met fin à notre conversation par un : « Bon, je raccroche, ça ne me fait pas rire moi ! » J’annonce à mon grand-père que mon père est chez lui. Il me dit : « Bah, qu’est-ce qu’il fout chez moi ? » Automatiquement, Suzanne l’engueule gentiment en lui demandant ce qu’il a bien pu dire encore comme bêtise pour que son fils comprenne mal le lieu du rendez-vous. Mon grand-père se justifie et affirme qu’il n’a jamais rien dit dans ce sens. Moi aussi, j’y vais de mon argument, surpris quand même par ce quiproquo.

Parc, partie 2

Après leur départ, retour au parc. Il y avait trop de monde, du coup, nous avons fait une promenade par un chemin que nous ne connaissions pas : le chemin Saint-Vincent. Plus loin, nous sommes passés devant une grande maison bleue qui était à vendre. J’ai noté le numéro et appelé pour décider d’un rendez-vous le samedi.

Dîner presque parfait de Micaël

Tout le monde a eu l’agréable surprise d’avoir une déco, une ambiance et un dîner presque parfait. C’était bon, bien servi. L’effort sur la déco portugaise était vraiment présent et avec sa mandoline ou son synthé (que nous connaissons pourtant par cœur), il a réussi à nous faire danser dans le salon…
Un sérieux client finalement, qui cachait bien son jeu et qui m’a donc mis la pression pour le dimanche 31, date à laquelle je suis attendu au tournant pour mon dîner.

Vendredi

Tout seul avec mon fils

Notre enfant, gentil petit ange, est revenu et ça fait du bien.

Le matin, nous sommes passés chez Laetitia pour récupérer le téléphone de Sandrine oublié la veille, puis au laboratoire les analyses de Sandrine et essayer de trouver une place chez le coiffeur à côté pour Vincent, mais sans succès. Du coup, nous avons tenté notre chance chez Cath’line, un autre coiffeur mais près du marché de Neuilly. Une coiffeuse s’est occupée de nous. Vincent a été très gentil, se faisant couper les cheveux sans rien dire. Il a juste pleuré au moment du sèche-cheveux mais sans conséquence.

L’après-midi, il a fait une bonne sieste de trois heures me laissant le temps de faire du repassage et de regarder deux films.

Après le goûter, nous sommes allés chercher Sandrine pour un petit tour à Décathlon, le temps d’acheter un petit ballon pour Vincent.

Le soir, je suis allé chez Stéphane qui m’a montré le jeu Call of Duty en ligne et avec qui j’ai joué à PES chez PS 2 pour perdre comme d’habitude.

Samedi

Repas festif chez les parents de Sandrine

Au départ, il ne devait y avoir que ma mère à ce repas. Puis mon père, Nicolas et Rebecca qui pouvaient se libérer dans l’après-midi. Puis Marion, Sylvain et Maxime. Puis Laetitia, Mélina et Alexia. Pas mal de monde en fait.
Pour info, certaines photos ont été prises par Marion.

Vers 17h, je suis allé visiter la maison avec Sylvain. Une maison de l’horreur, comme un vieil hôtel de passe où des petites roumaines devaient être exploitées. Beaucoup trop de travaux. Et une ambiance étrange.

Le soir, les Pinto sont venus à la maison. Les filles ont terminé le diaporama. Micaël s’est endormi de bonne heure, fatigué par son père et les travaux dans la maison.

Dimanche

10 km de Noisy

Avec Vincent et Sandrine, nous avons rejoint mon père et mon oncle à l’arrivée des 10 km afin d’attendre les récompenses. En Vétéran 2, mon oncle a terminé 2ème et mon père 4ème. Le premier, un kényan, Bernard Lagatte, a terminé en 30 minutes.
Nous avons vu Emmanuel Constant, ancien prof de Science Eco à Evariste et Thierry Morin, ancien prof de Physique-Chimie à Evariste, en compagnie de l’infirmière du lycée. Il va avoir 50 ans l’année prochaine. Je l’aimais bien.

Les 33 hectares

Vincent a joué après sa sieste dans la partie jeu des 33 hectares proche de Gagny. Il y avait beaucoup d’enfants et il fallait faire attention à tout.
Après, nous avons visité la maison en construction d’Elisa et Stéphane ; il y a un boulot monstre.

Soirée 24 et Prison Break.