Un peu plus avant le grand jour
Vendredi
Nous avons laissé Vincent à ma mère le temps d’aller faire quelques courses supplémentaires pour le baptême. Ma mère venait de récupérer les clés de la salle.
En partant Sandrine me demande s’il fait suffisamment beau pour qu’elle mette ses tongs. Je réponds que oui, bien sûr et je me change pour enfiler mon pantacourt et mes tongs. A peine installés dans la voiture, les premières gouttes se mettent à tomber. Sandrine me jette un regard en coin.
Arrivés à Chelles, nous nous garons sur le parking des Halles d’Auchan et là, c’est carrément l’averse. Nous hésitons à sortir mais le planning est plutôt serré alors il faut se décider. Nous courrons jusqu’à Trio fruits, sorte de magasin discount à l’intérieur duquel il fait à peu près – 20°C. Nous sommes trempés.
Après être passés à la caisse, nous devons rejoindre la voiture pour ranger nos courses mais l’averse est toujours là. Nous sortons quand même. Sandrine court au sein des Halles et moi je fais un arrêt pour ranger les courses et prendre un caddie. Juste avant de rentrer, je marche dans une grande flaque d’eau. Je rejoints Sandrine dans le magasin pratiquement au moment où elle perd sa tong en manquant de glisser sur le carrelage.
Bref, ça partait bien.
Nous rentrons à toute vitesse. Vincent est là où nous l’avions laissé, sur son tapis de jeu, en grande forme. Le bain, le biberon, le dodo. Ma mère est restée avec nous pour manger.
Samedi
Nous avions donné rendez-vous à ma mère et Stéphane pour 9h. Stéphane était à l’heure, ma mère un peu moins (elle dit ne pas avoir reçu d’horaires de la part de Sandrine, ce qui est assez étonnant mais bon… le bénéfice du doute). Finalement, elle nous a retrouvés chez les parents de Sandrine. Nous avons rempli les deux voitures puis nous sommes allés à la salle. Dans les hauteurs de Gagny utilisée par le club du 3ème âge avec une déco vieillotte mais correcte… Nous avons bougé les tables, installé, désinstallé. Nous avons envoyé Stéphane acheté des rouleaux de nappes en papier puis nous avons continué la décoration.
Ma mère a à nouveau mangé avec nous puis Sandrine et elle sont allées rejoindre Ana pour faire des salades.
Moi, je suis resté avec Vincent. Il a dormi. J’ai fait un peu de ménage, du repassage et glandé (quand même un peu…) Au réveil de Vincent, nous sommes allés les rejoindre. Après le goûter, j’ai amené Vincent essayer des nouvelles chaussures à la Halle aux chaussures. Celles que nous avions achetées deux semaines plus tôt ne lui allaient finalement pas, malgré une séance de torture pour les lui enfoncer de force, séance qu’il a moyennement appréciée…
Avec les parents de Sandrine, nous avons refait un tour à la salle puis j’ai déposé Sandrine et Vincent et je suis allé à mon rendez-vous pour le premier match de la saison. Match perdu : 38 – 32. J’ai joué à l’aile la première mi-temps et j’ai marqué des buts ; puis en arrière la seconde mi-temps et j’ai tout raté. A la fin, un coéquipier m’a demandé pourquoi l’entraîneur m’avait fait jouer arrière alors que ce n’était manifestement pas mon poste… Je n’ai pas répondu que c’était pourtant mon poste toutes les années précédentes.
Je suis rentré et j’ai passé la soirée avec mon épouse fatiguée par sa journée.
Nous avons laissé Vincent à ma mère le temps d’aller faire quelques courses supplémentaires pour le baptême. Ma mère venait de récupérer les clés de la salle.
En partant Sandrine me demande s’il fait suffisamment beau pour qu’elle mette ses tongs. Je réponds que oui, bien sûr et je me change pour enfiler mon pantacourt et mes tongs. A peine installés dans la voiture, les premières gouttes se mettent à tomber. Sandrine me jette un regard en coin.
Arrivés à Chelles, nous nous garons sur le parking des Halles d’Auchan et là, c’est carrément l’averse. Nous hésitons à sortir mais le planning est plutôt serré alors il faut se décider. Nous courrons jusqu’à Trio fruits, sorte de magasin discount à l’intérieur duquel il fait à peu près – 20°C. Nous sommes trempés.
Après être passés à la caisse, nous devons rejoindre la voiture pour ranger nos courses mais l’averse est toujours là. Nous sortons quand même. Sandrine court au sein des Halles et moi je fais un arrêt pour ranger les courses et prendre un caddie. Juste avant de rentrer, je marche dans une grande flaque d’eau. Je rejoints Sandrine dans le magasin pratiquement au moment où elle perd sa tong en manquant de glisser sur le carrelage.
Bref, ça partait bien.
Nous rentrons à toute vitesse. Vincent est là où nous l’avions laissé, sur son tapis de jeu, en grande forme. Le bain, le biberon, le dodo. Ma mère est restée avec nous pour manger.
Samedi
Nous avions donné rendez-vous à ma mère et Stéphane pour 9h. Stéphane était à l’heure, ma mère un peu moins (elle dit ne pas avoir reçu d’horaires de la part de Sandrine, ce qui est assez étonnant mais bon… le bénéfice du doute). Finalement, elle nous a retrouvés chez les parents de Sandrine. Nous avons rempli les deux voitures puis nous sommes allés à la salle. Dans les hauteurs de Gagny utilisée par le club du 3ème âge avec une déco vieillotte mais correcte… Nous avons bougé les tables, installé, désinstallé. Nous avons envoyé Stéphane acheté des rouleaux de nappes en papier puis nous avons continué la décoration.
Ma mère a à nouveau mangé avec nous puis Sandrine et elle sont allées rejoindre Ana pour faire des salades.
Moi, je suis resté avec Vincent. Il a dormi. J’ai fait un peu de ménage, du repassage et glandé (quand même un peu…) Au réveil de Vincent, nous sommes allés les rejoindre. Après le goûter, j’ai amené Vincent essayer des nouvelles chaussures à la Halle aux chaussures. Celles que nous avions achetées deux semaines plus tôt ne lui allaient finalement pas, malgré une séance de torture pour les lui enfoncer de force, séance qu’il a moyennement appréciée…
Avec les parents de Sandrine, nous avons refait un tour à la salle puis j’ai déposé Sandrine et Vincent et je suis allé à mon rendez-vous pour le premier match de la saison. Match perdu : 38 – 32. J’ai joué à l’aile la première mi-temps et j’ai marqué des buts ; puis en arrière la seconde mi-temps et j’ai tout raté. A la fin, un coéquipier m’a demandé pourquoi l’entraîneur m’avait fait jouer arrière alors que ce n’était manifestement pas mon poste… Je n’ai pas répondu que c’était pourtant mon poste toutes les années précédentes.
Je suis rentré et j’ai passé la soirée avec mon épouse fatiguée par sa journée.
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