Des passages du livre de Foer que j'avais notés quelque part...
"elle dit,'je ne sais pas écrire', je lui dis qu'il n'y a rien à savoir, qu'il suffit de laisser venir ce qui vient" page 157
"peut-être de grands livres attendaient-ils en lui, enroulés sur eux-mêmes comme des ressorts, des livres qui eussent séparé le dedans du dehors" page 164
"Je me demandais, pour la première fois de ma vie, si la vie valait tout ce travail que c'est de vivre. Qu'y avait-il exactement qui en valait la peine ? Qu'y avait-il de si horrible à être mort pour toujours et à ne rien sentir, à ne même pas rêver ? Qu'y a-t-il de si formidable à sentir et à rêver ?" page 186
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