Les choses simples

11.12.08

Deux jours

Mardi

Comme je n’étais pas là mercredi, nous avons avancé la soirée du mercredi à mardi.

Sandrine n’a pas travaillé. Notre nourrice avait pris sa journée pour fêter l’Aïd alors qu’en réalité c’était lundi…

De retour à maison, j’ai retrouvé une femme et un fils qui avaient l’air d’avoir bien profité de leur journée. Même si Sandrine était encore en pyjama et toujours pas douchée.

Nous nous sommes mis en action après avoir joué un peu avec Vincent.

Nous sommes arrivés les premiers chez Stéphane et Elodie (je peux le dire maintenant, il y a son nom sur l’interphone…). Biberon pour Vincent et installation de son lit.
Les Pinto son arrivés quelques minutes plus tard. Alexia a fait des bisous à son petit protégé puis ils se sont couchés quasiment en même temps, elle dans le grand lit et Vincent dans son lit parapluie. Laetitia a remarqué à juste titre qu’on ne pourra peut-être pas les laisser dormir dans la même chambre lorsqu’ils seront plus grands, plus adolescents par exemple.

Pizza, Pepsi, gâteaux apéritifs et match de foot en fond, presque une soirée de mecs !

Nous avons beaucoup parlé d’éducation, de respect, d’autorité, de crainte et du choix que les parents font dans l’éducation qu’ils veulent donner à leur enfant. Est-ce que tout se joue vraiment avant 4 ans ? Est-ce que chaque décision, chaque haussement de ton, claque, fessée, punition, gueulante, provoquera des conséquences chez notre enfant dont nous n’avons aucune idée ?

Est-ce qu’il ne faudra pas simplement arrêter de se poser des questions et faire en mieux, afin qu’il puisse à son tour quitter la maison en bonne santé, indépendant, bien dans sa tête et heureux ?

Mercredi

Squash le midi. Mon adversaire, que je bats à chaque fois, m’a donné du fil à retordre. Match nul, 2-2 et j’ai vraiment eu du mal. Il réussissait tout, même les coups les plus incroyables, et moi je ratais tout même les coups les plus faciles. Je n’ai pas trop aimé.

C’était mon dernier jour d’abonnement au Club Med Gym. Mais à la rentrée, nous allons acheter une carte juste pour le squash… Moins cher et plus utile.

Ambiance toujours étrange, voire morose au boulot. Tout le monde déprime (sauf moi en fait…) à cause des mauvais chiffres, de primes qui ne tombent pas ou avec un montant dérisoire, d’injustice, etc…
Ce n’est pas très facile de bosser dans ces conditions surtout quand on sait que l’équipe peut être vraiment drôle. Ca va passer mais là, c’est un peu dur.

Soirée dans un restaurant Marocain, dans le 9ème. Avec toute l’équipe, plus les deux filles du service qui sont actuellement en congé parental, dont celle que je remplace. A table, nous avons parlé de notre situation et de sa crainte pour son retour. Pas évident de parler ouvertement d’une situation encore lointaine mais qui risque d’arriver vite et qui ne sera sûrement pas très drôle.

Nous avons offert des cadeaux à trois personnes pour des anniversaires fêtés un peu en retard, notamment un de juillet. Puis nous avons presque tous reçu des cadeaux de Noël : un carnet et une crème de citron pour moi. C’est toujours agréable d’ouvrir des cadeaux.

Une collègue qui habite Nogent m’a raccompagné en voiture. Sandrine dormait déjà. Je suis entré dans la chambre de Vincent pour le regarder et l’écouter respirer deux secondes, j’en avais besoin.

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

C'est marrant, j'ai remarqué aussi... le nom sur l'interphone...

11 décembre, 2008  
Blogger Claudia said...

C'est joli d'entrer dans la chambre de son fils juste pour l'entendre respirer... j'en suis toute retournée...

Bisous de la Tos émue...

15 décembre, 2008  

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