Les jours passent trop vite
Je n’ai pas encore eu le temps d’en parler ici mais samedi dernier, il y a eu une nouvelle soirée Tennis à la maison avec mes deux challengers, Stéphane et Elodie.
Stéphane m’a atomisé sur le premier set puis je l’ai battu sur les deux suivants. J’ai ensuite battu Elodie sur deux sets, jusqu’au bout de la nuit, épuisant Sandrine qui n’en revenait pas de regarder deux personnes faire des gestes étranges dans le salon et une télé avec un jeu vidéo de tennis, et qui a fini par s’endormir avant même la fin…
Baptême d’Andréa
Les parents de Sandrine sont arrivés vers 12h. Nous avons donné à manger à Vincent puis nous sommes tous allés à l’église du Raincy, dans la BMW. Nous étions en retard dans cette église où Alexia avait déjà été baptisée. Il faisait beau à l’époque. Cette fois-ci, début mars, il pleuvait.
Je me suis dépêché de prendre mon appareil pour me positionner et « shooté » comme disent les professionnels de la profession. Elisa m’avait demandé de prendre des photos.
Bon, la messe en portugais, j’ai connu des choses plus fun mais l’important, c’était surtout que la petite soit rentrée dans la maison de Dieu.
Après, nous avons essayé de les suivre pour nous rendre à la salle, à Mary-sur-Marne mais comme d’habitude, quand je veux suivre quelqu’un, je le perds. Ils nous avaient donné un plan et le père de Sandrine connaissait donc nous avons trouvé mais nous sommes arrivés sur place les derniers.
Manuel a pu voir ce que la voiture faisait de temps en temps, c’est-à-dire s’éteindre à moitié et se mettre en roue libre. Sandrine en a profité pour lui dire que ça serait bien qu’on récupère notre ZX le temps de faire quelques réparations d’usage sur la BM.
A partir de Meaux, j’ai commencé à bien me souvenir du chemin. Ce qui était drôle, c’est que le père de Sandrine aussi, se souvenait bien de ce chemin mais pas pour les mêmes raisons. En effet, pendant 10 ans, il faisait tous les jours la route jusqu’à un village près de Mary pour décharger son camion.
De mon côté, mon père nous a très souvent emmené dans ce qu’il appelait les « bois de Meaux » qui sont en réalité des bois proches de Trilport, Germiny-l’Evêque. Bois dans lesquels nous faisions, mes frères et moi, le parcours de Santé, montant sur des rondins, faisant le cochon pendu, des tractions. Je me souviens même d’une fois, quand je pratiquais l’athlé en club ou à l’école, ou les deux, mon père avait installé un élastique entre deux arbres pour nous faire un concours de saut en hauteur, en ciseau… Je me souviens aussi d’une voie ferrée où nous imaginions tous cette scène mémorable de l’esquive de train dans Stand by me (encore !).
Pendant que Manuel me racontait ses anecdotes au sujet des allers-retours qu’il avait effectués pendant dix ans, ma mémoire se perdait elle dans d’autres souvenirs de ce bois, d’une époque révolue où mes frères et moi étions encore innocents, libres, insouciants.
Le château Marysien se situe en bord de Marne, dans un cadre très agréable. A l’intérieur, c’est joli mais un peu vieillot (voir, les photos).
Stéphane m’a atomisé sur le premier set puis je l’ai battu sur les deux suivants. J’ai ensuite battu Elodie sur deux sets, jusqu’au bout de la nuit, épuisant Sandrine qui n’en revenait pas de regarder deux personnes faire des gestes étranges dans le salon et une télé avec un jeu vidéo de tennis, et qui a fini par s’endormir avant même la fin…
Baptême d’Andréa
Les parents de Sandrine sont arrivés vers 12h. Nous avons donné à manger à Vincent puis nous sommes tous allés à l’église du Raincy, dans la BMW. Nous étions en retard dans cette église où Alexia avait déjà été baptisée. Il faisait beau à l’époque. Cette fois-ci, début mars, il pleuvait.
Je me suis dépêché de prendre mon appareil pour me positionner et « shooté » comme disent les professionnels de la profession. Elisa m’avait demandé de prendre des photos.
Bon, la messe en portugais, j’ai connu des choses plus fun mais l’important, c’était surtout que la petite soit rentrée dans la maison de Dieu.
Après, nous avons essayé de les suivre pour nous rendre à la salle, à Mary-sur-Marne mais comme d’habitude, quand je veux suivre quelqu’un, je le perds. Ils nous avaient donné un plan et le père de Sandrine connaissait donc nous avons trouvé mais nous sommes arrivés sur place les derniers.
Manuel a pu voir ce que la voiture faisait de temps en temps, c’est-à-dire s’éteindre à moitié et se mettre en roue libre. Sandrine en a profité pour lui dire que ça serait bien qu’on récupère notre ZX le temps de faire quelques réparations d’usage sur la BM.
A partir de Meaux, j’ai commencé à bien me souvenir du chemin. Ce qui était drôle, c’est que le père de Sandrine aussi, se souvenait bien de ce chemin mais pas pour les mêmes raisons. En effet, pendant 10 ans, il faisait tous les jours la route jusqu’à un village près de Mary pour décharger son camion.
De mon côté, mon père nous a très souvent emmené dans ce qu’il appelait les « bois de Meaux » qui sont en réalité des bois proches de Trilport, Germiny-l’Evêque. Bois dans lesquels nous faisions, mes frères et moi, le parcours de Santé, montant sur des rondins, faisant le cochon pendu, des tractions. Je me souviens même d’une fois, quand je pratiquais l’athlé en club ou à l’école, ou les deux, mon père avait installé un élastique entre deux arbres pour nous faire un concours de saut en hauteur, en ciseau… Je me souviens aussi d’une voie ferrée où nous imaginions tous cette scène mémorable de l’esquive de train dans Stand by me (encore !).
Pendant que Manuel me racontait ses anecdotes au sujet des allers-retours qu’il avait effectués pendant dix ans, ma mémoire se perdait elle dans d’autres souvenirs de ce bois, d’une époque révolue où mes frères et moi étions encore innocents, libres, insouciants.
Le château Marysien se situe en bord de Marne, dans un cadre très agréable. A l’intérieur, c’est joli mais un peu vieillot (voir, les photos).
Mon père s’est marié là en 1981 ; Jennifer, la sœur de ma sœur, s’est aussi mariée là-bas l’année dernière. Deux fêtes auxquelles je n’ai pas assistées mais qui révèlent bien que le monde est petit.
J’en ai profité pour prendre plein de photos.
Vincent n’a pas dormi dans la journée. Nous aurions pu le mettre à l’étage dans une des chambres abandonnées comme Ana nous le conseillait mais ça nous disait trop rien de laisser notre petit garçon loin de nous, dans un endroit avec du passage (c’était le chemin pour aller au WC), avec des gens qu’on ne connaissait pas dans le château. Le pauvre était fatigué mais passé son coup de barre, il avait encore la pêche pour jouer dans les couloirs avec la poussette d’Andréa…
J’ai essayé d’imaginer le mariage de mon père ici, les projets d’avenir, la jeunesse, mes petits frères à peine envisagés, ma sœur encore moins, cette journée qui était sûrement remplie d’espoir et qui a abouti à une autre journée où mon père a quitté la foyer, avec ses affaires dans sa voiture, et Michaël à la fenêtre qui le regardait partir.
Ce jour-là, pour le baptême, j’étais à la fois heureux et triste, je crois que mes photos s’en ressentent.
Nous sommes partis les premiers. A peine attaché dans la voiture, Vincent s’endormait en une seconde.
Lundi
En allant nous chercher à manger, j’étais avec Thomas et Valérie, sur le trottoir de la rue Vaugirard. Devant nous, un homme marche à notre rencontre. Le trottoir est étroit et il semble évident que nous allons devoir nous écarter. Ce que nous faisons pour le laisser passer.
Je l’ai tout de suite reconnu. Le cheveu rare et grisonnant, grand, avec ses lunettes à monture marron, la démarche débonnaire, un sac blanc pendant au bout du bras. Patrick Modiano.
Aucun de mes collègues ne réagit. Je leur dis avec enthousiasme : « Hey, mais c’était Patrick Modiano ! » Ils me regardent tous les deux en plissant les yeux : « Oui, et c’est qui ce mec ? » Je reste muet. Je n’avais pas envisagé qu’un homme aussi important pour moi, écrivain génial de romans aux apparences simples mais souvent très forts et, pour mon cas personnel, très remuants, puisse n’être qu’un vulgaire inconnu, qu’un passant de la rue.
J’ai essayé de leur expliquer qui était cet homme, ce qu’il avait écrit, citant plusieurs titres importants. Mais rien, aucune réaction. Ce sont pourtant des lecteurs, surtout Valérie en fait…
En même temps, on peut très bien lire toute la littérature d’un auteur sans jamais connaître son visage, ni sa démarche, ni sa taille, ni les montures de ses lunettes.En rentrant au bureau, j’ai raconté à Dalila qui j’avais vu. Elle a fait la même tête que les deux autres.
Le soir, même scène avec Sandrine qui a eu l’air de se souvenir du nom mais qui n’était pas sure, alors que nous avons tous ses romans dans notre bibliothèque.
Mardi
Lorsque nous avons allumé nos portables, ce mardi matin, quand j’entre dans le RER pour moi, et quand Sandrine sort de chez la nourrice, nous avons tous deux pu entendre l’annonce de la naissance de Mélina, la seconde fille de Laetitia et Micaël : 49,5 cm et 3,650 kg, sans péridurale. Accouchement à Montfermeil et transfert ensuite en SAMU, à cause du manque de place, à la clinique de Brou-sur-Chantereine. Clinique dans laquelle Micaël et son frère sont nés, Stéphane également mais surtout mes petits frères.
Mercredi
J’avais rendez-vous à 18h30 avec Olivier, mon kiné. Ca faisait longtemps que je n’avais pas eu l’occasion de me retrouver là, pour moi. Nous étions déjà revenus dans ce cabinet pour Vincent, pour ses bronches.
J’ai attendu un peu puis Olivier est venu me chercher. Ca m’a fait tout drôle de remonter ces escaliers. Je me suis retrouvé cinq ans en arrière, avec mon attelle et mes béquilles, installé ensuite sur la table, prêt à plier mon genou de quelques degrés. A l’étage, j’ai jeté un coup d’œil sur la salle dans laquelle j’avais passé presque 4 mois à suer et galérer, réapprenant à plier entièrement mon genou, à faire du vélo, à marcher, me remusclant pour revenir à une vie sportive…
Des travaux avaient été faits dans la salle, de la peinture, une seconde ouverture vers les autres salles du rez-de-chaussée.
Olivier m’a indiqué une salle du fond, quasiment son bureau désormais avec ordinateur portable et tout…
Je me suis installé sur la table. Il m’a manipulé, sans ménagement, appuyant de son pouce sur les des points anodins ou hyper douloureux. Il a fini par m’annoncer son diagnostic. Je m’étais sûrement fait quelque chose au « faisceau postérieur », c’est-à-dire le ligament qui se situe plutôt en arrière de la cheville.
Ensuite, il m’a encore bougé, vérifiant laxité de ma cheville, etc. Au bout de 20 minutes, il m’a laissé partir. J’avais plus mal qu’en entrant et je n’étais pas très optimiste pour la suite.
J’en ai profité pour prendre plein de photos.
Vincent n’a pas dormi dans la journée. Nous aurions pu le mettre à l’étage dans une des chambres abandonnées comme Ana nous le conseillait mais ça nous disait trop rien de laisser notre petit garçon loin de nous, dans un endroit avec du passage (c’était le chemin pour aller au WC), avec des gens qu’on ne connaissait pas dans le château. Le pauvre était fatigué mais passé son coup de barre, il avait encore la pêche pour jouer dans les couloirs avec la poussette d’Andréa…
J’ai essayé d’imaginer le mariage de mon père ici, les projets d’avenir, la jeunesse, mes petits frères à peine envisagés, ma sœur encore moins, cette journée qui était sûrement remplie d’espoir et qui a abouti à une autre journée où mon père a quitté la foyer, avec ses affaires dans sa voiture, et Michaël à la fenêtre qui le regardait partir.
Ce jour-là, pour le baptême, j’étais à la fois heureux et triste, je crois que mes photos s’en ressentent.
Nous sommes partis les premiers. A peine attaché dans la voiture, Vincent s’endormait en une seconde.
Lundi
En allant nous chercher à manger, j’étais avec Thomas et Valérie, sur le trottoir de la rue Vaugirard. Devant nous, un homme marche à notre rencontre. Le trottoir est étroit et il semble évident que nous allons devoir nous écarter. Ce que nous faisons pour le laisser passer.
Je l’ai tout de suite reconnu. Le cheveu rare et grisonnant, grand, avec ses lunettes à monture marron, la démarche débonnaire, un sac blanc pendant au bout du bras. Patrick Modiano.
Aucun de mes collègues ne réagit. Je leur dis avec enthousiasme : « Hey, mais c’était Patrick Modiano ! » Ils me regardent tous les deux en plissant les yeux : « Oui, et c’est qui ce mec ? » Je reste muet. Je n’avais pas envisagé qu’un homme aussi important pour moi, écrivain génial de romans aux apparences simples mais souvent très forts et, pour mon cas personnel, très remuants, puisse n’être qu’un vulgaire inconnu, qu’un passant de la rue.
J’ai essayé de leur expliquer qui était cet homme, ce qu’il avait écrit, citant plusieurs titres importants. Mais rien, aucune réaction. Ce sont pourtant des lecteurs, surtout Valérie en fait…
En même temps, on peut très bien lire toute la littérature d’un auteur sans jamais connaître son visage, ni sa démarche, ni sa taille, ni les montures de ses lunettes.En rentrant au bureau, j’ai raconté à Dalila qui j’avais vu. Elle a fait la même tête que les deux autres.
Le soir, même scène avec Sandrine qui a eu l’air de se souvenir du nom mais qui n’était pas sure, alors que nous avons tous ses romans dans notre bibliothèque.
Mardi
Lorsque nous avons allumé nos portables, ce mardi matin, quand j’entre dans le RER pour moi, et quand Sandrine sort de chez la nourrice, nous avons tous deux pu entendre l’annonce de la naissance de Mélina, la seconde fille de Laetitia et Micaël : 49,5 cm et 3,650 kg, sans péridurale. Accouchement à Montfermeil et transfert ensuite en SAMU, à cause du manque de place, à la clinique de Brou-sur-Chantereine. Clinique dans laquelle Micaël et son frère sont nés, Stéphane également mais surtout mes petits frères.
Mercredi
J’avais rendez-vous à 18h30 avec Olivier, mon kiné. Ca faisait longtemps que je n’avais pas eu l’occasion de me retrouver là, pour moi. Nous étions déjà revenus dans ce cabinet pour Vincent, pour ses bronches.
J’ai attendu un peu puis Olivier est venu me chercher. Ca m’a fait tout drôle de remonter ces escaliers. Je me suis retrouvé cinq ans en arrière, avec mon attelle et mes béquilles, installé ensuite sur la table, prêt à plier mon genou de quelques degrés. A l’étage, j’ai jeté un coup d’œil sur la salle dans laquelle j’avais passé presque 4 mois à suer et galérer, réapprenant à plier entièrement mon genou, à faire du vélo, à marcher, me remusclant pour revenir à une vie sportive…
Des travaux avaient été faits dans la salle, de la peinture, une seconde ouverture vers les autres salles du rez-de-chaussée.
Olivier m’a indiqué une salle du fond, quasiment son bureau désormais avec ordinateur portable et tout…
Je me suis installé sur la table. Il m’a manipulé, sans ménagement, appuyant de son pouce sur les des points anodins ou hyper douloureux. Il a fini par m’annoncer son diagnostic. Je m’étais sûrement fait quelque chose au « faisceau postérieur », c’est-à-dire le ligament qui se situe plutôt en arrière de la cheville.
Ensuite, il m’a encore bougé, vérifiant laxité de ma cheville, etc. Au bout de 20 minutes, il m’a laissé partir. J’avais plus mal qu’en entrant et je n’étais pas très optimiste pour la suite.
J’ai retrouvé Sandrine à la sortie du RER et nous avons tous deux retrouvés Stéphane et Elodie dans leur voiture afin d’aller tous ensemble à la clinique.
En sortant de l’ascenseur, nous sommes tombés sur la mère de Laetitia, son frère et sa copine, la mère de sa copine, également la nourrice d’Alexia, Micaël et Alexia.
Nous sommes entrés tous les quatre. Laetitia était dans le second lit (c’était une chambre double), avec sa petite crevette de fille dans les bras. Les parents de Micaël étaient là. Son père avait apparemment bien fêté la naissance de Mélina.
En effet, elle est bien le portrait de sa grande sœur au même âge. Nous avons essayé de trouver des différences mais ce n’est pas si flagrant. Je me sentais un peu frustré car je n’avais pas apporté mon appareil photo. La petite est passée de bras en bras, sauf pour Stéphane et moi. Malgré Vincent, que je n’ai eu aucun mal à porter dès les premiers instants, j’ai toujours du mal à prendre dans mes bras un si petit être.
Vers 20h, nous sommes rentrés pour libérer les parents de Sandrine et coucher Vincent.
Nous avons commandé des pizzas, bu du coca et regarder le match de foot. Micaël est passé un peu plus tard, avec Alexia, qui était encore forme malgré l’heure et les bouleversements.
C’était à la fois la naissance de Mélina et l’anniversaire de Sandrine. Nous avons donc fêté ça avec du coca dans des gobelets. Pas de gâteau ni de bougies. Ses collègues lui avaient offert une Nespresso. De ma part, elle eu un coffret Smartbox, Table et chambre d’hote (c’est un peu pour moi aussi), et une Nintendo DS. Alors qu’elle m’avait dit quelques jours plus tôt, qu’en fait une Nespresso c’était chère, qu’il fallait s’emmerder à acheter des capsules chères, que ce n’était pas si important d’en avoir une, je crois que c’est le cadeau qu’elle a le plus apprécié.
Jeudi
A 8h45, j’étais sur le stand. Nous n’avons pas trop traîné pour nous mettre en route, il y avait du boulot.
Des cartons, des livres, de la poussière. Du rangement intelligent, du facing, des têtes de gondoles, des présentoirs, des thématiques…
Nous avons fini vers 16h30. Après, relâche.
J’ai essayé pendant un long moment d’installer la bonbonne d’eau sur la machine à eau mais je n’ai pas été très doué. Je me suis changé. Costume et chemise que j’avais apportés exprès.
Nous avons attendu que le traiteur s’installe et soudain, vers 19h, les mangeurs de petits fours ont déferlé.
Il n’y avait pas beaucoup de place sur notre stand. Du coup, j’ai eu beaucoup de mal à atteindre les tables et à me restaurer. Par contre, aidé par Thomas, je n’ai aucun mal à avoir une coupe de Vouvray pleine assez régulièrement entre les doigts. Nous avons bien rigolé et j’ai pris encore beaucoup de photos.
Sur le stand Albin, je n’ai pas vu Stéphanie ni Sandrine, mes anciennes collègues, mais j’ai pu faire une bise à Alexandra juste avant qu’elle ne soit accaparée par quelqu’un d’autre. J’ai pu voir également Bernard Werber, Eliette Abecassis ou Marie Darrieussecq.
Sur le stand Delcourt, j’ai vu Olivier, ancien collègue de la FNAC mais il était en pleine conversation avec une jeune fille en plein milieu de la foule du stand, alors je n’ai pas osé.
C’était lors de cette inauguration, l’année dernière, que j’avais repris contact avec Adrien. Cette année, il ne se sentait pas d’humeur. Ce n’est pas faute d’avoir essayer de le convaincre.
Je suis parti avec Dalila un peu après 22h30. Dans les transports, je sentais que ma tête tournait un peu mais bon, à minuit j’étais à la maison, retrouvant ma femme fatiguée, qui avait fait l’effort de m’attendre.
Après l’avoir bordée, je me suis fait un gros sandwich et je suis resté encore bloqué devant un épisode que je n’avais pas encore vu de l’émission fraîche et vraiment sympa de France 5, « En campagne ».
Je me suis aussi mis de la glace sur la cheville, qui avait bien gonflé, après avoir été tant sollicitée.
Vendredi
Difficile de s’y remettre. La fatigue de l’installation et l’alcool de l’inauguration n’aident pas. Heureusement c’est le week-end.
Je retourne sur le Salon lundi, mardi après-midi et mercredi après-midi.
En sortant de l’ascenseur, nous sommes tombés sur la mère de Laetitia, son frère et sa copine, la mère de sa copine, également la nourrice d’Alexia, Micaël et Alexia.
Nous sommes entrés tous les quatre. Laetitia était dans le second lit (c’était une chambre double), avec sa petite crevette de fille dans les bras. Les parents de Micaël étaient là. Son père avait apparemment bien fêté la naissance de Mélina.
En effet, elle est bien le portrait de sa grande sœur au même âge. Nous avons essayé de trouver des différences mais ce n’est pas si flagrant. Je me sentais un peu frustré car je n’avais pas apporté mon appareil photo. La petite est passée de bras en bras, sauf pour Stéphane et moi. Malgré Vincent, que je n’ai eu aucun mal à porter dès les premiers instants, j’ai toujours du mal à prendre dans mes bras un si petit être.
Vers 20h, nous sommes rentrés pour libérer les parents de Sandrine et coucher Vincent.
Nous avons commandé des pizzas, bu du coca et regarder le match de foot. Micaël est passé un peu plus tard, avec Alexia, qui était encore forme malgré l’heure et les bouleversements.
C’était à la fois la naissance de Mélina et l’anniversaire de Sandrine. Nous avons donc fêté ça avec du coca dans des gobelets. Pas de gâteau ni de bougies. Ses collègues lui avaient offert une Nespresso. De ma part, elle eu un coffret Smartbox, Table et chambre d’hote (c’est un peu pour moi aussi), et une Nintendo DS. Alors qu’elle m’avait dit quelques jours plus tôt, qu’en fait une Nespresso c’était chère, qu’il fallait s’emmerder à acheter des capsules chères, que ce n’était pas si important d’en avoir une, je crois que c’est le cadeau qu’elle a le plus apprécié.
Jeudi
A 8h45, j’étais sur le stand. Nous n’avons pas trop traîné pour nous mettre en route, il y avait du boulot.
Des cartons, des livres, de la poussière. Du rangement intelligent, du facing, des têtes de gondoles, des présentoirs, des thématiques…
Nous avons fini vers 16h30. Après, relâche.
J’ai essayé pendant un long moment d’installer la bonbonne d’eau sur la machine à eau mais je n’ai pas été très doué. Je me suis changé. Costume et chemise que j’avais apportés exprès.
Nous avons attendu que le traiteur s’installe et soudain, vers 19h, les mangeurs de petits fours ont déferlé.
Il n’y avait pas beaucoup de place sur notre stand. Du coup, j’ai eu beaucoup de mal à atteindre les tables et à me restaurer. Par contre, aidé par Thomas, je n’ai aucun mal à avoir une coupe de Vouvray pleine assez régulièrement entre les doigts. Nous avons bien rigolé et j’ai pris encore beaucoup de photos.
Sur le stand Albin, je n’ai pas vu Stéphanie ni Sandrine, mes anciennes collègues, mais j’ai pu faire une bise à Alexandra juste avant qu’elle ne soit accaparée par quelqu’un d’autre. J’ai pu voir également Bernard Werber, Eliette Abecassis ou Marie Darrieussecq.
Sur le stand Delcourt, j’ai vu Olivier, ancien collègue de la FNAC mais il était en pleine conversation avec une jeune fille en plein milieu de la foule du stand, alors je n’ai pas osé.
C’était lors de cette inauguration, l’année dernière, que j’avais repris contact avec Adrien. Cette année, il ne se sentait pas d’humeur. Ce n’est pas faute d’avoir essayer de le convaincre.
Je suis parti avec Dalila un peu après 22h30. Dans les transports, je sentais que ma tête tournait un peu mais bon, à minuit j’étais à la maison, retrouvant ma femme fatiguée, qui avait fait l’effort de m’attendre.
Après l’avoir bordée, je me suis fait un gros sandwich et je suis resté encore bloqué devant un épisode que je n’avais pas encore vu de l’émission fraîche et vraiment sympa de France 5, « En campagne ».
Je me suis aussi mis de la glace sur la cheville, qui avait bien gonflé, après avoir été tant sollicitée.
Vendredi
Difficile de s’y remettre. La fatigue de l’installation et l’alcool de l’inauguration n’aident pas. Heureusement c’est le week-end.
Je retourne sur le Salon lundi, mardi après-midi et mercredi après-midi.
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