Du temps pour écrire, du temps pour vivre
Mardi
Le midi, j’ai déjeuné avec Alexandra, dans un restaurant de la Rue Bréa, à peu près à mi-distance entre Albin et Belin. J’ai beaucoup parcouru la rue Vavin que je travaillais chez Albin. Je la descendais pour rejoindre le jardin du Luxembourg après avoir pris un sandwich dans la boulangerie bondée. Je l’ai cette fois remontée, me rappelant avec un certain plaisir cette période pas si lointaine.
Nous avons discuté de ses vacances, de ses projets. Je lui ai parlé de mon besoin, toujours inassouvi, d’accomplir quelque chose, de produire enfin le texte qui me remue au fond de moi. Elle m’a donné des conseils que je ne pourrais suivre que si j’avais un minimum de courage et que j’étais prêt à des sacrifices, ce qui n’est pas mon cas aujourd’hui.
Ce que Sandrine m’avait déjà dit : « si vraiment c’était important pour toi, tu trouverais du temps ».
Le soir, j’ai récupéré Vincent chez Abassia. En entrant dans son salon, Vincent a tourné la tête vers moi. Il m’a reconnu et a tout de suite fait son grand sourire (ce que Sandrine et moi nous appelons, « sa tête de chinois ») puis il s’est jeté sur ses mains et est venu jusqu’à moi pour que je le prenne dans mes bras… Mon petit cœur de papa a tremblé… Comme dirait le poète, Pascal O. : « C’est ça, être père »
Je l’ai installé dans l’écharpe et nous sommes rentrés sous quelques gouttes de pluie.
De retour à la maison, j’ai couché Vincent jusqu’au retour de Sandrine. Je l’ai laissé lui donner le bain mais je la regardais avec un œil expert comme si j’étais l’unique spécialiste de la maison.
Entraînement : certains mecs commencent à donner leurs avis sur les matchs, les entraînements et même les joueurs. J’ai cru entendre une petite réflexion qui m’était destiné mais je n’ai pas relevé. Je ne veux pas me prendre la tête cette année. Je fais mes entraînements, mes matchs et puis c’est bon…
Le midi, j’ai déjeuné avec Alexandra, dans un restaurant de la Rue Bréa, à peu près à mi-distance entre Albin et Belin. J’ai beaucoup parcouru la rue Vavin que je travaillais chez Albin. Je la descendais pour rejoindre le jardin du Luxembourg après avoir pris un sandwich dans la boulangerie bondée. Je l’ai cette fois remontée, me rappelant avec un certain plaisir cette période pas si lointaine.
Nous avons discuté de ses vacances, de ses projets. Je lui ai parlé de mon besoin, toujours inassouvi, d’accomplir quelque chose, de produire enfin le texte qui me remue au fond de moi. Elle m’a donné des conseils que je ne pourrais suivre que si j’avais un minimum de courage et que j’étais prêt à des sacrifices, ce qui n’est pas mon cas aujourd’hui.
Ce que Sandrine m’avait déjà dit : « si vraiment c’était important pour toi, tu trouverais du temps ».
Le soir, j’ai récupéré Vincent chez Abassia. En entrant dans son salon, Vincent a tourné la tête vers moi. Il m’a reconnu et a tout de suite fait son grand sourire (ce que Sandrine et moi nous appelons, « sa tête de chinois ») puis il s’est jeté sur ses mains et est venu jusqu’à moi pour que je le prenne dans mes bras… Mon petit cœur de papa a tremblé… Comme dirait le poète, Pascal O. : « C’est ça, être père »
Je l’ai installé dans l’écharpe et nous sommes rentrés sous quelques gouttes de pluie.
De retour à la maison, j’ai couché Vincent jusqu’au retour de Sandrine. Je l’ai laissé lui donner le bain mais je la regardais avec un œil expert comme si j’étais l’unique spécialiste de la maison.
Entraînement : certains mecs commencent à donner leurs avis sur les matchs, les entraînements et même les joueurs. J’ai cru entendre une petite réflexion qui m’était destiné mais je n’ai pas relevé. Je ne veux pas me prendre la tête cette année. Je fais mes entraînements, mes matchs et puis c’est bon…
Soirée Confessions intimes. Ca m'avait manqué !
Coup de fil aussi de ma collège Dal, poursuivie par des mecs pourris...
Mercredi
Le midi, cours de Body Sculpt avec Sophie. J’ai moins souffert et il y avait un autre mec pour m’accompagner.
1 Comments:
L'écriture est comme bcp de choses dans la vie... c'est une question de réel désir et de timing...
Gros becs à la petite famille
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