Les choses simples

18.9.13

Borinka




Ce livre ne m'a pas vraiment passionné. Je n'ai pas accroché avec l'écriture et le sujet, la rencontre entre ce libraire antisocial et ce vieil homme presque détestable, ne m'a pas plu.
Je l'ai lu parce que je savais qui était derrière ce surnom, Borinka, parce que je savais les liens qui unissaient Pierre Drachline et Boris Schreiber. On peut en effet reconnaître les traits de l'auteur d'Un silence d'environ une demi-heure derrière ce vieil homme encore amoureux de sa mère, encore persuadé de sa grandeur, mais ça ne suffit pas pour en faire un bon roman, même pour moi qui ait eu la chance de croiser l'auteur en question.