Les choses simples

9.11.07

Manque de sommeil

Mercredi

Laetitia, Sandrine et Alexia m’attendaient dans le parking à ma sortie du RER. Elles m’ont déposé chez l’orthoptiste et m’ont attendu dans la voiture.
Laetitia nous a ensuite conduit jusqu’à chez nous. Court moment de détente avant de reprendre la voiture et de passer chercher Fanny.
Dîner chez les Pinto. Alexia n’avait pas très envie de dormir, voulait rester avec nous, et a utilisé le seul stratagème qu’elle connaît : pleurer et crier. Nous avons bien mangé et bien discuté. Nous avons tous décidé qu’il fallait qu’on fasse des efforts vestimentaires pour avoir plus classe, des petits détails, juste pour ne pas se laisser aller… Plus facile à dire qu’à faire.
Nous avons ramené Fanny et je me suis couché vers 2 heures du matin.

Jeudi

Dur de se réveiller mais j’assume.
Le soir, j’ai retrouvé Sandrine chez Marion. Maxime était malade mais à la voir comme ça, souriante et calme, c’était difficile de le croire.
A notre retour à la maison, Stéphane m’attendait déjà dans sa voiture. Il est passé quelques instants pour discuter avec nous puis nous sommes allés au Hand. J’ai encore bien joué, comme si j’avais découvert la simplicité de ce sport… Un mec qui voulait fêter le décrochage d’un nouveau boulot avait ramené des bières et un saucisson. Comme je n’ai pas bu, je me suis chargé de la découpe et du coup, je n’ai pu avoir qu’un ou deux morceaux.
Stéphane m’a ramené. Sandrine dormait en chien de fusil sur le canapé. Elle avait laissé sa vaisselle en plan dans la cuisine, n’avait pas eu le temps de préparer à manger comme elle l’avait dit avant que je parte mais je m’en foutais… Son état lui donne des excuses pour beaucoup de choses. J’ai passé un peu de temps avec elle pour la border mais du coup, à force de parler, elle a fini par sortir de son brouillard. Elle s’est levée et a passé du temps avec moi, ce qui m’a permis de gagner du temps.
Plus tard, elle s’est à nouveau couchée, plus crevée que quelques minutes avant et j’ai fait deux trois trucs sur l’ordinateur pour me foutre au lit encore à 2 heures du matin, persuadé que c’était une grosse connerie et que j’allais payer le prix fort au réveil le lendemain.

Vendredi

En effet, ce matin, grosse difficulté pour sortir du lit et je crois bien que je vais passer la journée, la tête dans le gaz. Mais c’est vendredi et c’est toujours un peu moins grave d’être crevé ce jour-là.

1 Comments:

Blogger Nicolas said...

J'adore quand tu dis que tu bordes ta femme ; je t'imagine en train de lui raconter une petite histoire avec une petite veilleuse allumée dans un coin. Trop mignon.

09 novembre, 2007  

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