Les choses simples

4.2.10

Les infos

Week-end

Samedi

Je devais aller bosser chez Micaël le matin mais la veille Laetitia avait téléphoné pour prévenir que le chantier était annulé. Le mec qui devait faire la chape ne pouvait pas venir.
Au réveil, quand j’ai vu la neige, je l’ai un peu remercié ce mec…

Samedi matin, j’ai déposé Sandrine au Super U et je me suis éclipsé quelques instants à la bibliothèque. J’ai fait une petite razzia de BD et, bizarrement et sans m’en rendre compte, il n’y avait que des ouvrages de chez Delcourt.
J’ai retrouvé ma petite famille en caisse et nous sommes allés manger chez les parents de Sandrine. Manuel n’était pas là, il posait du parquet chez Elisa, la cousine de Sandrine, en train de terminer doucement mais sûrement les travaux de sa maison.
J’ai mangé avec les filles pendant que Vincent jouait plus ou moins tranquillement.

Nous sommes rentrés pour coucher notre fils et nous aussi. Pas trop longtemps car Marie et Anthony devaient nous déposer leurs filles vers 16h pour une séance de cinéma à Noisy vers 17h. Ils sont arrivés un peu en retard et le transfert a été rapide.
Nous nous sommes retrouvés avec deux enfants en plus, une qui a pu jouer avec Vincent et un bébé avec qui nous ne savions plus quoi faire. C’est fou comme ça s’oublie vite. Et puis, finalement, Sandrine a su redonner un biberon. J’ai su à nouveau porter un bébé et jouer avec.
Dans l’ensemble, nous nous sommes plutôt pas mal débrouillés.
Au retour des parents, Jade était lavée et dans un pyjama trop grand de Vincent. Elana était en pyjama mais n’avait pas dormi. Et nous, un peu plus fatigués que d’habitude.
Anthony et moi, nous sommes allés au Quick. Les filles nous avaient toutes deux commandés des glaces et bien sûr, nous n’avons exceptionnellement pas vérifié les sacs (alors qu’il faut toujours le faire !), nous parlions tellement, pris dans notre discussion que nous n’avons pas pu voir que la jeune fille avait oublié nos glaces.
Les filles n’étaient pas très contentes et nous n’étions pas fiers. Heureusement, Sandrine avait fait un gâteau au chocolat avec les enfants.
Nous avons profité de cette soirée pour regarder 2012.

En partant, j’ai dit à Anthony que ça suffisait maintenant. Nous venions de nous voir trois week-ends de suite.

Dimanche

Je ne suis pas allé au badminton. La semaine avait été difficile et je n’avais pas passé beaucoup de temps avec ma femme et mon fils.

Vers 11h, Cindy, Nicolas, Emma et Nolan sont passés nous voir.

Le midi, nous avons mangé chez ma mère puis après la sieste, nous sommes allés chez Stéphane pour regarder la finale des championnats d’Europe de handball.

Vincent n’était pas très intéressé par le match malgré ses « Allez les bleus ! Allez la Fronce » (il faut bien lire « Fronce »). Du coup, il bougeait partout, voulait jouer, sollicitait Sandrine ou moi. Une moto et un bonhomme ne suffisait pas. Sandrine l’a donc occupé un peu pendant que nous vivions nos émotions de joueur ou d’ancien joueur devant cette victoire historique.

Badminton

Lundi soir pour jouer toujours avec et contre les mêmes personnes, alors qu’on m’a vivement conseillé de me confronter à d’autres adversaires, pour progresser. Je n’arrive pas à m’intégrer auprès des gens plus forts. Je ne me vois pas arriver près d’eux et leur dire, bon, vous êtes hyperforts et j’aimerai jouer contre vous pour m’améliorer. Qu’ont-ils à y gagner, eux ?

Mardi, compétition à Aubervilliers. Victoire 6-0. Gymnase glauque au cœur des cités, un soir de semaine. J’ai gagné mon simple contre un jeune qui faisait son premier match : 21-8, 21-9. A la fin du premier set, mes coéquipiers sont venus me voir pour me dire que c’était bien mais ensuite, ils ont passé cinq minutes à démonter mon jeu, mes défauts, mes faiblesses… C’était déstabilisant. En réalité, ils essayaient de me faire comprendre que contre lui, jouer comme ça n’avait pas de conséquence mais contre un mec plus fort, c’était des difficultés assurées.

Pendant que les autres finissaient leur match, j’ai joué contre un mec de mon équipe, un vieux qui bouge pas mal et se jette sur tous les volants. Puis contre mon adversaire de départ qui voulait sa revanche. Avant de commencer, je lui ai précisé que ce match n’annulait pas le match officiel. Ce fut un peu plus accroché mais j’ai profité de cette aubaine pour suivre les conseils de mes coéquipiers et travailler un peu.

Squash

J'ai enfin rejoué contre mon collègue, en meilleure forme, et ça n'a pas loupé, il m'a battu... Il réussissait tout, je n'arrivais à rien. Génial. Vengeance la semaine prochaine.
Après trois jours de sport, j'ai quelques courbatures aux jambes mais je me sens bien.

Mercredi

Notre soirée du mardi a été repoussée à mercredi, à cause de ma compétition. Du coup, les Pinto sont venus sans leurs filles, gardées par les grands-parents. Ce qui a rendu Vincent boudeur. Quand il a vu qu'Alexia n'était pas là, il a fait une moue toute triste. Ah l'amour !
Sandrine avait fait des crêpes et du pop-corn. Petite soirée sucrée avec du Nutella, de la confiture, des bonbons, du cidre... ça changeait des pizzas... 

Directeur

Aujourd’hui, j’ai eu un entretien avec mon nouveau directeur. Bonne approche, il met à l’aise, il connaît son métier, il a de bonnes idées et me voit faire autre chose. A suivre.

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

C'est bon des nouvelles de vous !!!

Nico

04 février, 2010  

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