Une semaine chasse l'autre et hop c'est le printemps !
Samedi
Après-midi enfant chez les Pinto
Après la sieste de Vincent, nous avons rejoint Marion et Sylvain chez les Pinto pour une visite à Mélina. Le frère de Micaël était là, avec sa femme et son fils. A peine arrivés, les hommes sont allés dehors pour fumer, faire le point sur les travaux, refaire le monde… Comme je ne fais aucune de ces trois choses, je suis resté à l’intérieur avec les femmes et les enfants. Mais comme je ne suis pas une femme, je ne suis pas facilement accepté dans leur petit cercle, alors je reste avec les enfants. Au fond de moi, je dois être une femme qui s’ignore.
J’aime bien les gamins même si je ne suis pas sûr de gérer autant d’enfants d’un coup toute une journée. En tout cas, j’ai géré le mien et Sandrine est venue m’épauler.
J’ai pris pas mal de photos de Mélina.
Soirée Handball et chez les Vantalon
Le soir, nous sommes allés chez Marion et Sylvain. J’ai déposé Sandrine et Vincent puis Sylvain m’a accompagné au gymnase du Perreux. Match contre Nogent et victoire. Mes coéquipiers ont failli s’inquiéter pour moi et ma blessure mais bon… Ca m’apprendra à ne pas être sociable au sein de mon équipe.
J’ai pris aussi quelques photos.
Après le match, nous avons décidé d’aller chercher du McDo à Nogent. Nous nous sommes garés juste devant un Planet sushi flambant neuf. Sylvain a eu la bonne idée de se dire que ça pourrait plaire à Marion. Du coup, appel, lecture du menu par téléphone, choix, etc. A la caisse, la jeune fille nous dit qu’elle n’accepte pas les cartes bleues parce qu’ils n’ont pas encore la machine pour… Nous sortons retirer de l’argent à 50 mètres puis nous allons commander au McDo et les bras lourds de sacs pleins de bouffes américaines, nous revenons au Planet Sushi récupérer notre commande. Ca paraissait bien léger ces makis et sushis, à côté de nos menus. Je savais donc que les filles allaient nous piquer un peu de nos frites…
De retour à la maison, Sandrine m’a raconté que Vincent avait eu du mal à s’endormir, qu’il avait pleuré et réveillé Maxime. « Forcément, il ne dort bien que chez les Pinto » a commenté Sylvain.
Dimanche
Tous dehors !
Matin, un petit moment agréable avec Vincent dans le square près de chez nous. Vincent s’est jeté sur l’échelle du toboggan. Je lui disais doucement que ça ne servait à rien, qu’il était trop petit. Il ne répond pas et monte la première marche. Je continue à lui dire que ce n’est pas la peine et il monte la seconde, et comme ça jusqu’en haut…Ensuite, je l’ai aidé à glisser et il a voulu faire ça en boucle.
Après un déjeuner chez les parents de Sandrine et une courte sieste de Vincent, nous avons profité du beau temps pour une promenade sur les bords de marne. Là, nous avons rencontré Cindy et Emma, ainsi que la partie féminine de la famille de Cindy. Les mecs jouaient aux boules…
J’ai encore pris des photos en veux-tu, en voilà.
Lundi
Journée pro au salon.
Après-midi enfant chez les Pinto
Après la sieste de Vincent, nous avons rejoint Marion et Sylvain chez les Pinto pour une visite à Mélina. Le frère de Micaël était là, avec sa femme et son fils. A peine arrivés, les hommes sont allés dehors pour fumer, faire le point sur les travaux, refaire le monde… Comme je ne fais aucune de ces trois choses, je suis resté à l’intérieur avec les femmes et les enfants. Mais comme je ne suis pas une femme, je ne suis pas facilement accepté dans leur petit cercle, alors je reste avec les enfants. Au fond de moi, je dois être une femme qui s’ignore.
J’aime bien les gamins même si je ne suis pas sûr de gérer autant d’enfants d’un coup toute une journée. En tout cas, j’ai géré le mien et Sandrine est venue m’épauler.
J’ai pris pas mal de photos de Mélina.
Soirée Handball et chez les Vantalon
Le soir, nous sommes allés chez Marion et Sylvain. J’ai déposé Sandrine et Vincent puis Sylvain m’a accompagné au gymnase du Perreux. Match contre Nogent et victoire. Mes coéquipiers ont failli s’inquiéter pour moi et ma blessure mais bon… Ca m’apprendra à ne pas être sociable au sein de mon équipe.
J’ai pris aussi quelques photos.
Après le match, nous avons décidé d’aller chercher du McDo à Nogent. Nous nous sommes garés juste devant un Planet sushi flambant neuf. Sylvain a eu la bonne idée de se dire que ça pourrait plaire à Marion. Du coup, appel, lecture du menu par téléphone, choix, etc. A la caisse, la jeune fille nous dit qu’elle n’accepte pas les cartes bleues parce qu’ils n’ont pas encore la machine pour… Nous sortons retirer de l’argent à 50 mètres puis nous allons commander au McDo et les bras lourds de sacs pleins de bouffes américaines, nous revenons au Planet Sushi récupérer notre commande. Ca paraissait bien léger ces makis et sushis, à côté de nos menus. Je savais donc que les filles allaient nous piquer un peu de nos frites…
De retour à la maison, Sandrine m’a raconté que Vincent avait eu du mal à s’endormir, qu’il avait pleuré et réveillé Maxime. « Forcément, il ne dort bien que chez les Pinto » a commenté Sylvain.
Dimanche
Tous dehors !
Matin, un petit moment agréable avec Vincent dans le square près de chez nous. Vincent s’est jeté sur l’échelle du toboggan. Je lui disais doucement que ça ne servait à rien, qu’il était trop petit. Il ne répond pas et monte la première marche. Je continue à lui dire que ce n’est pas la peine et il monte la seconde, et comme ça jusqu’en haut…Ensuite, je l’ai aidé à glisser et il a voulu faire ça en boucle.
Après un déjeuner chez les parents de Sandrine et une courte sieste de Vincent, nous avons profité du beau temps pour une promenade sur les bords de marne. Là, nous avons rencontré Cindy et Emma, ainsi que la partie féminine de la famille de Cindy. Les mecs jouaient aux boules…
J’ai encore pris des photos en veux-tu, en voilà.
Lundi
Journée pro au salon.
Rien d’exceptionnel.
A part que plusieurs choses ont fait revenir les éditions de je ne paie pas mes employer sur le devant de la scène. En effet, j’ai rencontré K. une jeune fille qui était venue renforcer l’équipe et qui était sur le salon pour vendre ses services en freelance. Elle essaie de monter un dossier pour créer une maison d’édition à Dijon. Courage !
Un peu plus tard, deux femmes, 50 et 70 ans à peu près viennent me voir sur le stand pour proposer une nouvelle collection de jeunesse. Elles me disent qu’elles ont déjà publié un livre dans une maison qui a malheureusement fait faillite. Elles sortent le bouquin et oh, surprise, je l’avais déjà vu… Avant que je parte, la plus jeune des deux était venue plusieurs fois au bureau pour vérifier l’avancement du projet. Je leur ai dit que j’avais travaillé là-bas. Nous avons partagé notre expérience. Elles n’ont toujours pas été payées de leurs droits d’auteurs. Courage…
Plus tard, mardi en fait, un jeune homme habillé du costume bleu traditionnel touareg est arrivé sur le stand avec le responsable d’une maison d’édition que nous diffusons. Je le connaissais parce qu’il devait travailler avec un auteur de chez nous, qui faisait des carnets de voyages ou le Kamasutra bestial… Nous avons pu parler du passé et il m’a présenté le projet qu’E. et lui avaient en commun pour cette maison d’édition. Ca pourrait être intéressant parce que ce touareg a vendu beaucoup de livres et parcours tous les salons de France pour les signer…
Concert de Bénabar au Zenith
J’ai retrouvé Sandrine à Opéra et nous sommes allés jusqu’à la station Porte de la Villette. Dehors, je ne reconnaissais pas pourtant j’étais sûr de connaître le chemin. En fait, nous aurions dû sortir à la station Porte de Pantin. Du coup, nous avons marché un peu alors que Virginie nous attendait.
Elle nous a fait rentrer avec les places réservées par sa copine. Encore une fois, le vigile à l’entrée a voulu garder mon appareil mais je devais avoir une bonne tête parce qu’il m’a laissé passer en disant que s’il me voyait filmer ou utiliser mon flash, ça ferait mal. Nous avons grignoté un truc en attendant que finisse la première partie. Devant nous, à 50 centimètres, Yves Dutheil est entré… C’était magique.
Nous étions bien placés et le concert était bien vivant, comme la dernière fois. Drôle, généreux, en harmonie avec ses musiciens. Même si on n’aime pas trop la musique, le spectacle est vaut le coup. J’ai pris beaucoup de photos mais 95% étaient floues… Dommage.
Après, en partant, nous sommes tombés sur la station Porte de Pantin blindée de monde. Du coup, pour rire, j’ai proposé à Sandrine de prendre un taxi pour une fois. Fatiguée et épuisée d’avance à l’idée de marcher du RER jusqu’à la maison, elle a dit oui tout de suite. Nous avons attendu un peu, cherché un distributeur car nous n’avions pas de monnaie, laissé passer deux taxis qui ne prenaient pas la carte bleue, car nous n’avions pas trouvé de distributeur, pour finalement en prendre un et rentrer comme des bourgeois. 35 € pour faire le chemin, ça fait mal, surtout quand notre carte orange dans notre poche nous coûte déjà assez chère, mais bon, nous n’avions pas payé nos places alors…
Mardi
Salon, nocturne et fête des 10 ans du Pommier
Je suis arrivé sur le stand vers 14h30. Mon père était au Salon depuis 13h donc il allait partir. Nous avons pris le temps de discuter un peu.
Fête très sympa avec des pommes bien sûr et pas mal de monde. Je me suis promené sur le salon et j’ai vu des stars, William Leymergie quand même, la classe !!! Du Champagne et des petits fours à la bonne franquette.
Nico et Stéphanie sont passés également.
Je suis rentré vers minuit. J’aurais pu prendre un taxi maintenant que nous y avons goûté mais bon… il ne faut pas déconner non plus, c’est la crise !
Mercredi
Salon, dernier jour et remballage.
Le midi, j’ai mangé au jardin du Luxembourg, au soleil.
Dans la journée, une vieille dame, ancienne correctrice chez Grasset est venue me voir pour me demander si elle pouvait nous acheter une affiche cartonnée, collée au stand, sur les Templiers. Je me suis renseigné et je lui ai dit qu’on pouvait la lui donner mais seulement à partir de 17h. Elle ne pouvait pas attendre alors que je lui ai proposé de venir la chercher vendredi chez Belin. J’ai emmerdé tout le monde avec cette histoire d’affiche mais bon Laurence l’a pris dans sa voiture.
Le remballage est beaucoup plus simple que l’installation. On range les bouquins dans de gros cartons, ça se fait à la chaîne, on ne se pose pas des questions de piles, de tables, de thématiques, de facing.
Nous étions tous biens contents de finir. J’adore les Salons en généra, tous ces livres autour de moi…
Soirée du mercredi
J’avais dit à Stéphane de passer vers 21h, le temps qu’on ait le temps de tout faire. A 21h40, nous avons fini par les appeler pour savoir s’ils avaient toujours prévus de venir ou s’ils nous avaient oublié. C’était plutôt la deuxième solution. Ils n’avaient pas vu l’heure passer pendant le dîner chez les parents d’Elodie. En deux secondes, nous étions en pyjamas, sur le canapé, prêts à regarder quelques épisodes en retard.
Jeudi
Midi, encore au soleil du jardin.
Soirée chez les Pinto.
Cindy était déjà là avec Emma, à notre arrivée. Vincent a pris son biberon et nous l’avons couché. Puis Alexia. Puis Mélina. Premier essai des trois dans la même chambre. Et on peut dire que c’était une réussite et que nos enfants sont cools.
Nous avons parlé des couples et Cindy nous a raconté l’histoire d’une collègue à elle, digne de viedemerde.com.
Mélina a pleuré vers 23h30. Ce fut le signal de départ pour nous.
A part que plusieurs choses ont fait revenir les éditions de je ne paie pas mes employer sur le devant de la scène. En effet, j’ai rencontré K. une jeune fille qui était venue renforcer l’équipe et qui était sur le salon pour vendre ses services en freelance. Elle essaie de monter un dossier pour créer une maison d’édition à Dijon. Courage !
Un peu plus tard, deux femmes, 50 et 70 ans à peu près viennent me voir sur le stand pour proposer une nouvelle collection de jeunesse. Elles me disent qu’elles ont déjà publié un livre dans une maison qui a malheureusement fait faillite. Elles sortent le bouquin et oh, surprise, je l’avais déjà vu… Avant que je parte, la plus jeune des deux était venue plusieurs fois au bureau pour vérifier l’avancement du projet. Je leur ai dit que j’avais travaillé là-bas. Nous avons partagé notre expérience. Elles n’ont toujours pas été payées de leurs droits d’auteurs. Courage…
Plus tard, mardi en fait, un jeune homme habillé du costume bleu traditionnel touareg est arrivé sur le stand avec le responsable d’une maison d’édition que nous diffusons. Je le connaissais parce qu’il devait travailler avec un auteur de chez nous, qui faisait des carnets de voyages ou le Kamasutra bestial… Nous avons pu parler du passé et il m’a présenté le projet qu’E. et lui avaient en commun pour cette maison d’édition. Ca pourrait être intéressant parce que ce touareg a vendu beaucoup de livres et parcours tous les salons de France pour les signer…
Concert de Bénabar au Zenith
J’ai retrouvé Sandrine à Opéra et nous sommes allés jusqu’à la station Porte de la Villette. Dehors, je ne reconnaissais pas pourtant j’étais sûr de connaître le chemin. En fait, nous aurions dû sortir à la station Porte de Pantin. Du coup, nous avons marché un peu alors que Virginie nous attendait.
Elle nous a fait rentrer avec les places réservées par sa copine. Encore une fois, le vigile à l’entrée a voulu garder mon appareil mais je devais avoir une bonne tête parce qu’il m’a laissé passer en disant que s’il me voyait filmer ou utiliser mon flash, ça ferait mal. Nous avons grignoté un truc en attendant que finisse la première partie. Devant nous, à 50 centimètres, Yves Dutheil est entré… C’était magique.
Nous étions bien placés et le concert était bien vivant, comme la dernière fois. Drôle, généreux, en harmonie avec ses musiciens. Même si on n’aime pas trop la musique, le spectacle est vaut le coup. J’ai pris beaucoup de photos mais 95% étaient floues… Dommage.
Après, en partant, nous sommes tombés sur la station Porte de Pantin blindée de monde. Du coup, pour rire, j’ai proposé à Sandrine de prendre un taxi pour une fois. Fatiguée et épuisée d’avance à l’idée de marcher du RER jusqu’à la maison, elle a dit oui tout de suite. Nous avons attendu un peu, cherché un distributeur car nous n’avions pas de monnaie, laissé passer deux taxis qui ne prenaient pas la carte bleue, car nous n’avions pas trouvé de distributeur, pour finalement en prendre un et rentrer comme des bourgeois. 35 € pour faire le chemin, ça fait mal, surtout quand notre carte orange dans notre poche nous coûte déjà assez chère, mais bon, nous n’avions pas payé nos places alors…
Mardi
Salon, nocturne et fête des 10 ans du Pommier
Je suis arrivé sur le stand vers 14h30. Mon père était au Salon depuis 13h donc il allait partir. Nous avons pris le temps de discuter un peu.
Fête très sympa avec des pommes bien sûr et pas mal de monde. Je me suis promené sur le salon et j’ai vu des stars, William Leymergie quand même, la classe !!! Du Champagne et des petits fours à la bonne franquette.
Nico et Stéphanie sont passés également.
Je suis rentré vers minuit. J’aurais pu prendre un taxi maintenant que nous y avons goûté mais bon… il ne faut pas déconner non plus, c’est la crise !
Mercredi
Salon, dernier jour et remballage.
Le midi, j’ai mangé au jardin du Luxembourg, au soleil.
Dans la journée, une vieille dame, ancienne correctrice chez Grasset est venue me voir pour me demander si elle pouvait nous acheter une affiche cartonnée, collée au stand, sur les Templiers. Je me suis renseigné et je lui ai dit qu’on pouvait la lui donner mais seulement à partir de 17h. Elle ne pouvait pas attendre alors que je lui ai proposé de venir la chercher vendredi chez Belin. J’ai emmerdé tout le monde avec cette histoire d’affiche mais bon Laurence l’a pris dans sa voiture.
Le remballage est beaucoup plus simple que l’installation. On range les bouquins dans de gros cartons, ça se fait à la chaîne, on ne se pose pas des questions de piles, de tables, de thématiques, de facing.
Nous étions tous biens contents de finir. J’adore les Salons en généra, tous ces livres autour de moi…
Soirée du mercredi
J’avais dit à Stéphane de passer vers 21h, le temps qu’on ait le temps de tout faire. A 21h40, nous avons fini par les appeler pour savoir s’ils avaient toujours prévus de venir ou s’ils nous avaient oublié. C’était plutôt la deuxième solution. Ils n’avaient pas vu l’heure passer pendant le dîner chez les parents d’Elodie. En deux secondes, nous étions en pyjamas, sur le canapé, prêts à regarder quelques épisodes en retard.
Jeudi
Midi, encore au soleil du jardin.
Soirée chez les Pinto.
Cindy était déjà là avec Emma, à notre arrivée. Vincent a pris son biberon et nous l’avons couché. Puis Alexia. Puis Mélina. Premier essai des trois dans la même chambre. Et on peut dire que c’était une réussite et que nos enfants sont cools.
Nous avons parlé des couples et Cindy nous a raconté l’histoire d’une collègue à elle, digne de viedemerde.com.
Mélina a pleuré vers 23h30. Ce fut le signal de départ pour nous.
Vendredi
Déjeuner au jardin du Luxembourg, en plein soleil. C’est vraiment agréable. C’est le printemps ou quoi ?
La vieille dame du salon est venue récupérer l’affiche et m’a fait la bise pour me remercier, tellement elle me trouvait gentil. Elle m’a parlé de sa carrière, m’a même montré la lettre de mise à la retraite de Grasset. Elle m’a dit : « On m’appelait le turbo quand je travaillais là-bas ! On me donnait un texte le vendredi, je le rapportais le lundi ! Je n’ai pas été remplacée, vous savez, et je prends ça comme un compliment »
Elle était touchante et l’univers de l’édition semblait lui manquer. Dans le hall, j’avais l’impression qu’elle essayait de respirer les livres et la vie du lieu.
2 Comments:
Je trouve aussi que nos enfants sont plutôt cool... Pourvu que ça dure...
Une vie de famille bien remplie... ça fait rêver mais rien que de te lire je manque de sommeil pour vous... lol
Enfin j'espère qu'un jour moi aussi j'aurai des enfants COOLS... lol
Gros becs à la petite famille et amis
Clo
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