Invisible

Enfin, je me mets à relire des romans. Je n'oublie pas les BD mais je dois mieux me partager. En 2010, c'était un peu trop d'un côté et rien de l'autre.
Cette couverture n'est pas celle de l'édition française mais je la préfère.
Ce n'est sûrement pas le meilleur roman de Paul Auster mais il a quelque chose de troublant que je ne parviens pas à expliquer. Aussi bien sur le fond que sur la forme.
On se laisse emporter entre les Etats-Unis et la France, entre le vrai et le faux, pour finalement ne plus savoir où nous sommes, avec qui et pourquoi.