Dans la café de la jeunesse perdue
Quel plaisir de lire à nouveau quelques pages de Modiano ! 148 pour être plus précis. C’est à la fois peu et pourtant tellement énorme.
Dès les premières lignes, on sait que c’est du Modiano : des rues, des noms, des rencontres, des souvenirs, des détails et surtout des personnages qui errent tels des fantômes entre le passé et le présent.
Ce dernier roman tourne autour d’une certaine Louki, alias Jacqueline Delanque, disparue, abandonnée, perdue, racontée par plusieurs hommes qui ont été liés avec elle de près ou de loin. Dans un chapitre, c’est elle qui parle, qui témoigne…
Un univers oppressant d’un Paris évaporé aujourd’hui. Modiano essaie encore une fois de figer des instants, d’immortaliser des lieux, des gens.
« Quand on aime vraiment quelqu’un, il faut accepter sa part de mystère »
Dès les premières lignes, on sait que c’est du Modiano : des rues, des noms, des rencontres, des souvenirs, des détails et surtout des personnages qui errent tels des fantômes entre le passé et le présent.
Ce dernier roman tourne autour d’une certaine Louki, alias Jacqueline Delanque, disparue, abandonnée, perdue, racontée par plusieurs hommes qui ont été liés avec elle de près ou de loin. Dans un chapitre, c’est elle qui parle, qui témoigne…
Un univers oppressant d’un Paris évaporé aujourd’hui. Modiano essaie encore une fois de figer des instants, d’immortaliser des lieux, des gens.
« Quand on aime vraiment quelqu’un, il faut accepter sa part de mystère »
« On dit tant de choses… Et puis les gens disparaissent un jour et on s’aperçoit qu’on ne savait rien d’eux, même pas leur véritable identité »
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