Week-end bien rempli
Vendredi
Le midi, j’ai joué au Squash avec O. Il s’améliore. Il m’a même pris un set.
La jeune fille qui m’avait donné les horaires de réservation m’avait indiqué 13h30. Du coup, à l’heure dite, nous étions devant le cours, faisant des signes aux deux sportifs derrière la vitre. Ils sont sortis et l’un deux m’a dit, après avoir regardé l’horloge, sur un ton très agressif, que ce n’était pas l’heure, qu’ils avaient réservé jusqu’à 13h45. Je lui ai proposé d’aller voir l’accueil et une jeune fille a bien confirmé l’horaire prévue pour l’énervé. J’ai dit que j’étais désolé et il n’a rien dit, haussant seulement les épaules, l’air de dire « Je te l’avais dit connard ! » Je lui aurais bien fait bouffer les cordages de sa raquette un par un mais nous avons préféré nous échauffer moi sur le vélo et O. sur le tapis.
J’ai retrouvé Sandrine et Vincent à la maison. Nous n’avons pas trop eu le temps de traîner. J’ai donné le bain à Vincent pendant que Sandrine préparait tout ce dont nous aurions besoin pour la soirée.
Nous avons respecté notre timing. Même si nous avons tourné et traversé plusieurs fois les mêmes rues, nous étions près de chez Adrien vers 20h. Par contre, après, pour trouver une place, les choses se sont un peu compliquées. Finalement, nous nous sommes décidés pour une place « livraison » juste en bas de chez lui.
Adrien habite au deuxième étage d’un immeuble situé dans le quartier de la butte aux cailles. Quartier qui semble assez vivant avec pas mal de bars et des jeunes qui boivent et fument dans le rue en profitant à fond de leur vendredi soir.
Avec le sac à langer en bandoulière, le lit parapluie et mon sac à dos, j’ai dit à Sandrine avant d’appeler Adrien pour qu’il nous donne le code de la porte d’entrée, que j’aurais très bien pu vivre ici. Dans une autre vie…
Nous avons monté les escaliers exigus pour nos multiples bagages et nous avons enfin pu pénétrer dans l’univers d’Adrien. Pendant que nous préparions les affaires pour la nuit de Vincent et pour son repas, nous en avons profité pour observer les lieux et admirer l’ensemble.
Très bel appartement, décoré avec goût, qui ne ressemble pas à l’appartement d’un mec célibataire qu’on peut avoir en tête tout en n’étant pas non plus un appart de filles… Sandrine n’a pas hésité à lui faire des compliments.
Vincent n’a pas bien mangé. Il laissé plus de la moitié de son biberon, ce qui est étonnant pour un gros mangeur comme lui.
Nous l’avons couché dans son lit parapluie, dans la chambre d’Adrien. Seul bémol de cette pièce, la fenêtre qui donne sur la cuisine. Du coup, pour ne pas déranger, Adrien a tenté la cuisine dans la pénombre et il ne s’est pas trop mal débrouillé. Mais Vincent n’a pas vraiment réussi à s’endormir. De la cuisine, je pouvais le voir s’agiter. Au bout d’un moment, je suis retourné le voir discrètement. Il était sur le ventre. Quand Sandrine est allée le voir, il s’est relevé pour nous montrer une belle tâche de vomi sur son matelas.
Nous l’avons donc gardé un peu avec nous. Il n’avait plus du tout l’air fatigué. Pourtant, nous avons bien dû le recoucher, il était déjà tard pour lui. Il a pleuré quelques minutes, énervé mais a cédé face au sommeil.
Nous avons bien mangé, bien rigolé et discuté de nos boulots respectifs, des gens avec qui on bossait, de nos responsables, de l’hypocrisie sociale et de mon projet de monter un truc autour de « ce que j’aurais dû dire… »
Galants, nous avons laissé le canapé à Sandrine mais c’était sans compter sur son état de fatigue très avancé.
J’ai pris quelques photos de l’appart d’Adrien.
Nous sommes rentés sans problème. Vincent et Sandrine dormaient dans la voiture.
Samedi
Sandrine a ouvert les yeux avant moi, m’a réveillé en me montrant l’heure : 9h. Vincent se réveille au plus tard à 7h30, même le week-end. Nous nous sommes donc précipités dans sa chambre pour le découvrir dans son lit, souriant et jouant avec son doudou. Je ne sais pas depuis combien de temps il était réveillé mais s’il ne disait rien c’est que tout allait bien. La veille, je lui avais demandé de nous laisser faire une grasse matinée. Je disais ça pour rire, persuadé que ça n’arriverait jamais et en réalité, il m’a écouté. Il est formidable cet enfant.
Nous avons passé la matinée aux Arcades et notamment à la boutique Bouygues Télécom. Sandrine venait récupérer son portable en réparation depuis trois semaines à cause d’une bouteille d’eau malencontreusement renversée sur les microcomposants. Elle venait surtout entendre le vendeur qu’il n’était pas réparable.
Du coup, je lui ai filé le mien et avec mes points, j’ai choisi un nouveau portable.
Nous sommes passés à la FNAC. C’est toujours un plaisir de retrouver mes anciennes collègues, surtout E. toujours aussi aigrie, révoltée, anti-chef mais toujours à son poste.
Dans l’après-midi, Vincent a fait une grosse sieste. Nous attendions la venue de Christelle et Romain avec leur fils Raphaël, né en février dernier. Ils sont arrivés comme prévu, pour le goûter. Quand ils ont sonné, nous étions dans un semi-coma, prêts à partir le sommeil profond paradoxal.
Les enfants ont joué comme ils pouvaient. Raphaël a déballé tous les jouets de Vincent, un par un. Vincent, quant à lui, bougeait un peu partout, ne se souciant pas de la présence de cet autre bébé sur son aire de jeu, s’asseyant une ou deux fois presque sur sa tête…
Lorsqu’ils sont partis, je me suis éclipsé à mon tour laissant Sandrine s’occuper du bain et du rangement. J’avais rendez-vous pour le match de hand et j’étais déjà en retard.
Nous avons enfin gagné. Stéphane et Elodie sont venus voir le match. Stéphane a bien gueulé. On entendait que lui dans ce gymnase où les supporters se comptent sur les doigts des mains.
Plusieurs fois, mes coéquipiers m’ont demandé qui était cet énergumène. J’expliquais et ils me répondaient que c’était vraiment cool qu’il soit là.
A la fin du match, dans les vestiaires, l’ambiance était bonne. Les mecs me parlaient, rigolaient avec moi. Je ne sais pas si ça a un rapport (je pense que oui…) mais la présence de Stéphane dans les tribunes m’a rendu plus populaire. Comme avant en fait, comme quand on jouait ensemble. Les mecs avec qui je m’entendais bien s’entendaient surtout avec Stéphane et comme j’étais son super pote, je ne pouvais être que sympa.
Stéphane et Elodie sont venus à la maison. Nous avons essayé de jouer à la WII. Ils veulent s’en acheter une pour Noël et voulaient tenter un nouveau jeu, le tennis, acheté récemment. Malheureusement, les piles des deux manettes étaient totalement HS. Nous avons dû en trouver dans les différents autres produits électroniques de la maison.
Les filles ont commencé puis se sont enfermées dans la cuisine pour discuter de tout et de rien, nous laissant les manettes presque vides car les piles à l’intérieur n’étaient pas de première jeunesse.
Nous avons quand même pu en trouver ailleurs et nous n’avons lâché le jeu, épuisés par nos efforts que vers 2 h du matin, alors que Stéphane avait annoncé la couleur dès le début de la soirée, « On ne rentre pas trop tard, ok ? »
Dimanche
Nous sommes passés chercher ma mère et nous avons fait un tour au marché ainsi qu’au vide grenier de Noisy-le-Grand. Nous avons retrouvé sur place Stéphane, Elodie, les parents d’Elodie et JF. Marinette n’était pas là, elle était aux Courses (pas à Auchan ou Carrefour, non, à Auteuil…)
Nous n’avons rien trouvé de bien intéressant. Nous avons juste rencontré Séb, deux vinyles à la main, prêt à se barrer à Tokyo.
Lorsque nous sommes arrivés prêt de la voiture, nous nous sommes rendu compte que le doudou que Vincent tenait dans sa poussette manquait à l’appel. J’ai transmis mes affaires à Sandrine et j’ai fait demi tour en courant, les yeux scrutant le caniveau, la route, la pelouse. Vincent aurait pu vivre sans ce doudou mais il semble vraiment l’apprécier plus que les autres. J’ai retracé notre parcours à l’envers, pas très longtemps heureusement, et j’ai retrouvé le doudou, assis sur le trottoir, malheureux. Je l’ai repris en poussant un léger ouf de soulagement.
Nous avons déposé ma mère et nous sommes allés chez les parents de Sandrine pour un repas. La mère de Sandrine avait, par habitude, disposé une assiette pour Cidalia. Il y avait quelque chose de touchant et de triste dans ce geste…
Pendant la sieste de Vincent, alors que le repas touchait à sa fin, Sandrine et moi nous sommes éclipsés, prétextant je ne sais quoi et nous nous sommes assoupis sur le lit, juste dix minutes le temps d’entendre Vincent nous indiquer que c’était bon, lui, il avait dormi.
Ensuite, un goûter chez Marion et Sylvain. Nous avons laissé les enfants jouer ensemble. Maxime a du mal à prêter ses jouets mais sous l’œil attentif de ses parents, elle cède quand même. Marion et Sylvain étaient inquiets pour Vincent qui avait tendance à dodeliner et vaciller trop près de la table basse aux coins carrés et pointus.
Soirée détente à la maison.
J’ai appelé Rémi pour son anniversaire et j’ai enfin pu avoir de ses nouvelles en direct. Il a traversé une période difficile avec la naissance de sa fille, période dont il semble être en train de sortir. Il ne se sentait pas capable d’évoquer cela et encore moins avec des amis qui avaient déjà eu un enfant.
Comme quoi, nous sommes vraiment tous différents devant cette aventure incroyable qu’est la naissance d’un enfant.
J’ai joué un peu au tennis et je me suis rasé.
Lundi
Sport le midi à la salle.
Des nouvelles de mon père. Pas fameuses mais des nouvelles quand même…
Sandrine s’est couchée vers 22h30, épuisée.
Le midi, j’ai joué au Squash avec O. Il s’améliore. Il m’a même pris un set.
La jeune fille qui m’avait donné les horaires de réservation m’avait indiqué 13h30. Du coup, à l’heure dite, nous étions devant le cours, faisant des signes aux deux sportifs derrière la vitre. Ils sont sortis et l’un deux m’a dit, après avoir regardé l’horloge, sur un ton très agressif, que ce n’était pas l’heure, qu’ils avaient réservé jusqu’à 13h45. Je lui ai proposé d’aller voir l’accueil et une jeune fille a bien confirmé l’horaire prévue pour l’énervé. J’ai dit que j’étais désolé et il n’a rien dit, haussant seulement les épaules, l’air de dire « Je te l’avais dit connard ! » Je lui aurais bien fait bouffer les cordages de sa raquette un par un mais nous avons préféré nous échauffer moi sur le vélo et O. sur le tapis.
J’ai retrouvé Sandrine et Vincent à la maison. Nous n’avons pas trop eu le temps de traîner. J’ai donné le bain à Vincent pendant que Sandrine préparait tout ce dont nous aurions besoin pour la soirée.
Nous avons respecté notre timing. Même si nous avons tourné et traversé plusieurs fois les mêmes rues, nous étions près de chez Adrien vers 20h. Par contre, après, pour trouver une place, les choses se sont un peu compliquées. Finalement, nous nous sommes décidés pour une place « livraison » juste en bas de chez lui.
Adrien habite au deuxième étage d’un immeuble situé dans le quartier de la butte aux cailles. Quartier qui semble assez vivant avec pas mal de bars et des jeunes qui boivent et fument dans le rue en profitant à fond de leur vendredi soir.
Avec le sac à langer en bandoulière, le lit parapluie et mon sac à dos, j’ai dit à Sandrine avant d’appeler Adrien pour qu’il nous donne le code de la porte d’entrée, que j’aurais très bien pu vivre ici. Dans une autre vie…
Nous avons monté les escaliers exigus pour nos multiples bagages et nous avons enfin pu pénétrer dans l’univers d’Adrien. Pendant que nous préparions les affaires pour la nuit de Vincent et pour son repas, nous en avons profité pour observer les lieux et admirer l’ensemble.
Très bel appartement, décoré avec goût, qui ne ressemble pas à l’appartement d’un mec célibataire qu’on peut avoir en tête tout en n’étant pas non plus un appart de filles… Sandrine n’a pas hésité à lui faire des compliments.
Vincent n’a pas bien mangé. Il laissé plus de la moitié de son biberon, ce qui est étonnant pour un gros mangeur comme lui.
Nous l’avons couché dans son lit parapluie, dans la chambre d’Adrien. Seul bémol de cette pièce, la fenêtre qui donne sur la cuisine. Du coup, pour ne pas déranger, Adrien a tenté la cuisine dans la pénombre et il ne s’est pas trop mal débrouillé. Mais Vincent n’a pas vraiment réussi à s’endormir. De la cuisine, je pouvais le voir s’agiter. Au bout d’un moment, je suis retourné le voir discrètement. Il était sur le ventre. Quand Sandrine est allée le voir, il s’est relevé pour nous montrer une belle tâche de vomi sur son matelas.
Nous l’avons donc gardé un peu avec nous. Il n’avait plus du tout l’air fatigué. Pourtant, nous avons bien dû le recoucher, il était déjà tard pour lui. Il a pleuré quelques minutes, énervé mais a cédé face au sommeil.
Nous avons bien mangé, bien rigolé et discuté de nos boulots respectifs, des gens avec qui on bossait, de nos responsables, de l’hypocrisie sociale et de mon projet de monter un truc autour de « ce que j’aurais dû dire… »
Galants, nous avons laissé le canapé à Sandrine mais c’était sans compter sur son état de fatigue très avancé.
J’ai pris quelques photos de l’appart d’Adrien.
Nous sommes rentés sans problème. Vincent et Sandrine dormaient dans la voiture.
Samedi
Sandrine a ouvert les yeux avant moi, m’a réveillé en me montrant l’heure : 9h. Vincent se réveille au plus tard à 7h30, même le week-end. Nous nous sommes donc précipités dans sa chambre pour le découvrir dans son lit, souriant et jouant avec son doudou. Je ne sais pas depuis combien de temps il était réveillé mais s’il ne disait rien c’est que tout allait bien. La veille, je lui avais demandé de nous laisser faire une grasse matinée. Je disais ça pour rire, persuadé que ça n’arriverait jamais et en réalité, il m’a écouté. Il est formidable cet enfant.
Nous avons passé la matinée aux Arcades et notamment à la boutique Bouygues Télécom. Sandrine venait récupérer son portable en réparation depuis trois semaines à cause d’une bouteille d’eau malencontreusement renversée sur les microcomposants. Elle venait surtout entendre le vendeur qu’il n’était pas réparable.
Du coup, je lui ai filé le mien et avec mes points, j’ai choisi un nouveau portable.
Nous sommes passés à la FNAC. C’est toujours un plaisir de retrouver mes anciennes collègues, surtout E. toujours aussi aigrie, révoltée, anti-chef mais toujours à son poste.
Dans l’après-midi, Vincent a fait une grosse sieste. Nous attendions la venue de Christelle et Romain avec leur fils Raphaël, né en février dernier. Ils sont arrivés comme prévu, pour le goûter. Quand ils ont sonné, nous étions dans un semi-coma, prêts à partir le sommeil profond paradoxal.
Les enfants ont joué comme ils pouvaient. Raphaël a déballé tous les jouets de Vincent, un par un. Vincent, quant à lui, bougeait un peu partout, ne se souciant pas de la présence de cet autre bébé sur son aire de jeu, s’asseyant une ou deux fois presque sur sa tête…
Lorsqu’ils sont partis, je me suis éclipsé à mon tour laissant Sandrine s’occuper du bain et du rangement. J’avais rendez-vous pour le match de hand et j’étais déjà en retard.
Nous avons enfin gagné. Stéphane et Elodie sont venus voir le match. Stéphane a bien gueulé. On entendait que lui dans ce gymnase où les supporters se comptent sur les doigts des mains.
Plusieurs fois, mes coéquipiers m’ont demandé qui était cet énergumène. J’expliquais et ils me répondaient que c’était vraiment cool qu’il soit là.
A la fin du match, dans les vestiaires, l’ambiance était bonne. Les mecs me parlaient, rigolaient avec moi. Je ne sais pas si ça a un rapport (je pense que oui…) mais la présence de Stéphane dans les tribunes m’a rendu plus populaire. Comme avant en fait, comme quand on jouait ensemble. Les mecs avec qui je m’entendais bien s’entendaient surtout avec Stéphane et comme j’étais son super pote, je ne pouvais être que sympa.
Stéphane et Elodie sont venus à la maison. Nous avons essayé de jouer à la WII. Ils veulent s’en acheter une pour Noël et voulaient tenter un nouveau jeu, le tennis, acheté récemment. Malheureusement, les piles des deux manettes étaient totalement HS. Nous avons dû en trouver dans les différents autres produits électroniques de la maison.
Les filles ont commencé puis se sont enfermées dans la cuisine pour discuter de tout et de rien, nous laissant les manettes presque vides car les piles à l’intérieur n’étaient pas de première jeunesse.
Nous avons quand même pu en trouver ailleurs et nous n’avons lâché le jeu, épuisés par nos efforts que vers 2 h du matin, alors que Stéphane avait annoncé la couleur dès le début de la soirée, « On ne rentre pas trop tard, ok ? »
Dimanche
Nous sommes passés chercher ma mère et nous avons fait un tour au marché ainsi qu’au vide grenier de Noisy-le-Grand. Nous avons retrouvé sur place Stéphane, Elodie, les parents d’Elodie et JF. Marinette n’était pas là, elle était aux Courses (pas à Auchan ou Carrefour, non, à Auteuil…)
Nous n’avons rien trouvé de bien intéressant. Nous avons juste rencontré Séb, deux vinyles à la main, prêt à se barrer à Tokyo.
Lorsque nous sommes arrivés prêt de la voiture, nous nous sommes rendu compte que le doudou que Vincent tenait dans sa poussette manquait à l’appel. J’ai transmis mes affaires à Sandrine et j’ai fait demi tour en courant, les yeux scrutant le caniveau, la route, la pelouse. Vincent aurait pu vivre sans ce doudou mais il semble vraiment l’apprécier plus que les autres. J’ai retracé notre parcours à l’envers, pas très longtemps heureusement, et j’ai retrouvé le doudou, assis sur le trottoir, malheureux. Je l’ai repris en poussant un léger ouf de soulagement.
Nous avons déposé ma mère et nous sommes allés chez les parents de Sandrine pour un repas. La mère de Sandrine avait, par habitude, disposé une assiette pour Cidalia. Il y avait quelque chose de touchant et de triste dans ce geste…
Pendant la sieste de Vincent, alors que le repas touchait à sa fin, Sandrine et moi nous sommes éclipsés, prétextant je ne sais quoi et nous nous sommes assoupis sur le lit, juste dix minutes le temps d’entendre Vincent nous indiquer que c’était bon, lui, il avait dormi.
Ensuite, un goûter chez Marion et Sylvain. Nous avons laissé les enfants jouer ensemble. Maxime a du mal à prêter ses jouets mais sous l’œil attentif de ses parents, elle cède quand même. Marion et Sylvain étaient inquiets pour Vincent qui avait tendance à dodeliner et vaciller trop près de la table basse aux coins carrés et pointus.
Soirée détente à la maison.
J’ai appelé Rémi pour son anniversaire et j’ai enfin pu avoir de ses nouvelles en direct. Il a traversé une période difficile avec la naissance de sa fille, période dont il semble être en train de sortir. Il ne se sentait pas capable d’évoquer cela et encore moins avec des amis qui avaient déjà eu un enfant.
Comme quoi, nous sommes vraiment tous différents devant cette aventure incroyable qu’est la naissance d’un enfant.
J’ai joué un peu au tennis et je me suis rasé.
Lundi
Sport le midi à la salle.
Des nouvelles de mon père. Pas fameuses mais des nouvelles quand même…
Sandrine s’est couchée vers 22h30, épuisée.
2 Comments:
Comme toujours une vie bien remplie: beaucoup d'évènements sociaux et un gamin qu'on voit grandire!
Question con: et Sandrine n'a pas de hobby? tu fais du sport en salle, du hand, du squatch et elle? je sais je suis la chieuse en quête d'équité...
Bisous à tous les 3
Tu plaisantes !!! Sandrine a pleins de hobbies qui permettent à son homme de profiter des siens !!
Elle reste à la maison avec son fils et quand il dort elle s'attaque à ses autres loisirs .... et fait les lessives, le repassage, le ménage...etc...etc...
Sandrine
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